M. le Général d’Armée Saïd CHANEGRIHA, Chef d’Etat-Major de l’ANP, en visite officielle en République Populaire de Chine

M. le Général d’Armée Saïd CHANEGRIHA, Chef d’Etat-Major de l’ANP, en visite officielle en République Populaire de Chine

Monsieur le Général d’Armée Saïd CHANEGRIHA, Chef d’Etat-Major de l’Armée Nationale Populaire, est arrivé ce matin 12 novembre 2023 en République Populaire de Chine, où il a été accueilli, à l’Aéroport International de Pékin, par le Général JAN BAO CHIN, Chef-adjoint du Bureau de la Coopération Internationale (OIMC).

  

Cette visite effectuée par Monsieur le Général d’Armée à la tête d’une délégation militaire, s’inscrit dans le cadre du renforcement des liens d’amitié et des relations de coopération militaire entre l’Armée Nationale Populaire algérienne et l’Armée Populaire de Libération de Chine.

Ministère de la Défense Nationale

Architecture: la chercheuse Dalila Senhadji obtient le prix Hypatia International Awards

Architecture: la chercheuse Dalila Senhadji obtient le prix Hypatia International Awards

ORAN – L’architecte, chercheuse et maitre de conférence à l’Université des sciences et de la technologie d’Oran « Mohamed Boudiaf » (USTO-MB), Dr Dalila Senhadji, a reçu le prix Hypatia International Awards à la Biennale d’architecture et de restauration urbaine à Florence (Italie) pour la qualité de son parcours académique et professionnel, a-t-on appris samedi de cette académicienne.

Dans sa 6e édition, le prix Hypatia International Awards à la Biennale d’architecture et de restauration urbaine, qu’a abritée la ville italienne de Florence, a été attribué, octobre dernier, à Dr Senhadji pour la qualité de ses travaux de recherche et pour son parcours académique de plus de 20 ans dans l’enseignement de l’histoire de l’architecture et son engagement dans différents projets internationaux liés à l’urbanisme et à l’architecture.

Dalila Senhadji est parmi les premières, voire la première chercheuse en Algérie depuis 2003, à avoir travaillé sur le patrimoine religieux et  reçu cette distinction internationale. Ses recherches portent principalement sur le patrimoine architectural religieux aux époques arabe, espagnole, ottomane et française. Actuellement, elle travaille sur l’histoire de l’architecture domestique coloniale en Algérie, a-t-elle indiqué à l’APS.

Architecte de formation et maitre de conférences au département d’architecture, Faculté d’architecture et génie-civil à l’USTO, elle est titulaire du diplôme d’architecte, d’un magister et d’un doctorat en architecture spécialité Patrimoine. Elle enseigne l’histoire de l’architecture depuis 20 ans à la même université et encadre en Master et en Doctorat, a-t-elle fait savoir.

Elle est également architecte des sites et monuments protégés ayant travaillé dans de nombreux chantiers et projets, comme architecte dans le projet d’achèvement de la mosquée « Ibn Badis » à Oran et autres projets de réhabilitation du bâtiment des 19e et 20e siècles à Oran.

Mme Senhadji a travaillé comme stagiaire au sein de l’unité du Patrimoine des Etats arabes à l’UNESCO à Paris et est membre associé au Comité international des villes et villages historiques, a-t-on noté.

Elle a été également membre et formatrice au projet européen Erasmus. Il s’agit d’un programme d’études qui vise à former des étudiants non-voyants et malvoyants, handicapés moteurs et sourds sur l’utilisation des moyens technologiques et techniques pour l’assimilation des cours dans les universités.

aps

Vernissage à Alger de l’exposition « Eclosion de verre » de Tahar Tazerout

Vernissage à Alger de l’exposition « Eclosion de verre » de Tahar Tazerout

ALGER – L’exposition « Eclosion de verre » de l’artiste plasticien Tahar Tazerout, une série de portraits sur verre brisé, nés de la collision entre la lumière et l’obscurité, a été inaugurée, samedi à Alger, dans un élan créatif novateur qui transcende les frontières de l’ordinaire pour explorer les profondeurs de l’extraordinaire.

Visible jusqu’au 21 novembre à la Galerie d’Arts « Mohamed-Temmam » de l’Etablissement Arts et Culture, l’artiste, dont c’est la première exposition, présente vingt portraits aux formats moyens qui trouvent dans le verre brisé une dimension judicieuse pour une nouvelle forme d’expression, aux gestes et aux traits accomplis et inédits.

Dans cette exposition, la juxtaposition des fragments et l’opposition du noir au blanc argenté créent une dualité visuelle et émotionnelle saisissante qui s’accentue encore à la rencontre de la lumière et de l’obscurité pour révéler au final, la profondeur de chaque visage humain ou animalier suggérés.

Les créations de Tahar Tazerout, présentées dans un genre artistique « encore peu exploité en Algérie », sont conçues avec « une passion débordante et une minutie méticuleuse » et réalisées avec la technique du clair-obscur (emprunté à la peinture classique) sur verre brisé en acrylique, un savoir-faire difficile à maitriser où les petits marteaux remplacent les pinceaux pour servir d’outils à sculpter et à graver des portraits, des formes ou des figures sur verre.

Matière « translucide et insipide qui ne se laisse jamais dompter  » le verre se présente dans les œuvres de Tahar Tazerout comme un « symbole de fragilité et de résilience qui met en lumière chaque portrait et reflète l’âme humaine dans toute sa complexité ».

« Panthère noire », « Dents de verre », « La jeune fille à la perle », Rouiched », « Aznavour », « Mélancolie », « Chat », « Portrait d’une femme noire », « Perroquet » ou encore « Mohamed Issiakhem », sont entre autres portraits et travaux de Tahar Tazerout, qui créent chez le visiteur un lien fort, l’invitant à un voyage onirique, émotionnel et introspectif.

Dans une vision prolifique au regard frais, l’artiste, transmet l’interrogation au visiteur, invité à se replonger dans son vécu, ses coutumes, son histoire et ses rites, dans un élan original et singulier, aux formes nouvelles empreintes de modernité.

Explorant constamment la dualité qui réside en chaque individu, Tahar Tazerout suggère une immersion dans les profondeurs abyssales de l’être, pour sublimer la lumière en lui, et raconter son histoire, brillamment répercutée dans des œuvres qui dévoilent les tourments de l’âme et sa mélancolie.

Série de portraits qui insinuent un vécu, à travers des visages humains ou animaliers révélateurs d’un passé enfoui dans ses joies et ses peines, les œuvres de Tahar Tazerout évoquent l’attachement de l’artiste à ses souvenirs d’enfance et à la nostalgie d’une époque où il faisait « plutôt bon vivre ».

Artiste autodidacte, Tahar Tazerout est diplômé en infographie, de l’Institut national spécialisé en Arts et Industries Graphiques (INSIAG).

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Le militantisme de la femme algérienne thème d’une conférence nationale à Alger

Le militantisme de la femme algérienne thème d’une conférence nationale à Alger

ALGER – Le militantisme de la femme algérienne durant la Glorieuse guerre de libération nationale et sa contribution au processus de construction et d’édification national a été au centre d’une conférence organisée, samedi à Alger, par le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme.

Présidant la conférence placée sous le thème « Militantisme de la femme algérienne: de la guerre de libération au processus d’édification », en présence de membres du Gouvernement, la ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Kaouter Krikou, a rappelé la lutte de la femme algérienne aux côtés de ses frères moudjahidine et ses sacrifices durant la Glorieuse guerre de libération nationale pour l’affranchissement du pays du joug colonial, une lutte perpétuée par la suite à travers sa contribution au processus de construction et d’édification.

Dans ce contexte, la ministre a mis en exergue les différents exploits et acquis réalisés par la femme algérienne dans divers domaines, d’autant que cette dernière a investi plusieurs créneaux et occupé plusieurs postes.

Mme Krikou a affirmé, dans ce sens, le grand intérêt voué par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, à la protection et à la promotion du rôle de la femme dans la société, rappelant les dispositions prises pour renforcer sa contribution au processus de développement.

Elle a cité, en outre, les mécanismes visant à renforcer les activités de la femme et à encourager l’initiative féminine, notamment dans les zones rurales, et ce dans le cadre du développement de l’entrepreneuriat féminin, à travers le lancement de divers programmes et mécanismes.

A cette occasion, Mme Krikou a félicité l’écrivaine et femme de lettres, Zhour Ounissi pour sa récente distinction, mettant en avant son parcours intellectuel et professionnel.

La rencontre a été ponctuée par des ateliers, animés par des cadres représentant divers secteurs avec pour thème le rôle de la femme algérienne, ses exploits et réalisations accomplies dans plusieurs domaines et les efforts de l’Etat pour l’autonomisation de la femme et son accompagnement à l’effet de renforcer sa contribution au processus de développement.

En marge de la conférence, une exposition a été organisée dans le but de mettre en exergue les efforts consentis par les différents secteurs en matière de prise en charge et d’accompagnement de la femme, outre un espace réservé aux femmes artisans pour leur permettre d’exposer leurs produits et de mettre en valeur leurs talents.

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La contestation de décisions de l’arbitre désormais sanctionnée par une hausse de l’amende

La contestation de décisions de l’arbitre désormais sanctionnée par une hausse de l’amende

ALGER – La Fédération algérienne de football (FAF) a annulé la disposition réglementaire introduite en 2014 relative à la contestation de décisions des joueurs auprès des arbitres sanctionnée par une suspension d’un match, elle a été amendée par une hausse de l’amende qui passe à 100.000 DA que le joueur payera en cas de contestation de décisions arbitrales, a indiqué samedi l’instance fédérale.

Ainsi, tout joueur ou dirigeant qui conteste une décision de l’arbitre directeur ou l’un de ses assistants est sanctionné d’une amende personnelle de cent mille dinars (100.000 DA) pour la Ligue 1 et  cinquante mille dinars (50.000) pour la Ligue 2 amateur, précise la circulaire de la FAF.

Pour les autres paliers, l’amende oscille entre 20.000 DA (inter- régions) et 5.000 DA (division wilaya). Elle est de 10.000 dinars pour la division régionale.

D’autre part, tout regroupement autour de l’arbitre pour contester une de ses décisions ou celles de l’un de ses assistants est sanctionné par une amende personnelle  à l’instigateur identifié. En cas de non identification de l’instigateur, cette sanction est infligée au capitaine de l’équipe fautive, selon la même source.

L’amende est de 150.000 DA pour la Ligue 1, contre 70.000 DA pour la Ligue 2 amateur.

Pour les divisions inférieures, l’amende est de 30.000 DA (inter-régions), 20.000 (division régionale) et 10.000 pour la division wilaya.

aps