Début de la réunion de haut niveau du Conseil de sécurité sur la Palestine

Début de la réunion de haut niveau du Conseil de sécurité sur la Palestine

NEW YORK (Nations unies) – Les travaux de la réunion de haut niveau du Conseil de sécurité sur la question palestinienne, ont débuté mardi à New York, avec la participation du ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf, qui a été chargé par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune.

La réunion mensuelle sur la situation au Proche-Orient, notamment dans les territoires palestiniens occupés, doit débuter par une intervention du Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, dans laquelle il va évoquer la situation humanitaire à Ghaza, en proie à une agression sioniste sauvage depuis le 7 octobre, et les difficultés rencontrées pour acheminer l’aide aux habitants.

Chargé par le président Abdelmadjid Tebboune, le ministre Ahmed Attaf est arrivé lundi à New York pour prendre part à cette réunion de haut niveau du Conseil de sécurité.

Selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, cette réunion, à laquelle participe l’Algérie comme seul membre arabe du Conseil de sécurité, s’inscrit dans le cadre des efforts et des démarches visant à exercer davantage de pression pour parvenir à un cessez-le-feu dans la bande de Ghaza, mettre fin à l’agression de l’entité sioniste et lever le blocus imposé par cette dernière aux efforts de secours et d’aide humanitaire.

APS

Finances: réunion de coordination entre la Cosob et la CTRF

Finances: réunion de coordination entre la Cosob et la CTRF

ALGER – La Commission d’organisation et de surveillance des opérations de bourse (COSOB) et la Cellule de traitement du renseignement financier (CTRF), relevant du ministère des Finances, se sont réunies, mardi à Alger, pour examiner les dispositions des nouveaux textes réglementaires liés à la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, indique un communiqué de la COSOB.

Au cours de cette réunion conjointe, tenue au siège de la COSOB, les participants ont examiné les dispositions de la nouvelle loi N 23-01 du 7 février 2023, portant sur la prévention et la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, précise la même source.

Il s’agissait également de l’examen des dispositions du décret exécutif N 23-430 du 29 novembre 2023 fixant les conditions et modalités d’exercice par les autorités de régulation, de contrôle et/ou de surveillance de leurs missions dans le domaine de la prévention et de la lutte contre le blanchiment d’argent, le financement du terrorisme et le financement de la prolifération des armes de destruction massive, à l’égard des assujettis, ajoute le COSOB.

La réunion a également abordé les mécanismes visant à renforcer la coopération entre les deux organismes dans le domaine de la prévention et de la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, conformément aux normes internationales édictées par le Groupe d’action financière (GAFI) et l’Organisation internationale des commissions de valeurs (OICV).

Dans ce contexte, le président de la COSOB, Youcef Bouzenada, cité par le communiqué, a indiqué que « la réunion constituait une opportunité d’échange de points de vue et de renforcement de la coopération entre les deux instances, notamment dans les domaines liés à l’activité du marché des valeurs mobilières ».

Il a aussi souligné « la nécessité de se conformer aux normes internationales dans ces domaines ».

De son côté, le président de la CTRF, Mohamed Saoudia, a confirmé que cette réunion « marque une étape importante dans le renforcement des efforts de l’Algérie en matière de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme et dans la mise en œuvre des recommandations issues du rapport d’évaluation mutuelle du GAFI (le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord) », a fait savoir la COSOB.

La réunion, explique le communiqué, s’est conclue par un accord sur un ensemble de mesures visant à renforcer la coopération entre les deux organismes, comprenant notamment, l’établissement d’un mécanisme de communication permanent entre les deux instances et la préparation d’un nouveau règlement pour la COSOB lié à la lutte contre le blanchiment d’argent, spécifique aux acteurs du marché financier.

La COSOB et la CTRF sont également convenues sur l’échange d’informations et de données liées aux risques liés au blanchiment d’argent et au financement du terrorisme, ainsi que l’organisation des séminaires et des ateliers conjoints de sensibilisation pour renforcer les capacités dans le domaine de la prévention et de la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.

Ces mesures, affirme le COSOB, visent à « renforcer la coordination entre les deux organismes et à améliorer l’efficacité de leurs efforts en matière de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme ».

APS

Rekhroukh rencontre une délégation d’hommes d’affaires américains

Rekhroukh rencontre une délégation d’hommes d’affaires américains

ALGER – Le ministre des Travaux publics et des Infrastructures de base, Lakhdar Rekhroukh a reçu, mardi au siège du ministère, une délégation d’opérateurs économiques et d’hommes d’affaires américains, conduite par M. David Wilhelm, président du Conseil d’administration du Conseil d’affaires algéro-américain (USABC) et M. Ismail Chikhoune, président de l’USABC, a indiqué un communiqué du ministère.

Cette rencontre s’est déroulée en présence des directeurs généraux des groupes et des entreprises économiques sous tutelle, ainsi que des cadres centraux du ministère, précise la même source.

A cette occasion, les deux partis ont discuté de l’état des relations de coopération entre les deux pays dans le domaine des travaux publics et des infrastructures de base et des perspectives de leur consolidation, soulignant « la volonté d’intensifier la coopération et exploiter les opportunités offertes, en vue de promouvoir le partenariat bilatéral dans différents domaines du secteur ».

M. Rekhroukh a exhorté les membres de la délégation américaine à exploiter les différentes opportunités d’investissement disponibles en mettant en œuvre des projets communs dans le domaine des installations de base et des infrastructures, et ce, à la lumière des avantages que notre pays accorde aux investisseurs étrangers.

A cet égard, le ministre a salué les grands projets structurants lancés par l’Algérie afin de renforcer les infrastructures portuaires, routières et ferroviaires, ajoutant que « notre pays avance à pas fermes vers le développement des infrastructures ferroviaires à travers le renforcement et la modernisation du réseau ferroviaire.

Pour sa part, et après avoir écouté les explications apportées sur les projets structurants dans le secteur des travaux publics et des infrastructures de base, la délégation américaine a exprimé son intérêt et sa volonté de participer efficacement à la concrétisation du programme d’investissement en Algérie qui offre un cadre favorable à l’investissement », conclut le communiqué.

APS

L’Algérie pour une nouvelle approche favorable à l’option de la paix et à un règlement équitable et inclusif de la cause palestinienne

L’Algérie pour une nouvelle approche favorable à l’option de la paix et à un règlement équitable et inclusif de la cause palestinienne

NEW YORK (Nations unies) – L’Algérie a plaidé, mardi depuis New York, pour l’adoption d’une nouvelle approche visant à relancer l’option de la paix et parvenir à un règlement « équitable et inclusif » de la cause palestinienne, mettant l’accent sur l’impératif de riposter fermement aux appels sionistes rejetant ouvertement la solution à deux Etats, appuyée par la Communauté internationale comme règlement équitable, viable et définitif du conflit au Proche-Orient.

Cette déclaration a été faite lors de l’allocution du ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf devant le Conseil de sécurité réuni pour examiner la situation en Palestine, particulièrement dans la bande de Ghaza, victime d’une agression sioniste inique.

A l’entame de son allocution, M. Attaf a transmis un message de reconnaissance et de gratitude du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune au Secrétaire général (SG) de l’Organisation des Nations Unies (ONU), Antonio Guterres et à l’ensemble des organes de l’ONU, pour « les efforts qu’ils n’ont eu de cesse de mener en vue d’atténuer les tragédies qui s’abattent sur Ghaza, panser ses plaies et y arrêter l’effusion de sang ».

Il s’agit d’un message de soutien et de reconnaissance, ajoute M. Attaf qui prend part à la réunion, chargé par le président de la République, « des efforts incessants consentis, en dépit des critiques et tentatives d’atteinte à leur crédibilité et autorité, à travers des actes de provocation et de chantage émanant d’une occupation qui se croit invincible et inexpugnable (…) ».

« Nous sommes appelés, en ces heures décisives, à contrer les illusions dont se nourrit l’occupant israélien colonialiste pour renforcer sa sécurité en anéantissant le projet national palestinien », a soutenu le ministre.

« Nous nous devons aussi de contrecarrer les campagnes de confiscation et d’annexion des terres palestiniennes, et d’implantation et d’expansion de colonies israéliennes, dans une tentative d’empêcher l’établissement d’un Etat de Palestine indépendant et souverain ».


M.Attaf a également souligné qu' »il est tout aussi impératif de réprimer l’impétuosité de l’occupant et ses illusions quant au ressuscitement du projet du +Grand Israël+ sur les cendres et les décombres du projet national palestinien ».

Partant de toutes ces considérations, l’Algérie a réaffirmé par la voix de son ministre des Affaires étrangères, sa revendication historique de tenir une Conférence internationale pour la paix, sous l’égide des Nations unies, où il sera convenu de mettre fin au conflit arabo-israélien de manière définitive, conformément aux résolutions de la Légalité internationale, et de mettre en œuvre de la solution à deux Etat « sous la surveillance rigoureuse, le suivi étroit et la garantie sûre » de la Communauté internationale.

« Ce qui se passe, aujourd’hui, à Ghaza nous interpelle plus que jamais quant à l’impératif d’accélérer le traitement de l’essence de ce conflit, à travers le renouvellement et l’activation de notre engagement collectif en faveur de la solution à deux Etats, appuyée par la Communauté internationale comme règlement juste, viable et définitif », a affirmé M. Attaf.

A ce propos, le ministre des Affaires étrangères a appelé l’ONU et le Conseil de sécurité à « répondre avec fermeté aux voix israéliennes qui clament haut et fort leur rejet de cette solution et aux positions qui font fi du consensus international et dénégrent la Légalité internationale » .

Evoquant les engagements et obligations imposés par la conjoncture actuelle envers Ghaza, M. Attaf a affirmé que « la priorité majeure est au cessez-le-feu dont les atermoiements pour sa mise en œuvre sont fustigés de jour en jour, tout comme sont critiqués les prétextes réfutables avancés pour justifier ces lenteurs ».

 

Imposer à l’occupant le respect des garde-fous juridiques internationaux

 

« Il ne peut y avoir d’objectifs plus suprêmes que celui de mettre fin à l’agression, à l’extermination, à la déportation, à la famine, à la destruction et à la profanation », pour que « les dispositions de l’après-guerre » revêtent tout leur sens et pour que « les efforts diplomatiques de règlement du conflit arabo-israélien soient davantage efficaces et efficients », a fait savoir M. Attaf.

Face à la poursuite des agressions et au « blocage » des perspectives d’amener l’occupant ennemi à y mettre un terme, le ministre a estimé que « la Communauté internationale est devant trois défis majeurs: le premier consiste à imposer le respect des résolutions et lois décidées en son nom et faire preuve d’intransigeance face aux  violations flagrantes de ses décisions, en vue de garantir un vivre-ensemble pacifique, civilisationnel et civilisé entre ses membres ».

Pour le second défi, il s’agit de « ne pas admettre qu’un des membres s’arroge le droit de se placer au-dessus de tous et bénéficie d’un traitement sur mesure, riche de dérogations, de sélections, de privilèges et d’immunité indus et inadmissibles », a-t-il ajouté.

Le troisième défi consiste, quant à lui, à « soumettre l’occupation israélienne colonialiste aux garde-fous juridiques internationaux et mettre fin, avec rigueur et fermeté, à ce qui est communément appelé (impunité et non reddition de comptes) ».

Dans ce sens, l’Algérie salue « hautement » les prémices des écarts vis-à-vis de ces traitements privilégiés, qu’on entrevoit à travers des initiatives « nobles, courageuses et audacieuses » visant à amener l’occupant à assumer ses responsabilités, a affirmé M. Attaf qui a rappelé l’initiative du Président Tebboune portant mobilisation des experts juridiques et organisations juridiques internationales en vue de poursuivre l’entité sioniste en justice devant les instances internationales, pour mettre un terme à des décennies d’impunité et de non reddition de comptes dont jouit cette entité, ainsi que l’initiative de l’Afrique du Sud d’intenter une action en justice contre l’occupant devant la Cour internationale de justice (CIJ) pour génocide contre Ghaza.

Le ministre a, en outre, rappelé l’initiative du Chili et du Mexique de saisir la Cour pénale internationale (CPI) pour des crimes multiformes auxquels s’est livrée et se livre l’agresseur sioniste contre la bande de Ghaza, soulignant que « ces initiatives sont dignes de soutien et d’encouragement, car constituant des démarches judicieuses sur la voie de la raison ».

« L’Algérie qui exhorte ces instances judiciaires internationales à s’acquitter pleinement de leurs responsabilités et obligations juridiques, souligne l’impératif de s’acquitter des responsabilités politiques et sécuritaires qui incombent au Conseil de sécurité, en sa qualité de première instance garante et gardienne de la paix et de la sécurité internationales », a-t-il poursuivi, réitérant l’appel de l’Algérie à l’octroi à l’Etat de Palestine la qualité de membre à part entière à l’Organisation des Nations unies, « une demande appuyée par le Mouvement des Non-alignés à l’occasion de leur dernier Sommet, en tant que mesure urgente à même de consacrer les fondements essentiels de la solution à deux Etats et en tant que pas incontournable de préservation des fondements juridiques de l’édification de l’Etat de Palestine indépendant et souverain sur les frontières de 1967, avec Al-Qods pour capitale.

« A l’heure qu’il est, on ne peut plus faire marche arrière. La cause palestinienne ne sera plus reléguée aux calendes grecques, tout comme l’effort international ne doit plus se limiter à la prise en charge des séquelles de la Guerre et en ignorer les véritables causes », a souligné le ministre.

« Il nous est impardonnable de laisser l’objectif de paix et de sécurité au Proche-orient à la merci de l’occupant israélien, et lui permettre d’en disposer à guise, d’en faire un fond de commerce, de l’utiliser pour soudoyer qui il veut et d’en user et abuser pour faire pression sur qui bon lui semble », a-t-il conclu.

APS

Attaf rencontre à New York ses homologues des Etats membres et non-membres du Conseil de sécurité

Attaf rencontre à New York ses homologues des Etats membres et non-membres du Conseil de sécurité

ALGER – Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf a tenu, mardi au siège des Nations unies (ONU), plusieurs rencontres bilatérales avec ses homologues, parmi les représentants des Etats membres et non-membres du Conseil de sécurité, notamment, la Russie, l’Indonésie, l’Iran, la Jordanie, la Malaisie et le Liban, et ce dans le cadre de la mission principale qu’il accomplit à New York, chargé par le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune de prendre part à la séance-débat de haut niveau du Conseil de sécurité sur la question palestinienne, indique un communiqué du ministère.

« Dans le cadre de la mission qu’il accomplit à New York, chargé par Monsieur le Président de la République de prendre part à la séance-débat de haut niveau du Conseil de sécurité sur la question palestinienne, le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf a tenu, mardi au siège de l’ONU, plusieurs rencontres bilatérales avec ses homologues parmi les représentants des Etats membres et non-membres au Conseil de sécurité, notamment, la Russie, l’Indonésie, l’Iran, la Jordanie, la Malaisie et le Liban ».

Dans ce cadre, ses discussions avec avec son homologue russe, Serguei Lavrov, ont été axés sur les relations de coopération et de partenariat unissant les deux pays, ainsi que les voies et moyens de renforcer leur coordination au sein du Conseil de sécurité, notamment en ce qui a trait aux questions qui s’inscrivent au cœur de leurs préoccupations, à leur tête la question palestinienne et la situation dans la région sahélo-saharienne, indique le communiqué.

Lors de sa rencontre avec son homologue indonésienne, Mme Retno Marsudi, M. Attaf a évoqué la nécessité d’intensifier les pressions diplomatiques, politiques et juridiques en vue d’un cessez-le-feu à Ghaza et de mettre un terme à l’immunité dont bénéficie l’occupant sioniste colonialiste, et ce à travers l’intensification des démarches et des efforts à l’endroit du Conseil de sécurité et des différentes instances judiciaires internationales.


Par ailleurs, la rencontre entre M. Attaf et le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amirabdollahian, a permis d’examiner les moyens de renforcer les relations bilatérales, notamment à l’approche de la visite officielle qu’effectuera le président iranien, Ebrahim Raissi, en Algérie.

Les deux parties ont, également, évoqué la situation dans les territoires palestiniens occupés et les répercussions de l’agression sioniste contre Ghaza sur la sécurité et la stabilité de la région tout entière, ajoute la même source.

D’autre part, les entretiens avec le vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères et des Expatriés du Royaume de Jordanie, Ayman Safadi, étaient une occasion de passer en revue la dynamique positive qui marque les relations bilatérales au vu de la vision commune des dirigeants des deux pays visant à renforcer la coopération et à la hisser à un niveau supérieur.

« Les deux ministres ont convenu de poursuivre la coordination en vue de soutenir le peuple palestinien frère et d’œuvrer avec les différents acteurs internationaux à l’effet de mettre fin à l’agression injuste dont il est victime », lit-on dans le communiqué.

Le chef de la diplomatie algérienne a aussi rencontré son homologue malaisien, M. Mohamad Hassan, avec lequel il a passé en revue l’état des relations algéro-malaisiennes et les moyens de les renforcer conformément aux aspirations des peuples et des dirigeants des deux pays. Les deux parties ont évoqué les développements de la cause palestinienne et la souffrance du peuple palestinien, et ont convenu de poursuivre la coordination en adéquation avec les positions de principe des deux pays dans leur soutien constant au peuple palestinien et à ses droits légitimes.

En conclusion, M. Attaf et son homologue libanais, M. Abdallah Bouhabib, ont évoqué les relations exceptionnelles unissant les deux pays et les voies et moyens de promouvoir la coopération bilatérale dans de nombreux domaines, soulignant à ce propos la nécessité de renforcer les traditions de concertation et de coordination entre les deux pays, notamment sur les questions qui concernent la région arabe au Conseil de sécurité, dont notamment la nécessité d’intensifier les efforts et les initiatives en vue d’un cessez-le-feu à Ghaza et d’éviter un conflit régional qui menace la paix et la sécurité régionale et internationale, ajoute la source.

aps