Futsal/CAN 2024: les matchs Algérie-République dominicaine reprogrammés à la salle Harcha

Futsal/CAN 2024: les matchs Algérie-République dominicaine reprogrammés à la salle Harcha

ALGER – Les deux matchs amicaux entre l’équipe nationale algérienne de futsal et son homologue de la République dominicaine, ont été finalement reprogrammés à la salle Harcha Hassan (Alger), aux mêmes dates: vendredi 15 et samedi 16 décembre 2023 à 19h00, a indiqué, jeudi un communiqué de la Fédération algérienne de football (FAF).

Les deux rencontres étaient initialement prévues à Harcha, avant de les délocaliser à la salle des frères Aouina d’El Achour, pour enfin reprogrammer à la salle Harcha à la même heure.

Ces deux confrontations seront certainement une occasion pour l’équipe nationale de se mesurer à une sélection internationale et ajuster ses tactiques en vue de la qualification à la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024, estime l’instance.

L’équipe algérienne effectue depuis le 10 décembre et jusqu’au 18, un regroupement où elle est soumise à deux séances d’entraînement quotidiennes, suivant le programme établi par le sélectionneur national Nordine Benamrouche.

Pour rappel, le tirage au sort pour déterminer le calendrier des éliminatoires de la CAN-2024 de Futsal aura lieu au cours de la dernière semaine de décembre 2023.

Huit nations seront qualifiées à la phase finale prévue au mois d’avril 2024 dans un pays qui reste à déterminer après le retrait du Mozambique de son organisation.

Outre l’Algérie, la liste des sélections concernées par les éliminatoires se compose aussi de l’Angola, du Cameroun, de la Côte d’Ivoire, de l’Egypte, du Ghana, de Libye, du Maroc, de la Namibie, de la Tanzanie et de la Zambie.

La précédente édition de la CAN de Futsal s’est déroulée en 2020 au Maroc et remportée par le pays organisateur.

APS

Exposition à l’Université « Benyoucef Benkhedda » pour encourager l’entrepreneuriat chez les jeunes

Exposition à l’Université « Benyoucef Benkhedda » pour encourager l’entrepreneuriat chez les jeunes

ALGER – Le Centre de développement de l’entrepreneuriat à l’Université d’Alger 1 « Benyoucef Benkhedda » a organisé, mercredi, une exposition visant à encourager l’esprit entrepreneurial chez les jeunes et à expliquer les procédures relatives au lancement de leur propre projet.

Cet évènement qui s’est déroulé avec la participation de plusieurs établissements algériens publics et privés et de startups, a été l’occasion de fournir des explications exhaustives aux étudiants et aux porteurs de projets, notamment en ce qui concerne les étapes de création d’une startup ou d’une micro-entreprise et les modalités d’obtention du label « Startup », en expliquant les avantages accordés par les dispositifs d’appui et de financement.

Dans une déclaration à la presse à cette occasion, le recteur de l’Université d’Alger 1 « Benyoucef Benkhedda », Fares Mokhtari, a souligné que cette initiative avait pour but de « créer des passerelles de communication entre les entreprises économiques et les porteurs de projets, ainsi qu’un espace de networking entre les jeunes entrepreneurs en vue d’ancrer la culture entrepreneuriale chez les étudiants et leur permettre de créer leur propre entreprise ».

Dans ce contexte, il a mis en exergue le rôle des entreprises économiques dans l’orientation des jeunes porteurs de projets à travers un accompagnement continu, affirmant que cette dynamique est à même de résorber le chômage et de permettre à l’étudiant de passer « du projet chercheur d’emploi » à celui de « créateur d’emplois et de richesse ».

Les activités de cette exposition qui s’inscrit dans le cadre du programme visant à atteindre un million d’étudiants entrepreneurs, se poursuivent jusqu’à jeudi prochain.

APS

Les manifestations du 11 décembre ont illustré l’adhésion du peuple au FLN et à l’ALN

Les manifestations du 11 décembre ont illustré l’adhésion du peuple au FLN et à l’ALN

ALGER – Une conférence a été organisée, mercredi à Alger, par la bibliothèque du Palais de la Culture Moufdi Zakaria sur les valeurs nationalistes des manifestations du 11 décembre 1960 notamment l’adhésion du peuple algérien au Front de libération nationale (FLN) et à son armée l’ALN.

Intervenant à cette conférence tenue à l’occasion du 63e anniversaire de ces manifestations, l’universitaire Mouloud Grine (université de Médéa) a qualifié cet évènement de « tournant décisif à travers lequel le peuple algérien s’était rassemblé autour du FLN et de l’ALN car convaincu de l’impératif d’arracher l’indépendance ».

Le FLN avait profité de ces évènements pour l’internationalisation de la cause algérienne et l’appui du dossier de l’indépendance totale, a-t-il précisé le conférencier, ajoutant que les slogans brandis par les manifestants étaient étudiés et exprimaient l’attachement des Algériens à leur unique représentant tout en revendiquant le recouvrement de la souveraineté sur tout le territoire.

De son côté, Touati Dahmane de l’Université de Tipasa, a rappelé comment l’histoire des manifestations a constitué « un indicateur de la fin des illusions » tissées par les Français parmi des dirigeants politiques, des militaires et des colons qui se sont prévalus d’un pseudo droit à la terre, d’autant plus que les manifestations populaires étaient intervenues pour dire haut et fort que le territoire algérien est hérité par les enfants du peuple algérien et leur appartient à eux seuls.

Dans le même contexte, l’intervenant a salué le rôle historique du peuple algérien qui a été « le gardien de l’identité nationale, de sa culture et de sa civilisation », et ce depuis les premières années de la résistance populaire et aussi lors de haltes cruciales, comme les manifestations du 8 mai 1945, du 17 octobre 1961 et du 27 février 1962.

Quant à Moussa El Houari de l’Université d’Alger 2, il a estimé que ces manifestations ont battu en brèche tous les doutes que l’ennemi a tenté de propager, d’autant que le peuple a affirmé son lien étroit et son adhésion à l’Armée de libération nationale (ALN), outre le fait qu’elle ont démasqué les crimes du colonisateur français contre les manifestants de tout âge.

APS

La pensée acharite a favorisé la stabilité au sein des peuples musulmans

La pensée acharite a favorisé la stabilité au sein des peuples musulmans

BORDJ BOU ARRERIDJ – Les participants au 4ème colloque international « cheikh Mohamed Larbi Ettebani » sur la pensée acharite et son rôle dans l’unité religieuse au Maghreb arabe et en Afrique ont affirmé mercredi à Bordj Bou Arreridj que « cette pensée reposant sur une approche mesurée et médiane a favorisé l’instauration d’un climat de stabilité au sein des peuples musulmans ouvert au dialogue et rejetant l’exclusion ».

Présidant l’ouverture de la rencontre de deux jours à l’Université Mohamed El Bachir El Ibrahimi, le président du Haut conseil islamique (HCI), Bouabdallah Ghlamallah, a souligné que « l’Algérie a contribué par ses savants et chouyoukh à diffuser les principes de la pensée acharite dans le Maghreb arabe et en Afrique », estimant que « ces principes constituent le référent vers lequel l’on recourt pour affronter les tendances extrémistes qui œuvrent pour la déstabilisation, la désintégration du tissu social et la diffusion du désespoir au sein des générations montantes ».

Relevant la participation à la rencontre d’oulémas de différentes régions du monde et de multiples universités nationales, le président du HCI a exprimé sa profonde inquiétude face à ce qui se passe en Palestine, affirmant « nous sommes convaincus que les palestiniens vaincront et recouvreront leurs terres et la mosquée El Aqsa ».

De son côté, le Secrétaire général Adjoint de la Ligue islamique mondiale, Dr.Abdulrahman Bin Abdullah Al-Zaid d’Arabie Saoudite, a souligné que « l’Islam est une religion de tolérance et de fraternité qui prêche l’unité et rejette la zizanie ».

Le recteur de l’Université Ez-zitouna (Tunisie), Abdelmadjid Nedjar, a relevé que le legs intellectuel de la pensée acharite recèle de précieux trésor que les jeunes chercheurs sont aujourd’hui appelés à mettre au jour sur la voie de la renaissance.

Pareilles rencontres ont pour objectif de revitaliser le patrimoine légué par la pensée acharite et ses maîtres dont Mohamed Larbi Ettebani, Es-senoussi et autres dont les efforts et œuvres ont unifié le peuple algérien sous la même école dogmatique et sous le même rite juridique, a affirmé, Kamel Bouzidi, membre du HCI.

Initiée par le HCI sous l’égide du président de la République, cette rencontre qui se poursuivra demain regroupe des universitaires et choyoukh d’Algérie et de plusieurs autres pays dont l’Arabie saoudite, le Qatar, la Tunisie, la Libye et le Sénégal.

APS

Agression sioniste : 18 682 martyrs et environ 50 000 blessés à Ghaza et en Cisjordanie

Agression sioniste : 18 682 martyrs et environ 50 000 blessés à Ghaza et en Cisjordanie

Le nombre de martyrs dans les agressions sionistes contre la bande de Ghaza et la Cisjordanie occupée s’est élevé à 18 682 et celui des blessés à 50 000, a fait savoir mercredi le ministère palestinien de la Santé. 

Le ministère a indiqué, dans son rapport, que 18 400 Palestiniens sont tombés en martyrs dans la bande de Ghaza, selon le Bureau central des statistiques, et plus de 50 000 ont été blessés, tandis que le nombre de martyrs en Cisjordanie occupée, s’élève à 282.

Il a expliqué que la grande majorité des martyrs, soit 70%, étaient des femmes et des enfants, alors que des milliers sont toujours portés disparus.

Les forces d’occupation sionistes ont pris d’assaut l’hôpital Kamal Adwan à Beit Lahia, arrêté son directeur, transféré environ 70 membres du personnel médical vers un lieu inconnu, selon des sources palestiniennes.

Le ministère a expliqué que des maladies se sont propagées à Ghaza en raison de la surpopulation au niveau des hôpitaux.

360 000 cas de maladies infectieuses ont été enregistrées dans les refuges au sud, selon le ministère de la Santé qui estime que le nombre réel des cas pourrait être plus élevé.

231 attaques contre des établissements de santé ont été enregistrées depuis le début de l’agression, endommageant 60 établissements de santé et 76 ambulances, et la grave pénurie de fournitures et de carburant n’a laissé que 11 hôpitaux sur 36 partiellement fonctionnels.

Les forces d’occupation sionistes ont directement ciblé environ 41 installations appartenant à l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés (UNRWA), tandis que 60 autres installations ont subi des dommages collatéraux.

Le ministère de la Santé a mis en garde contre la catastrophe que représente l’épuisement total des vaccins infantiles, qui aura des répercussions sanitaires désastreuses sur la santé des enfants.

Il a souligné que les efforts déployés pour vacciner les enfants sont minimes, puisque depuis le 4 novembre dernier, 12 000 enfants ont été vaccinés uniquement dans les refuges de l’UNRWA.

R-A