INSP-ENSSEA: accord de partenariat dans la recherche scientifique et les études de santé publique

INSP-ENSSEA: accord de partenariat dans la recherche scientifique et les études de santé publique

Un accord de partenariat a été signé, mercredi à Alger, entre l’Institut national de santé publique (INSP) et l’Ecole nationale supérieure de statistique et d’économie appliquée (ENSSEA), en vue de développer les activités communes dans le domaine de la recherche scientifique et des études de santé publique.

A cette occasion, le directeur de l’INSP, Abderrezak Bouamra, a précisé que l’INSP tend, à travers la signature de cet accord, à « mettre en place un système de surveillance des maladies et d’analyse de données pour permettre d’améliorer les stratégies mises au point ».

Pour ce faire, a-t-il ajouté, « l’on s’appuiera sur les spécialités disponibles au niveau de l’ENSSEA, à travers l’introduction de nouvelles techniques et outils dans le processus d’analyse afin de développer les études prospectives, d’améliorer les stratégies, de promouvoir l’échange d’expertises et les services assurés par l’institut ».

Dans le même sillage, le directeur de l’ENSSEA, Rachid Toumache, a affirmé que la signature de cet accord s’inscrit dans le cadre de « la stratégie de l’école visant à élargir la coopération avec le milieu universitaire aux niveaux national et international », l’objectif étant, a-t-il dit, « d’améliorer les analyses et les prévisions futures en s’appuyant sur les statistiques comme outil d’analyse et en utilisant des techniques comme l’analyse des données, les technologies modernes et l’intelligence artificielle ».

Les clauses de cet accord prévoient l’organisation d’événements scientifiques conjoints et de sessions de formation sur des questions d’intérêt commun, l’échange d’informations, le renforcement et la gestion des projets de recherche dans les domaines scientifiques relevant des spécialités des deux parties, et le développement de programmes de recherche conjoints en collaboration ou en partenariat avec des universités et des écoles supérieures.

Benbrahem participe à un Iftar collectif à la place El Kettani (Alger)

Benbrahem participe à un Iftar collectif à la place El Kettani (Alger)

Le président de l’Observatoire national de la société civile, Noureddine Benbrahem, a effectué une visite, mercredi, à la plus grande Khaima d’Iftar, située à la place El Kettani à Bab El Oued (Alger), et organisée par l’association « Amel El Djazaïr », dans le but d’accompagner les actions de solidarité menées par les associations pendant le mois sacré de Ramadhan.

S’exprimant en marge de cette visite, M. Benbrahem a salué la performance de la société civile durant les dix (10) premiers jours de ce mois sacré, une performance qui reflète les valeurs algériennes qui se manifestent davantage durant ce mois béni.

Il a, également, souligné l’importance de la coordination entre les associations et leurs bénévoles d’une part, et les entreprises économiques d’autre part, se félicitant à ce propos du rôle des administrations locales dans l’accompagnement de ces initiatives.

A cette occasion, le président de l’Observatoire national de la société civile s’est dit satisfait de « l’augmentation du rythme des actions de bénévolat durant ce mois béni pour répondre aux besoins des nécessiteux et des personnes de passage », appelant à « pérenniser cette performance après le mois de Ramadhan dans d’autres aspects, tels l’environnement et la formation des jeunes ».

De son côté, la présidente de l’association « Amel El Djazaïr », Meriem Laribi a affirmé que la plus grande Khaima « Marhaba » d’une superficie de 1.500 m2, accueille plus de 1.200 jeûneurs chaque jour, dans le cadre de la consécration des principes de solidarité et d’entraide durant le mois sacré.

« La tente a permis, en collaboration avec les autorités locales, de coordonner les efforts des jeunes bénévoles venus de différentes régions pour servir les jeûneurs », a-t-elle ajouté.

Soirée chaâbi avec Hakim El Ankis et Rafik Amari

Soirée chaâbi avec Hakim El Ankis et Rafik Amari

Une soirée musicale châabi, animée mercredi soir à Alger, par Hakim El Ankis et Rafik Amari, deux interprètes de ce genre classique algérien très populaire, a marqué l’ouverture du programme artistique pour le mois du ramadhan de l’Office Riadh El Feth (OREF).

Devant un public peu nombreux pour cette première soirée de ce programme spécial ramadhan qui se poursuit jusqu’au 5 avril à la salle Ibn Zeydoun de l’Oref, Rafik Amari et Hakim El Ankis, digne héritier de l’art de son père Boudjemâa El Ankis, se sont succédé sur la scène, pour revisiter des pièces célèbres du chaâbi.

Accompagnés par un orchestre de musiciens professionnels, les artistes ont interprété, tour à tour, durant deux heures de temps, des pièces aux titres évocateurs puisées du répertoire chaâbi.

Ouvrant le bal de cette soirée, l’interprète Rafik Amari, a gratifié le public de titres puisés dans le répertoire musical algérien, en alternant entre la chansonnette et « madih », chants de louange au Prophète Mohamed (Qsssl) qui accompagne traditionnellement les soirées du ramadhan.

L’artiste a revisité, à l’occasion, des chants du célèbre chantre de la poésie populaire algérienne dite « Melhoun », Lakhdar Benkhlouf, en plus de ses propres compositions aux arrangements « créatifs ».

Hakim El Ankis, autre nom populaire de la scène chaâbi, a pour sa part, revisité des œuvres de son père, reprises par de grands interprètes du genre, notamment « Hlal ramdan » (Lune du ramadhan), « Oh ya ntiya » et « Menhou li blak ya lalla », exécutée sur une cadence « beroulai », suscitant émerveillement et enthousiasme chez le public.

L’Oref a programmé jusqu’au 5 avril prochain, plusieurs spectacles en hommage à des figures du genre disparues, animés par des interprètes et figures du chaâbi comme Mourad Djaafri, Abdelkader Chaou et Kamel Aziz aux cotés d’autres jeunes interprètes connus de la scène musicale à l’image de Tarik Ayad.

Tournoi international d’Alger U20: Algérie – Egypte (2-1)

Tournoi international d’Alger U20: Algérie – Egypte (2-1)

La sélection algérienne de football des moins de 20 ans (U20) s’est imposée devant son homologue égyptienne sur le score de 2 à 1, mercredi soir au stade Salem Mebrouki de Rouïba dans le cadre du Tournoi international d’Alger « The Youth Warriors Tournament », indique la Fédération algérienne de football (FAF) sur son site officiel.

Malgré une légère domination algérienne durant la première mi-temps, le score était de (0-0) à la pause, avec deux occasions manquées par Kohili à la 41e minute et Ramdaoui à la 44e minute.

Dès le début de la seconde mi-temps, les Algériens ont fait la différence, grâce au but de Hachemi Benslimane à la 47e minute, mais les Egyptiens ont égalisé à la 75e minute par leur attaquant Amour, avant que les Algériens ne trouvent les ressources nécessaires pour reprendre l’avantage qui sera définitive grâce à une réalisation, de Boulbina dans le temps additionnel.

Le stade Salem Mebrouki de Rouïba sera d’ailleurs le théâtre de toutes les autres rencontres hormis le derby maghrébin Algérie -Tunisie domicilié le samedi 23 mars 2024 au stade Omar Hamadi de Bologhine. La clôture de cette compétition juvénile s’effectuera le mardi 26 mars 2024 par le déroulement du match Algérie- Mauritanie à 22h00 à Rouïba.

Il est à rappeler qu’en plus des U20 algériens il y aura la participation de l’Egypte, de la Tunisie et de la Mauritanie à ce tournoi baptisé « The International Youth Warriors Tournament ».

Pour rappel, la sélection algérienne de football des moins de 20 ans (U20) sous la conduite de l’entraîneur Yacine Manaa, avait effectué un stage du 23 au 29 février à Oran, en prévision du Tournoi de l’Union nord- africaine (UNAF), qualificatif à la Coupe d’Afrique des nations de la catégorie prévu en octobre prochain.

Une rapporteuse de l’ONU exige un embargo sur les armes contre l’entité sioniste

Une rapporteuse de l’ONU exige un embargo sur les armes contre l’entité sioniste

La rapporteuse spéciale de l’ONU sur les droits de l’homme dans les territoires palestiniens occupés, Francesca Albanese, a dénoncé l’agression que subit la bande de Ghaza et exigé un embargo sur les armes contre l’entité sioniste.

« Aider le peuple palestinien à Ghaza signifie bloquer l’exportation d’armes » vers l’entité sioniste, a écrit Mme Albanese sur son compte X. Elle a souligné que la Convention sur le génocide impose l’obligation de prévenir ce crime.

Face à cette violation, « une suspension urgente de tous les transferts d’armes (gérés par l’Etat ou à titre privé) vers les territoires à risque est nécessaire », a-t-elle insisté.

Au début du mois de mars, Francesca Albanese avait également appelé à des sanctions économiques et à un embargo sur les armes pour forcer l’occupant sioniste à mettre un terme à ses crimes.

« C’est la seule façon de mettre fin au génocide dans le territoire palestinien », avait-elle alors déclaré.

Mme Albanese a également critiqué la prolifération des colonies juives depuis des décennies en Cisjordanie occupée.

L’occupant « construit des colonies illégales depuis 56 ans: 300 d’entre elles aujourd’hui rien qu’en Cisjordanie et à El-Qods-Est, et elles continuent de croître », a-t-elle souligné.