Sonatrach: organisation d’un concours de sélection de plus de 1.200 travailleurs à travers plusieurs wilayas

Sonatrach: organisation d’un concours de sélection de plus de 1.200 travailleurs à travers plusieurs wilayas

ALGER – Le groupe Sonatrach a lancé, samedi à travers plusieurs wilayas, un concours de sélection de 1.265 travailleurs pour répondre à ses besoins au niveau de ses structures administratives et de production, a indiqué un communiqué du groupe.

« Le groupe Sonatrach organise, à partir de ce samedi 30 décembre, un concours de sélection de 1.265 travailleurs pour répondre à ses besoins dans les structures administratives et de production, qui se déroule dans les centres d’examens se trouvant dans les wilayas d’Oran, de Bejaia, de Skikda, de Laghouat et d’Alger », lit-on dans le communiqué.

« 5.477 candidats remplissant les conditions participeront à ce concours, lesquels ont été convoqués via la plateforme numérique des offres d’emploi de l’Agence nationale de l’emploi (ANEM), conformément au mécanisme adopté en matière de recrutement, et ce pour consacrer le principe de transparence et d’intégrité de cette opération d’envergure ».

Supervisé par des enseignants de l’Institut algérien du pétrole (IAP) relevant du groupe Sonatrach, avec la participation des comités d’emploi des wilayas concernées, ce concours se poursuivra jusqu’au 3 janvier 2024, ajoute la même source.

A cet égard, Sonatrach a réuni « toutes les conditions et mobilisé tous les moyens logistiques nécessaires afin d’assurer la réussite de ce concours qui regroupe un nombre important de participants ».

« A travers cette opération unifiée, le groupe Sonatrach réaffirme son plein engagement à garantir le principe d’égalité des chances et de transparence dans tous les concours de sélection, tout en conférant toute la crédibilité aux parcours de recrutement, afin de permettre à la compagnie pétrolière de recruter les meilleures compétences parmi les jeunes diplômés des universitaires et instituts algériens », conclut la source.

APS

Coup d’envoi de la 7e session de qualification des candidats aux concours internationaux de récitation du Saint Coran

Coup d’envoi de la 7e session de qualification des candidats aux concours internationaux de récitation du Saint Coran

ALGER – Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Youcef Belmahdi, a donné, samedi à Alger, le coup d’envoi de la 7ème session de qualification des candidats aux concours internationaux de récitation du Saint Coran et la 1ère session de qualification des membres du jury des concours internationaux.

Dans une allocution à cette occasion, M. Belmahdi a précisé que l’organisation de la session de qualification des candidats aux concours internationaux de récitation du Saint Coran visait à « représenter l’Algérie de la meilleure manière possible à ces concours, sans oublier de promouvoir le niveau des membres du jury algériens dans les évènements internationaux qui concernent le Saint Coran ».

« L’Algérie, qui a accordé un intérêt particulier à l’enseignement coranique, occupe désormais, grâce à ses candidats, les premières places dans divers concours internationaux », a-t-il indiqué.

A ce propos, le ministre a souligné la nécessité de « mobiliser tous les moyens nécessaires pour permettre l’obtention des meilleurs résultats dans ces évènements », saluant « la réputation dont jouissent désormais les membres du jury algériens, grâce à leurs différentes participations aux concours internationaux ».

A noter que la 7e session qualifiante des candidats aux concours internationaux de récitation du Saint Coran a vu la participation de 52 candidats, dont les lauréats des trois premières places aux concours nationaux, à l’instar du Prix d’Alger de récitation du Saint Coran, du Concours national d’encouragement des jeunes récitants, de la Semaine nationale du Saint Coran, du concours des récitants d’Alger et de l’émission « Taj El-Qoraane » (couronne du Saint Coran).

Les thèmes de la session qualifiante qui se déroulera jusqu’au 4 janvier porteront sur des séances générales relatives aux aspects comportementaux et spirituels que chaque candidat et candidate devrait posséder, en plus d’un thème dédié à l’aspect psychique des candidats.

D’autre part, 18 candidats prendront part à la 1er session qualifiante des membres du jury, avec l’organisation, en marge de ces deux sessions, d’un atelier consacré à la régulation et l’unification des normes de jugement et d’appréciation à l’échelle nationale.

APS

Décès de l’ami de la Révolution algérienne docteur Michel Martini

Décès de l’ami de la Révolution algérienne docteur Michel Martini

ALGER – L’ami de la Révolution algérienne, docteur Michel Martini, est décédé à l’âge de 98 ans, a-t-on appris, samedi, auprès du ministère des Moudjahidine et des Ayants-droit.

Né le 6 février 1925 à Paris (France), Michel Martini rejoint l’Algérie avec son père en octobre 1946. Il y visite plusieurs villes, dont Alger, Constantine, Biskra, Touggourt et Ouargla, avant de retourner en France pour poursuivre ses études en médecine.

En mai 1954, il revient en Algérie et rejoint l’hôpital de Miliana, puis celui de Chlef en 1955.

Après avoir côtoyé plusieurs militants algériens et français, convaincus de la justesse de la cause algérienne et de ses nobles principes, il rejoint les rangs de la Révolution durant la même année.

Très actif et sollicité par ses compagnons, Michel Martini est découvert par les autorités coloniales qui décident de l’arrêter et de le placer en résidence surveillée à Sidi Mahdjoub près de Médéa. Il est emprisonné à Oran du 7 septembre 1956 au 3 août 1957.

A sa sortie de prison, il se réfugie en Tunisie pour poursuivre son parcours militant, où il prend attache avec plusieurs responsables de la santé dans les rangs de l’Armée de libération nationale (ALN). Il rencontre également plusieurs dirigeants de la Révolution algérienne, dont Krim Belkacem, Abdelhamid Mehri et Ferhat Abbas.

Engagé à soigner les blessés de l’ALN, docteur Martini veillait également à former les jeunes étudiants et à les préparer à prendre la relève dans le domaine de la Santé, après le recouvrement de la souveraineté nationale de leur patrie.

A l’indépendance, il est de retour en Algérie où il a marqué de son empreinte les hôpitaux ayant connu son passage, le dernier en date le Centre hospitalo-universitaire (CHU) de Douera. Après sa retraite il décide d’écrire ses mémoires, contribuant ainsi à l’enrichissement de la bibliothèque historique algérienne.

En cette douloureuse épreuve, le ministre des Moudjahidine et des Ayants-droit, Laid Rebiga, a présenté ses condoléances les plus attristées et ses sincères sentiments de compassion, à la famille du défunt et à ses compagnons moudjahidine, ainsi qu’aux amis de la Révolution algérienne.

APS

13e édition du festival international de la miniature et de l’enluminure : Un espace d’échange culturel

13e édition du festival international de la miniature et de l’enluminure : Un espace d’échange culturel

Placée sous le thème «Esthétique, essence artistique, identité et créativité», la 13e édition du Festival international de la miniature et de l’enluminure a été ouverte, hier, au Centre national des études andalouses, à Tlemcen, avec la participation d’une dizaine de pays étrangers et de 4 écoles régionales (Mostaganem, Constantine, Tizi Ouzou et Azzazga).

Cette nouvelle édition s’annonce très riche. Elle met en évidence le savoir-faire et la création de la jeunesse, tout en incitant à la préservation de notre riche patrimoine.
La cérémonie d’ouverture a été marquée par une minute de silence à la mémoire du peuple palestinien, qui est également à l’honneur. Dans une déclaration à la presse, en marge de la cérémonie, le wali,
M. Bechellaoui, a affirmé que «la ville de Tlemcen œuvre à conserver le patrimoine algérien». Cette manifestation, estime-t-il, «est une occasion pour échanger avec les autres cultures et de coopérer avec les différents artistes».
De son côté, Mme Samia Kadrine, commissaire du festival, a qualifié cette édition «d’exceptionnelle», à l’image du pavillon d’exposition dédié à la Palestine. «Cette manifestation, qui regroupe des artistes spécialisés dans l’art islamique parmi les plus célèbres, est l’occasion pour rendre hommage au miniaturiste Aboubakr Sahraoui, étudiant de la première promotion post-indépendance de l’école nationale supérieure des beaux-arts d’Alger», a-t-elle déclaré, rappelant que cette manifestation «met en lumière l’importance de l’expression artistique dans la création d’œuvres uniques». Plus de 70 artistes algériens et étrangers ont pris part à cette nouvelle édition. Il s’agit de l’Iran, de l’Indonésie, de l’Ouzbékistan, de l’Égypte, de l’Irak, du Yémen, de la Syrie, de la Tunisie et de la Turquie. Des universitaires et des artistes de renom, notamment l’Iranienne Leïla Menchari, l’Égyptien Aymen Farid Abdelâali et Sinam Naïmi du Qatar, partageront leurs connaissances et leurs réflexions sur le sujet, offrant ainsi aux participants une occasion d’approfondir leur compréhension des différentes traditions artistiques. «Cette diversité culturelle contribuera à enrichir les échanges artistiques et à promouvoir la compréhension mutuelle entre les participants», dit la commissaire du festival, ajoutant : «Le festival est un rendez-vous incontournable pour tous les passionnés d’art.» Des ateliers de formation destinés aux artistes algériens et animés par des experts de renommée internationale dans le domaine de la miniature et de l’enluminure sont également au programme. Les participants auront l’occasion de perfectionner leurs compétences et d’explorer de nouvelles techniques.
La miniature représente visuellement les croyances, les conceptions du monde et les modes de vie, et a également acquis de nouveaux caractères par l’influence de l’islam. Quant à l’art de l’enluminure, comme son nom l’indique, il signifie «mettre en lumière», en général un texte, par le biais de feuilles d’or ou d’argent et des couleurs éclatantes. Les techniques, recettes et sujets proposés sont réalisés avec un souci d’exactitude par rapport à chaque style : romain, gothique, italien… Chacun des modèles présentés développe des approches et des sujets différents adaptés à chaque niveau.
Cette manifestation, qui se poursuivra jusqu’à demain, propose aux visiteurs de découvrir l’esthétique, l’essence artistique, l’identité et la créativité qui émanent des miniatures et de l’enluminure, et de célébrer la richesse de notre patrimoine culturel commun.

EL MOUDJAHID

Algérie Télécom et Djezzy signent un accord de partenariat

Algérie Télécom et Djezzy signent un accord de partenariat

ALGER – L’entreprise de télécommunications « Algérie Télécom » et l’opérateur de téléphonie mobile « Djezzy » ont signé, mercredi à Alger, un accord de partenariat visant à « renforcer davantage leur collaboration fructueuse dans le but d’offrir des services de haute qualité aux citoyens ».

Ce « nouveau partenariat stratégique entre les deux entreprises étatiques s’étend sur plusieurs domaines, incluant notamment la promotion des produits et services, ainsi que le développement des contenus numériques », précise un communiqué conjoint des deux entreprises, soulignent leur « volonté commune de contribuer au développement des télécommunications en Algérie ».

Un premier accord de partenariat a été signé entre Algérie Télécom et Djezzy en décembre 2022, rappelle la même source.

« Ces accords témoignent d’une approche innovante et d’une vision partagée, reflétant l’ambition conjointe de ces deux entreprises étatiques d’élever les standards dans le domaine des télécommunications dans notre pays », souligne le communiqué.

La cérémonie de signature s’est tenue au siège de Djezzy à Dar El Beida, en présence du directeur général de Djezzy, Mahieddine Allouche, et du Président directeur général d’Algérie Télécom, Adel Bentoumi, ainsi que des cadres des deux entreprises, ajoute la même source.

APS