Ouverture des 13e Journées médico-chirurgicales de la Sûreté nationale

Ouverture des 13e Journées médico-chirurgicales de la Sûreté nationale

ALGER – Les travaux des 13e Journées médico-chirurgicales de la Sûreté nationale se sont ouverts, mercredi à l’Ecole supérieure de Police Ali-Tounsi (Alger), placées sous le thème « Les complications de la pandémie du Coronavirus sur les organes du corps humain » avec la participation d’enseignants, de chercheurs et de médecins spécialistes.

Intervenant à l’occasion, le Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), Farid Bencheikh a salué « la ferme volonté des hautes autorités du pays, sous la conduite du Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, et ce dès l’apparition de la pandémie du Coronavirus, de mobiliser tous les moyens matériels et les ressources humaines nécessaires, notamment le personnel du secteur de la Santé, ‘l’Armée blanche’ qui était en première ligne pour faire face à cette pandémie ».

Il a, dans ce contexte, salué « le rôle de la Sûreté nationale et sa contribution active dans la lutte contre cette pandémie », rappelant « les cas de décès enregistrés dans les rangs de la Police et qui s’élèvent à 248 éléments ».

A cette occasion, des professeurs en médecine et des membres retraités du corps paramédical de la Sûreté nationale ont été honorés en reconnaissance aux efforts consentis tout au long de leur parcours professionnel dans la prise en charge sanitaire du personnel de ce corps.

APS

Les opportunités de coopération algéro-tchèque au cœur de la visite de Oualid à Prague

Les opportunités de coopération algéro-tchèque au cœur de la visite de Oualid à Prague

BATNA – La troisième édition du festival international du court-métrage Imadghassen s’est ouverte mercredi soir au théâtre régional Salah-Lombarkia de Batna en présence d’un public nombreux.

Le directeur du développement des arts et des lettres au ministère de la Culture et des Arts, Meziane Chedad, qui a donné le coup d’envoi de cette manifestation en tant que représentant de la ministre du secteur, a salué le festival Imadghassen qui enregistre de plus en plus de succès d’une édition à l’autre consolidant la scène culturelle locale et nationale.

Le commissaire de la manifestation, Issam Taachit, a affirmé de son côté que le festival œuvre à promouvoir, développer et encourager l’activité cinématographique et la créativité dans ce genre cinématographique répandu dans les milieux des jeunes notamment.

L’ouverture du festival qui se poursuivra au 14 mai s’est déroulée en présence, outre du wali de Batna Mohamed Benmalek, de plusieurs figures artistiques nationales dont Hicham Mesbah, Sarah Laalama, Mohamed Reghiss ainsi que des invités de plusieurs pays dont Shoukran Mortaja de Syrie et Saoussen Redjemi de Tunisie, entre autres.

La cérémonie d’ouverture du festival organisée par la coopérative culturelle « El-Lemssa » a notamment présenté les 22 films participants d’Egypte, de Palestine, de Syrie, de Russie et d’Algérie ainsi que les membres du jury.

Plusieurs figures de l’art et de la culture ont été honorées à l’occasion.

Les courts-métrages en lice durant le festival seront projetés à la cinémathèque de Batna tandis que ceux participant en hors compétition seront projetés à la salle de la maison de la culture Mohamed Laïd Al Khalifa. Des conférences et des sorties touristiques au profit des participants sont programmées durant la manifestation.

APS

Batna: ouverture de la 3ème édition du festival international du court-métrage Imadghassen

Batna: ouverture de la 3ème édition du festival international du court-métrage Imadghassen

BATNA – La troisième édition du festival international du court-métrage Imadghassen s’est ouverte mercredi soir au théâtre régional Salah-Lombarkia de Batna en présence d’un public nombreux.

Le directeur du développement des arts et des lettres au ministère de la Culture et des Arts, Meziane Chedad, qui a donné le coup d’envoi de cette manifestation en tant que représentant de la ministre du secteur, a salué le festival Imadghassen qui enregistre de plus en plus de succès d’une édition à l’autre consolidant la scène culturelle locale et nationale.

Le commissaire de la manifestation, Issam Taachit, a affirmé de son côté que le festival œuvre à promouvoir, développer et encourager l’activité cinématographique et la créativité dans ce genre cinématographique répandu dans les milieux des jeunes notamment.

L’ouverture du festival qui se poursuivra au 14 mai s’est déroulée en présence, outre du wali de Batna Mohamed Benmalek, de plusieurs figures artistiques nationales dont Hicham Mesbah, Sarah Laalama, Mohamed Reghiss ainsi que des invités de plusieurs pays dont Shoukran Mortaja de Syrie et Saoussen Redjemi de Tunisie, entre autres.

La cérémonie d’ouverture du festival organisée par la coopérative culturelle « El-Lemssa » a notamment présenté les 22 films participants d’Egypte, de Palestine, de Syrie, de Russie et d’Algérie ainsi que les membres du jury.

Plusieurs figures de l’art et de la culture ont été honorées à l’occasion.

Les courts-métrages en lice durant le festival seront projetés à la cinémathèque de Batna tandis que ceux participant en hors compétition seront projetés à la salle de la maison de la culture Mohamed Laïd Al Khalifa. Des conférences et des sorties touristiques au profit des participants sont programmées durant la manifestation.

APS

« La mémoire du Croissant rouge algérien », thème d’une conférence à Alger

« La mémoire du Croissant rouge algérien », thème d’une conférence à Alger

ALGER – Une conférence ayant pour thème « La mémoire du Croissant rouge algérien » (CRA) a été organisée mercredi à Alger au cours de laquelle l’accent a été mis sur le « rôle crucial » du CRA durant la Glorieuse guerre de libération nationale.

Intervenant lors de cette conférence tenue au « Forum de la mémoire » du quotidien El Moudjahid, en coopération avec l’Association Mechaal el Chahid à l’occasion de la Journée mondiale du Croissant rouge et de la Croix rouge, le membre du CRA, Dejemaï Nebbache a souligné « le rôle crucial du CRA durant la glorieuse guerre de libération nationale ».

Il a rappelé aussi le contexte historique de la création de l’organisation par le comité de coordination et d’exécution, une idée qui a germé en 1956 et s’est concrétisée en 1957.

« Parmi les principaux rôles du CRA à l’époque, la promotion de la cause algérienne dans le monde et auprès des organisations internationales, en révélant les souffrances du peuple algérien, victime de tortures et de massacres », a-t-il ajouté.

Il a indiqué, en outre, que les rapports de l’organisation internationale de la Croix rouge « attestent du bon traitement réservé aux soldats, aux prisonniers et blessés français par l’Armée de libération nationale (ALN) au moment où la France piétinait toutes les lois et faisait fi de toutes les chartes et conventions des droits de l’homme ».

Pour sa part, le responsable de la santé dans la wilaya historique III, Abdelmadjid Azzi est revenu sur « la barbarie du colonisateur français envers les éléments du CRA », affirmant qu’ils étaient directement ciblés par les forces coloniales, plusieurs d’entre eux étant tombés en martyrs alors qu’ils s’apprêtaient à accomplir des actions humanitaires.

APS

Palestine: 20 journalistes tués par les forces sionistes depuis 2001

Palestine: 20 journalistes tués par les forces sionistes depuis 2001

RAMALLAH – Un nouveau rapport publié à l’occasion de l’anniversaire de la mort de Shireen Abu Akleh, a révélé le meurtre en toute impunité de 20 journalistes palestiniens par les forces sionistes depuis 2001.

Le rapport du Comité pour la protection des journalistes (CPJ) documente 20 exemples de journalistes tués par l’occupation depuis 2001. Dix-huit étaient des Palestiniens.

« Le meurtre de Shireen Abu Akleh et l’échec du processus d’enquête à tenir quiconque pour responsable ne sont pas des événements isolés », a déclaré le directeur des projets spéciaux du CPJ, Robert Mahoney, dans un communiqué. « Cela fait partie d’un modèle de réponse qui semble conçu pour échapper à la responsabilité. Pas un seul soldat n’a été tenu pour responsable de la mort de 20 journalistes par des tirs militaires sionistes au cours des 22 dernières années », a-t-il ajouté.

Abu Akleh, journaliste américano-palestinien d’Al Jazeera , a été tuée par les forces sioniste alors qu’elle couvrait un raid à Jénine occupée.

Le rapport du CPJ note que l’affaire Abu Akleh peut être considérée comme une étude de cas pour ces situations. Les preuves de la responsabilité de l’occupation sont généralement écartées ou remises en question, et les soldats sont disculpés avant même que les enquêtes ne soient officiellement conclues. Comme Abu Akleh, au moins 13 des journalistes tués portaient des insignes de presse clairs lorsqu’ils ont été tués.

Ces incidents ont naturellement créé un environnement plus dangereux pour les journalistes travaillant dans la région. « De nombreux journalistes couvrant des raids et des tensions similaires – qui ont considérablement augmenté depuis le meurtre de Shireen – ont peur d’être tués », a déclaré au CPJ l’Association de la presse étrangère Guillaume Lavallée.

Le rapport contient un certain nombre de recommandations. En plus d’appeler à une enquête criminelle sur le meurtre d’Abu Akleh, le groupe demande des enquêtes criminelles pour Yasser Murtaja et Ahmed Abu Hussein, deux journalistes qui ont été tués lors de la Grande Marche du Retour en 2018.

APS