La recomposition géopolitique mondiale exige davantage de coordination et d’action collective

La recomposition géopolitique mondiale exige davantage de coordination et d’action collective

ALGER – Le vice-président de l’Assemblée populaire nationale (APN), Abdallah Ammari, a affirmé jeudi à Ankara, que les défis imposés par les stratégies de recomposition géopolitique mondiale exigeaient davantage de coordination et d’action collective entre les organisations régionales et internationales.

Participant à la 61e session de l’Assemblée parlementaire de coopération de la Mer Noire (AP-CEMN) à Ankara en Turquie, en sa qualité de représentant du Président de l’APN, M. Brahim Boughali, président de l’Union des assemblées des Etats membres de l’Organisation de la coopération islamique (OCI), M. Ammari a fait savoir que les défis découlant des stratégies de la recomposition géopolitique mondiale requièrent plus de coordination et d’action collective au sein des organisations régionales et internationales en vue de renforcer la coordination, la cohésion sociale et le développement économiques des pays », a précisé un communiqué de la Chambre basse.

M. Ammari a appelé dans une allocution lue au nom de M. Brahim Boughali au « renforcement de la coopération entre l’Union des assemblées des Etats membres de l’OCI et l’AP-CEMN », mettant l’accent sur « l’importance d’élargir la coopération entre les deux instances parlementaires qui aspirent au développement et à la réalisation de la paix et de la stabilité ».

A cette occasion, M. Ammari a rappelé l’importance majeure de la Cause palestinienne pour l’Union des assemblées des Etats membres de l’OCI, en général, et particulièrement pour l’Algérie, appelant à œuvrer dans les cadres parlementaires régionaux et internationaux au triomphe de cette cause et pour l’établissement d’un Etat palestinien indépendant dans les plus brefs délais, ajoute la même source.

M. Ammari a pris part aux travaux de cette session aux côtés de M. Ben Hamouda Mohamed Yazid, membre de la Commission exécutive de l’Union des assemblées des Etats membres de l’OCI.

APS

L’Agence algérienne de coopération internationale lancera ses premiers projets en Afrique dans un mois

L’Agence algérienne de coopération internationale lancera ses premiers projets en Afrique dans un mois

ALGER – Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a affirmé que l’Agence algérienne de coopération internationale pour la solidarité et le développement « lancera, dans un mois, des projets de développement dans les pays africains, à commencer par le Mali et le Niger », précisant que les activités de cette Agence seraient principalement axés sur les volets santé, eau et éducation.

Dans son entrevue périodique avec des représentants de médias nationaux coïncidant avec la Journée mondiale de la liberté de la presse, diffusée samedi soir sur les chaines de télévision et stations de radio nationales, le président de la République a indiqué avoir  « nommé, il y a une semaine, un nouveau directeur de l’Agence, et dans un mois, les premiers chantiers seront lancés dans la ville de Kidal au Mali, avec la réalisation d’un dispensaire et d’une école, ainsi que le forage d’un puits pour assurer un approvisionnement en eau potable ».

L’Agence algérienne de coopération internationale pour la solidarité et le développement a pour mission de « contribuer à résorber la pauvreté et lutter contre la soif et le manque d’infrastructures de soins et d’évacuation des eaux », a-t-il précisé.

Et d’ajouter que l’Agence, pour laquelle l’Etat a affecté une enveloppe financière d’un milliard de dollars, a également élaboré un programme pour concrétiser des projets de réalisation d’un lycée au Niger et de parachèvement de la réalisation d’une mosquée, à la demande de la population locale.

De tels projets constitueront une opportunité pour les médecins algériens de se déployer en Afrique plutôt que de se diriger vers l’Europe, a-t-il soutenu.

Créée en 2020, l’Agence a pour missions de participer à l’élaboration et à la mise en œuvre de la politique nationale de coopération internationale en matière économique, sociale, humanitaire, culturelle, cultuelle, éducative, scientifique et technique et de contribuer à la préparation du projet de budget de la coopération internationale et d’en assurer l’exécution.

Elle est également chargée d’apporter son concours à l’action de l’appareil diplomatique et des ministères concernés pour la mobilisation optimale de l’assistance technique et financière extérieure au service du développement national et d’assurer le suivi de la gestion technique et financière des projets d’assistance et de coopération internationale, en faveur de pays tiers.

Le président de la République a souligné que l’Algérie, qui s’efforce de « revenir dans le giron africain », a « retrouvé aujourd’hui sa place sur le continent », notant que l’objectif de l’Agence algérienne de coopération internationale pour la solidarité et le développement c’est « le développement et la fraternité » en Afrique.

Le Président Tebboune a également affirmé la volonté de l’Algérie, troisième puissance économique et deuxième puissance militaire du continent, de se positionner en Afrique, rappelant les efforts consentis par les autorités, au cours des dernières années, pour l’ouverture d’une ligne maritime pour le transport de marchandises avec Nouakchott et d’une ligne maritime vers Dakar puis vers la Côte d’Ivoire.

Il sera procédé, dans deux à trois mois, à l’ouverture de la première banque algérienne à Dakar au Sénégal a annoncé le Président Tebboune qui a mis en avant « les atouts dont dispose l’économie algérienne pour accéder au marché africain ».

Evoquant les exportations hors hydrocarbures « restées de simples slogans depuis la charte nationale de 1976 », en ce qu’elles n’ont pas dépassé le seuil de 1,8 milliard de dollars depuis l’indépendance, le président de la République a rassuré que l’Algérie a pu atteindre près de 7 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures en 2022 et que les pouvoirs publics s’étaient sont fixés pour objectif d’atteindre « 13 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures, ce qui veut dire qu’il existe un produit national exportable ».

Le président de la République a souligné, à ce propos, que les produits algériens, pour ne citer que le fer, l’acier et le ciment, sont exportés en Europe, en Amérique, en Afrique et dans les pays du Maghreb arabe, relevant que l’acte d’exportation est à même de créer une dynamique de production et d’investissement et de l’emploi, tout en exprimant sa satisfaction quant au nombre croissant de start-up qui exportent elles-mêmes leurs produits.

aps

 

Commerce: Zitouni dévoile une feuille de route pour l’organisation du secteur et la régulation des prix

Commerce: Zitouni dévoile une feuille de route pour l’organisation du secteur et la régulation des prix

ALGER – Le ministre du Commerce et de la Promotion des exportations, Tayeb Zitouni a dévoilé, samedi à Alger, une feuille de route qui se décline en six principaux axes pour l’organisation du secteur dont la mise en œuvre d’un « plan de distribution » en vue de lutter contre la flambée des prix et assurer la distribution, régulière et équitable, des produits de large consommation.

Intervenant lors des travaux de la rencontre nationale des cadres de son département ministériel, M. Zitouni a expliqué que cette stratégie qui s’inscrit dans le cadre des réformes initiées par le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, consiste en « la moralisation de l’administration » et la valorisation des compétences.

La feuille de route inclut également l’élaboration « d’un plan de distribution dans l’objectif de lutter contre la flambée des prix et la pénurie de certains produits en vue de garantir une distribution équitable et régulière des produits de large consommation et de mettre fin à la spéculation et au monopole », a poursuivi le ministre.

Elle prévoit aussi, ajoute M. Zitouni, la coordination avec les services du ministère de l’Intérieur pour résorber le marché informel et réorienter les espaces commerciaux réalisés.

Le secteur compte arrêter un programme continu de contrôle de la conformité des produits vendus et s’assurer de la transparence des pratiques commerciales des différents opérateurs à travers le contrôle du marché au niveau des chaines de production et de distribution, a-t-il dit.

Concernant les prix, M. Zitouni a mis l’accent sur la nécessité de prendre en considération « leur restructuration » notamment ceux des produits importés.

Après examen de la structure des prix de certains produits, l’on constate des marges bénéficiaires « injustifiés et inacceptables », en dépit de la baisse considérable des coûts de transport et de shipping internationaux par rapport à la période Covid-19.

A cette occasion le ministre a appelé les opérateurs économiques à « revoir la marge bénéficiaire appliquée sur les produits commercialisés en vue de protéger le pouvoir d’achat des citoyens et d’adhérer à la stratégie de l’Etat et aux efforts des pouvoirs publics, évoquant la possibilité de classer les manipulateurs des prix des produits importés dans la catégorie des « spéculateurs ».

M. Zitouni a exigé de prendre « des mesures strictes » pour « mettre un terme » aux infractions répétées enregistrées sur le marché national, telle que le non affichage des prix, le non respect de l’hygiène et de la santé publique, tout en renforçant les mécanismes de lutte contre les pratiques commerciales illégales notamment la spéculation illicite, à travers l’adoption d’un programme spécial en coordination avec tous les intervenants à même d’assurer une disponibilité régulière des produits et de suivre de près les niveaux des stocks dont les produits agricoles et alimentaires dans les chambres froides et les espaces de stockage.

« Tous les produits stockés dans les espaces non déclarés auprès des services du ministère du Commerce sont automatiquement considérés comme des produits destinés à la spéculation illicite contre lesquels des mesures coercitives seront appliquées de plein droit en vue de mettre un terme à ces pratiques préjudiciables aux intérêts du citoyen et de l’économie nationale », a insisté M. Zitouni.

Evoquant les programmes de permanence, le ministre a indiqué que le secteur s’attellait à élaborer un programme de permanence « plus efficace » en parallèle avec la prolongation de la durée des fêtes de Aïd El Fitr et Aïd El Adha, soit trois jours chômés et payés au lieu de deux jours, avec la mise en place d’un « plan proactif » pour approvisionner le marché durant

Aïd El Adha, ainsi que durant la saison estivale et la rentrée sociale.

Il a rappelé les multiples mécanismes à concrétiser pour réaliser l »équilibre de la triptyque « importation-production-exportation » dont la mise en place d’une banque d’informations sur le commerce notamment extérieur, l’accélération du traitement des dossiers d’importation pour réduire la durée de séjour des conteneurs dans les zones sous contrôle des douanes et mettre fin aux pratiques frauduleuses enregistrées dans certaines activités, à travers leur encadrement par des lois et des cahiers des charges en vue d’assurer le suivi sur le terrain de toute opération.

 

Accélérer la digitalisation et généraliser l’utilisation du e-paiement dans toutes les transactions

Concernant les exportations hors hydrocarbures, des marchés de gros et des bases logistiques devraient être exploités comme plateformes pour l’exportation des produits vers les marchés internationaux, notamment africains, avec l’activation d’une cellule d’écoute au profit des exportateurs, outre la mise en place rapide d’un programme des participations de l’Algérie aux manifestations économiques à l’étranger durant le deuxième semestre de 2023 et en 2024.

Ces mécanismes englobent, également, l’ouverture de succursales de la société SAFEX au Niger, en Mauritanie et au Sénégal, de manière à constituer une vitrine permanente pour la distribution et la promotion des produits algériens.

La révision de l’organisation de l’Agence nationale de promotion du Commerce extérieur « ALGEX » et de la Chambre algérienne de commerce et d’industrie (CACI), ainsi que la structure des conseils d’hommes d’affaires, figurent aussi dans la feuille de route du ministère qui ambitionne, par ailleurs, d’accélérer l’élaboration des textes réglementaires des zones franches, sur lesquels l’on mise pour renforcer le prolongement africain et capter les investissements étrangers créateurs de richesse et de valeur ajoutée.

La feuille de route présentée par le ministre prévoit, entre autres, la numérisation accélérée du secteur, avec la généralisation, à partir de ce jour, de l’utilisation des TPE dans toutes les opérations et prestations fournies, y compris pour le paiement des taxes et amendes, d’abord au niveau des instances sous tutelle du ministère du Commerce, en attendant sa généralisation aux commerçants.

M. Zitouni a relevé, par ailleurs, l’importance de l’action participative en matière de prévention, de contrôle et de sensibilisation de la société civile, en étant à l’écoute des associations professionnelles et de protection du consommateur, et en activant un plan de communication et d’information efficace pour lutter contre les rumeurs visant à semer la confusion et à influencer le marché national.

aps

Fonds et biens pillés : l’Etat a récupéré plus de 22 milliards USD

Fonds et biens pillés : l’Etat a récupéré plus de 22 milliards USD

ALGER- L’Etat a récupéré pour plus de 22 milliards USD de fonds et de biens pillés à l’intérieur du pays et à l’étranger, a affirmé le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune assurant de la poursuite des enquêtes dans les affaires de corruption.

Lors de son entrevue périodique avec des représentants de médias nationaux, diffusée samedi soir sur les chaines de télévision et stations de radio nationales, le président de la République a précisé que « le dernier rapport des services des ministères de la Justice et des Finances révèle la récupération de plus de 22 milliards USD de fonds et de biens pillés à l’intérieur du pays et à l’étranger », soulignant que « l’enquête sur les affaires de corruption se poursuit de manière quotidienne et ne se limite pas aux anciens dossiers, mais concerne également de nouvelles affaires ».

Assurant que « l’Etat a pu récupérer un volume important de fonds et de biens détournés et le travail se poursuit », le Chef de l’Etat a fait observer que « les résultats des investigations n’ont pas tous été dévoilés, mais l’Etat veille à révéler tout ce qui a été pillé et détourné ».

« Les enquêtes ont révélé, à titre d’exemple, que la valeur de l’usine d’Oran récupérée s’élevait à environ 750 millions d’euros », a-t-il indiqué.

Le Président Tebboune a également évoqué « l’adhésion de pays européens aux enquêtes en cours sur les affaires de corruption », affirmant que « de nombreux pays ont collaboré avec l’Algérie pour récupérer les fonds pillés ».

« La récupération des fonds s’est faite de manière intelligente et les biens se trouvant à l’étranger seront bien entendu récupérés », a-t-il rassuré, relevant qu' »à l’intérieur du pays, les efforts se poursuivent et l’Etat sera en mesure de trouver tout ce qui a été pillé et thésaurisé dans le passé ».

« Même si les choses prennent du temps en raison du système bancaire, le plus important est que ces fonds ne se perdent pas », a conclu le Président de la République.

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Commerce: plus de 2,2 millions d’opérateurs économiques au 30 avril dernier

Commerce: plus de 2,2 millions d’opérateurs économiques au 30 avril dernier

ALGER – Le nombre d’opérateurs économiques relevant du tissu économique national s’est élevé, au 30 avril dernier, à 2.261.000 entreprises principales et secondaires, selon un bilan de la direction générale de la régulation et de l’organisation des activités relevant du ministère du Commerce.

Ce chiffre est réparti sur 2.031.203 personnes physiques et 230.712 personnes morales, selon le bilan révélé lors des travaux de la rencontre nationale des cadres du ministère du Commerce et de la Promotion des exportations tenue sous la présidence du ministre du secteur, Tayeb Zitouni.

Le taux d’inscription au registre de commerce électronique a connu une hausse de 72.9 % du nombre des commerçants enregistrés au niveau national avec un total de 1.648.255 détenteurs du registre électronique (1.466.497 personnes physiques et 181.758 personnes morales).

Du premier janvier au 30 avril 2023 le nombre de nouvelles immatriculations au registre de commerce a connu une hausse de 154.867 opérations d’inscription dont 44.210 opérations de modification, 38.596 radiations et deux (2) opérations de réimatriculation, a précisé la direction dans son bilan.

Pour ce qui est des personnes physiques, il a été enregistré 996.240 inscrits dans le secteur de la distribution en détail (45.99%), 813.969 au secteur tertiaire (37.57%), la production (272.866 inscrits) soit 12.60% et 78.504 inscrit au secteur de la distribution en gros (3.62%).

Concernant les personnes morales, la direction générale a fait état de 86.878 inscrits dans le secteur tertiaire (32.94%), 84.043 inscrits dans la production (31.87%), 37.484  dans la vente en l’état (14.21%), 27.752 dans la grande distribution en gros (10.52%) et 21.585 inscrits dans le domaine de la distribution en détail (8.18%).

Concernant les commerçants ambulants, 39 activités commerciales ambulantes et 39 services ambulants ont été créés pour assurer le service public de proximité, approvisionner les zones d’ombre et créer de nouveaux emplois.

Le nombre total de commerçants ambulants a atteint 186.139 commerçants activant dans les services et le commerce, précise le bilan.

Au volet régulation et contrôle du marché, le secteur dispose d’un système qui permet un suivi quotidien de l’évolution des prix au niveau du marché, un suivi périodique des niveaux de stockage des matières premières et des produits au niveau des entrepôts relevant aussi bien des groupes publics que du secteur privé, avec la détermination de la durée de couverture des besoins nationaux.

Le système permet également de définir les zones de stockage, ce qui favorise le traitement de tout éventuel déséquilibre du marché, en coordination avec tous les intervenants dans le système de contrôle des produits agricoles ou alimentaires.

Un système numérique a aussi été mis en place pour encadrer, réguler et approvisionner le marché en matières de produits alimentaires et agricoles à travers la création d’une banque de données et l’identification des capacités de production des intervenants dans ce domaine, à savoir les minoteries et les laiteries publiques ainsi que les unités de transformation pour le raffinage et la production d’huile et de sucre.

Quant aux espaces commerciaux, le secteur compte 52 marchés de gros à travers 40 wilayas, dont 41 relèvent des collectivités locales, et 9 sont la propriété de l’établissement public économique « Magros », tandis que deux marchés appartiennent à des opérateurs privés.

D’autre part, il existe 1502 marchés de détail à l’échelle nationale, dont 742 marchés couverts et 760 marchés de proximité. Quelque 880 marchés sont exploités, (soit 59%), contre 622 marchés inexploités (41%).

S’agissant des installations commerciales, le secteur recense 639 marchés hebdomadaires exploités à 89 %, 278 marchés de bétail, 85 marchés spécialisés, 2379 commerces de type « superettes », 138 supermarchés et 30 hypermarchés.

S’agissant des espaces de stockage, l’opération s’est soldée par le recensement de 17.706 espaces de stockage répartis sur 9.154 chambres froides et 8.555 entrepôts. Le recensement des espaces de stockage se fait périodiquement et les données sont actualisées par les services extérieurs du secteur à travers un système informatisé dédié à la gestion des espaces de stockage, contribuant ainsi à la collecte et à la mise a jour rapide de l’information.

Pour les laiteries conventionnées avec l’Office national interprofessionnel du lait (ONIL), le secteur a recensé 117 laiteries dont 15 laiteries publiques, 102 laiteries privées, en sus de 111 laiteries non conventionnées avec l’ONIL.

Les laiteries publiques bénéficient d’un quota mensuel de poudre de lait de 8207 tonnes soit 55 % de la quantité globale, alors que les laiteries privées bénéficient d’un quota mensuel de 6747 tonnes, soit 45 % de la quantité globale.

Concernant les préparatifs de la prochaine rentrée scolaire, le secteur a renouvelé les autorisations préalables à l’importation des affaires scolaires au profit de 60 importateurs. Cette opération se poursuit pour atteindre les 100 importateurs restants, en sus de la remise de 79 décisions à 54 producteurs. Il s’agit également de l’organisation des marchés de proximité pour la rentrée scolaire.

aps