Génocide à Ghaza: 650 avocats chiliens déposent plainte devant la CPI contre l’entité sioniste

Génocide à Ghaza: 650 avocats chiliens déposent plainte devant la CPI contre l’entité sioniste

 Plus de 650 avocats chiliens ont déposé mardi une plainte devant la Cour pénale internationale (CPI) contre l’entité sioniste pour ses crimes contre l’humanité, génocide et crimes de guerre contre le peuple palestinien dans la bande de Ghaza et en Cisjordanie, y compris à El Qods-Est, ont rapporté des médias sur place.

La plainte a été déposée par une délégation d’avocats dirigée par Nelson Haddad, ancien ambassadeur du Chili en Egypte, en Irak et en Jordanie, et par des membres du Sénat, président de la Commission des droits de l’Homme et des relations internationales, Francesco Shahwan, et l’avocat chercheur Rodolgo Marconi.

Haddad a déclaré qu’ »il était probable que d’autres avocats de différents pays d’Amérique latine se joindraient pour soutenir la plainte ».

Le 4 février dernier, un collectif de 100.000 avocats représentant les barreaux de l’Algérie, la Tunisie, la Palestine, la Jordanie, la Mauritanie et la Libye avaient déposé une plainte devant la CPI contre l’entité sioniste pour ses crimes contre la population de Ghaza.

La CPI a reçu, pour rappel, la première plainte contre l’entité sioniste, le 9 novembre 2023. Ladite plainte a été déposée par un collectif d’avocats issus de plusieurs pays, dont l’Algérie.

Réunion de la commission nationale d’évaluation des risques de blanchiment d’argent et de financement du terrorisme

Réunion de la commission nationale d’évaluation des risques de blanchiment d’argent et de financement du terrorisme

La commission nationale d’évaluation des risques de blanchiment d’argent, de financement du terrorisme et de financement de la prolifération des armes de destruction massive, a tenu sa réunion ordinaire, sous la présidence du ministre des Finances, Laaziz Faid, a indiqué, mardi, un communiqué du ministère.

La réunion, tenue au siège du ministère des Finances, en présence du secrétaire général du ministère de la Défense nationale, en sa qualité de vice-président de la commission, et de membres de cette instance, a été consacrée à l’examen de plusieurs points inscrits à l’ordre du jour et portant essentiellement sur les dispositions à caractère prioritaire prises pour le traitement des problématiques posées dans ce domaine, et la levée des réserves sur Groupe d’Action Financière du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (GAFIMOAN)

Dans son intervention à cette occasion, le ministre des Finances a cité les principales missions assignées à la commission, à savoir l’élaboration d’un rapport national sur l’évaluation des risques de blanchiment d’argent, de financement du terrorisme et de financement de la prolifération des armes de destruction massive, affirmant que ses missions englobaient aussi tous les aspects liés au suivi renforcé et la levée des réserves sur le Groupe.

Evoquant les recommandations de la récente réunion, tenue le 9 novembre 2023, M. Faid a souligné qu’elle a donné lieu à des décisions notamment la désignation du chef de projet qui s’est vu confier la mission de poursuivre les travaux, en veillant à former des groupes de travail et à garantir une expertise spécialisée.

Il a rappelé que le parachèvement de l’opération d’évaluation des risques au niveau national comptait parmi les dispositions revêtant un caractère prioritaire dans le processus d’adaptation du Système national d’évaluation des risques de blanchiment d’argent, de financement du terrorisme et de financement de la prolifération des armes de destruction massive avec les standards internationaux du GAFIMOAN.

Et d’ajouter que «celà permettra de sortir avec des résultats clairs concernant les risques de blanchiment d’argent, de financement du terrorisme et de financement de la prolifération des armes de destruction massive, et de procéder à une compréhension unifiée et globale des risques, et partant la mise en place de politiques idoines pour lutter contre ces risques», ajoute le communiqué.

Cette réunion a été marquée par la présentation d’exposés concernant l’état d’avancement des travaux liés au processus d’évaluation nationale des risques, ainsi que des propositions pour accélérer la préparation du rapport national d’évaluation des risques et aligner le système national sur les normes internationales telles que définies par le Groupe d’action financière.

Le chef de la cellule de traitement des requêtes financières a également présenté le plan d’action de la cellule concernant les mesures de suivi renforcées avec le Groupe d’action financière.

En conclusion, M. Faid a souligné « l’importance et la sensibilité de la question du suivi de toutes les réserves et de leur traitement de manière urgente, en remédiant aux insuffisances identifiées », mettant en évidence la « grande réactivité et interaction » requises de toutes les parties concernées afin de fournir les données et les informations nécessaires pour lutter contre le blanchiment d’argent, le financement du terrorisme et la prolifération des armes de destruction massive.

Il a également insisté sur la nécessité d' »oeuvrer à atteindre le plus haut niveau de conformité aux normes internationales telles que définies par le Groupe d’action financière ».

Parmi les principales conclusions de cette session, figurent « l’enrichissement et le soutien de la composition de l’équipe permanente plurisectorielle chargée de suivre ce dossier de manière régulière, et ce, à travers l’élaboration d’une feuille de route précise en termes d’objectifs et de délais ».

Pour rappel, la Commission nationale d’évaluation des risques de blanchiment d’argent, de financement du terrorisme et de prolifération des armes de destruction massive a été créée en vertu du décret exécutif n 20-398 du 26 décembre 2020.

 

 

 

Arkab évoque avec le conseiller du président béninois la promotion des relations bilatérales

Arkab évoque avec le conseiller du président béninois la promotion des relations bilatérales

 Le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab a évoqué, mardi à Alger, avec le conseiller du président du Bénin, Sinde Chekete, les voies et moyens de renforcer la coopération entre les deux pays dans le domaine des hydrocarbures, selon un communiqué du ministère.  

Lors d’une rencontre tenue au siège du ministère en présence des cadres centraux, les deux parties se sont félicitées des relations d’amitié étroites entre les deux pays, saluant le développement notable des relations bilatérales.

Ils ont affirmé, en outre, l’impératif de développer et de renforcer davantage ces relations, notamment dans le domaine énergétique, lit-on dans le communiqué.

La rencontre a permis également de mettre l’accent sur la possibilité de consolider la coopération, d’accroitre les échanges entre Sonatrach et Sonelgaz et les sociétés béninoises, notamment dans le domaine des hydrocarbures, la commercialisation des produits pétroliers, la production, le transport, la distribution de l’électricité, la maintenance et la commercialisation des équipements électriques, selon la même source.

Dans ce cadre, M. Arkab a affiché « la disposition de l’Algérie à renforcer et à consolider ses relations tout en accompagnant les pays africains dans les domaines énergétiques à travers les échanges et la formation au niveau des instituts relevant des établissements du secteur outre le développement des compétences et l’échange des expériences et d’expertises ».

Pour sa part, le conseiller du président béninois s’est dit satisfait de la qualité des relations unissant son pays et l’Algérie, exprimant la volonté du Bénin de tirer profit de l’expérience algérienne dans plusieurs domaines, l’énergie en particulier.

Le responsable béninois a formulé le souhait de voir « les entreprises algériennes participer aux projets d’investissement au Bénin, notamment dans le domaine énergétique », a conclu le ministère.

    

Pétrole: l’Opep maintient ses prévisions de croissance de la demande mondiale en 2024

La demande mondiale d’or noir devrait encore connaître une croissance « robuste » en 2024, tirée par la Chine, et alimentée par les appétits pour le transport aérien, a indiqué l’Opep mardi dans son rapport mensuel sur le pétrole.

Le monde devrait consommer 104,5 millions de barils de pétrole par jour (mb/j) en moyenne en 2024, puis 106,3 mb/j en 2025, après 102,2 mb/j en 2023, laissant présager de nouveaux records, selon les nouvelles projections mensuelles de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), quasi-inchangées par rapport à celles publiées en février.

Selon l’organisation, « la demande mondiale de pétrole en 2024 devrait connaître une croissance robuste de 2,2 mb/j » par rapport à 2023, soutenue « par une forte demande de transport aérien et une mobilité routière accrue, y compris le diesel routier et le transport par camion », ainsi que par une croissance « saine » dans « les activités industrielles, de construction et agricoles, en particulier dans les pays non membres de l’OCDE ».

L’Opep note toutefois que « ces prévisions restent soumises à de nombreuses incertitudes, notamment des évolutions économiques mondiales ».

A l’échelle régionale, la majeure partie de la croissance de la demande pétrolière devrait se produire dans des économies non-membres de l’OCDE, avec une expansion de près de 2 mb/j en 2024, « tirée » en premier lieu par la Chine (0,63 mb/j) et « soutenue par le Moyen-Orient, les autres pays d’Asie, l’Inde et l’Amérique latine ».

Les membres de l’OCDE, qui comptent les pays les plus riches, devraient représenter une part minime de la croissance de la demande de pétrole : 0,25 mb/j en 2024, tirée par les Amériques (0,21 mb/j), et soutenue par une légère augmentation en Europe et Asie-Pacifique.

En 2025, la demande mondiale de pétrole continuera de croître mais à un rythme moins soutenu de 1,8 mb/j, avec une croissance de 0,1 mb/j dans l’OCDE et de 1,7 mb/j dans les autres pays.

Dans le détail des produits pétroliers, « les carburants de transport devraient stimuler la croissance de la demande de pétrole en 2024 et 2025 ».

En particulier « la demande de carburéacteur (carburant aérien) devrait connaître la plus forte croissance en glissement annuel, à mesure que le trafic aérien international continue de se redresser et d’atteindre les niveaux d’avant la pandémie » et grâce à « un fort trafic aérien intérieur dans toutes les régions », souligne l’Opep.

 

 

 

Décès de Ahmed Abedou: la DG de la communication à la Présidence de la République présente ses condoléances

Décès de Ahmed Abedou: la DG de la communication à la Présidence de la République présente ses condoléances

La Direction générale de la communication à la Présidence de la République a présenté, mardi, ses sincères condoléances à la famille de l’ancien photographe de presse à l’agence Algérie Presse Service (APS), Ahmed Abedou, décédé des suites d’une longue maladie.

 

« C’est avec une immense tristesse que la Direction générale de la communication à la Présidence de la République a appris le décès de l’ancien photographe de presse à l’agence Algérie Presse Service (APS), Ahmed Abedou, des suites d’une longue maladie », lit-on dans le message de condoléances.

En cette douloureuse épreuve, la Direction générale de la communication « présente ses sincères condoléances à la famille du défunt et à l’ensemble de la corporation médiatique, priant Allah Tout-Puissant d’accorder au défunt Sa sainte miséricorde et de prêter à ses proches patience et réconfort. ‘A Allah nous appartenons, à Lui nous retournons’ ».