Coronavirus: 17 nouveaux cas et aucun décès

Coronavirus: 17 nouveaux cas et aucun décès

ALGER – Dix-sept (17) nouveaux cas confirmés de coronavirus (Covid-19) ont été enregistrés et aucun décès n’a été déploré, alors que sept guérisons ont été recensées ces dernières 24 heures en Algérie, indique dimanche le ministère de la Santé dans un communiqué.

Le total des cas confirmés s’élève ainsi à 271.782, celui des décès demeure inchangé (6.881), alors que le nombre total des patients guéris passe à 182.993 cas, précise le communiqué.

En outre, aucun patient n’est actuellement en soins intensifs, selon la même source.

Le ministère de la Santé rappelle, par la même occasion, la nécessité de maintenir la vigilance, en respectant les règles d’hygiène et la distanciation physique.

APS

Accord-cadre entre le ministère de l’Enseignement supérieur et les Archives nationales

Accord-cadre entre le ministère de l’Enseignement supérieur et les Archives nationales

ALGER – Un accord-cadre a été signé dimanche entre le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et la Direction générale (DG) des Archives nationales, dans le but d’approfondir les relations de coopération dans les deux domaines des archives et de la recherche scientifique, a indiqué un communiqué du ministère.

L’accord-cadre a été signé par le Secrétaire général du ministère, Abdelhakim Bentellis, et l’inspecteur général à la DG des Archives nationales, Othmani Merabout Sami, précise le communiqué.

Cet accord tend, selon la même source, à « approfondir les relations de coopération en matière d’archives et de recherche scientifique, encourager la publication des articles et des études scientifiques dans divers domaines, organiser des colloques et conférences scientifiques nationales et internationales sur des thèmes et des questions d’intérêt commun, et créer des espaces à même de réunir les conditions favorables au déroulement de la plupart des études et des recherches souhaitées ».

Le présent accord se veut, également, un cadre de partenariat entre les établissements d’enseignement supérieur et de recherche scientifique et la DG des Archives nationales dans le domaine de la formation et des activités scientifiques, à travers la mobilisation des moyens nécessaires afin d’assurer un encadrement qualifié pour les étudiants, notamment pour faciliter les stages pratiques et tirer profit des compétences nationales dans les deux secteurs ».

L’accord-cadre prévoit de « traduire la volonté commune d’oeuvrer ensemble à intensifier la coopération scientifique et culturelle et échanger les expériences en matière de systèmes d’informations modernes, au service des archives et de la Mémoire nationale », conclut la source.

APS

Plus de 50.000 pièces archéologiques récupérées depuis 2005 en Algérie

Plus de 50.000 pièces archéologiques récupérées depuis 2005 en Algérie

ALGER – Plus de 50.000 pièces archéologiques ont été récupérés depuis la création de la Direction de la protection légale des biens culturels et de la valorisation du patrimoine national en 2005, a annoncé, dimanche à Alger, le secrétaire général du ministère de la Culture et les Arts, Zohir Balalou.

« Depuis 2005, plus de 50.000 pièces numismatiques, des tableaux de peinture à l’huile et antiquités remontant à différentes étapes historiques, ont été récupérées, de l’étranger pour certaines, grâce aux efforts des différents corps sécuritaires spécialisés au niveau national, et ce, en coordination avec les services du ministère de la Culture », a fait savoir M. Balalou dans une allocution prononcée à l’occasion du coup d’envoi des travaux de la 5e session de formation au profit des différents corps sécuritaires dans le domaine de la protection du patrimoine culturel au Palais de la Culture Moufdi-Zakaria, en sa qualité de représentant de la ministre de la Culture.

« Les pièces archéologiques récupérées ont été remises dans le souci de renforcer la collection des différents musées et centres de recherche », a-t-il poursuivi, saluant « la conscience de la société civile, les associations et les opérateurs, à l’instar des entrepreneurs, des agriculteurs et des promoteurs immobiliers qui signalent toute découverte de pièces d’antiquité ».

Lors du coup d’envoi de la session de formation, qui s’est déroulée en présence des représentants du Commandement de la Marine, de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), de la Direction générale des Douanes (DGD), et du Commandement de la Gendarmerie nationale, le SG du ministère de la Culture a mis en avant « les efforts des différentes équipes sécuritaires spécialisées activant dans le domaine de la lutte contre l’atteinte aux biens culturels ».

« Les différents services sécuritaires ont mis en place tous les mécanismes et les moyens à travers la création d’équipes et de cellules spécialisées dans la protection du patrimoine culturel, outre la création de laboratoires et de musées constituant une valeur ajoutée et une source de fierté devant les nations et les organisations mondiales compétentes », a-t-il ajouté.

Pour sa part, le représentant du Commandement des forces navales, le colonel Ramdhane Youcef, a salué l’initiative de cette formation, soulignant que « les pièces archéologiques découvertes au fond de la mer témoignent des échanges commerciaux entre les peuples » lors des différentes époques de l’histoire.

Il s’agit d’un patrimoine « revêtant une importance économique et comptant parmi les fondements du tourisme environnementale et archéologique », a-t-il ajouté, mettant en avant les missions des équipes des garde-côtes et leur contribution à faire face aux infractions liées à l’atteinte au patrimoine subaquatique.

Le représentant de la Direction générale des douanes (DGD), l’inspecteur-divisionnaire, Djeknouni Yahia a également salué l’importance de cette formation dans la promotion des connaissances des stagiaires dans ce domaine et la coordination entre les différents corps de sécurité pour réprimer les crimes d’atteinte au patrimoine culturel.

Il a affirmé, dans ce sens, que « les brigades des services des douanes sont mobilisés pour lutter contre toute forme de crime organisé transfrontalier menaçant l’économie et l’identité nationale, en veillant à l’application efficace des mécanismes de lutte contre toutes les formes de trafic et de contrebande des pièces archéologiques ciblant l’identité culturelle et les fondements de la mémoire algérienne, le patrimoine constituant l’un des symboles de l’identité nationale ».

Les efforts des services des douanes ont permis, ces dernières années et durant le 1e trimestre 2023, de mettre en échec des tentatives de contrebande de 996 pièces archéologiques remontant à différentes périodes de l’histoire de l’Algérie.

Pour sa part, le représentant du Commandement général de la Gendarmerie nationale, le colonel Mili Lounis, a indiqué que « les brigades de protection des biens culturels relevant de la Gendarmerie nationale ainsi que les autres brigades territoriales au niveau national ont traité en 2022, près de 125 affaires dans ce cadre ayant donné lieu à la récupération de 5.638 pièces archéologiques remises aux musées relevant du ministère. Elles ont également contribué à la découverte de 52 sites archéologiques.

Pour sa part, le représentant de la Direction générale de Sûreté nationale (DGSN), le colonel Moulay Achour a souligné que cette « session de formation permettra aux cadres de renforcer leurs connaissances et capacités opérationnelles et maitriser les procédures légales et les investigations relatives à la lutte contre les crimes liés à l’atteinte au patrimoine culturel », relevant que la « DGSN a mis en place un plan opérationnel en vue de mettre fin aux infractions des actes d’atteinte à notre patrimoine, un plan basé sur la création de brigades spéciales, la formation continue et la coordination avec les services compétents du ministère de la Culture et des Arts et les autres partenaires ainsi que la sensibilisation à la nécessité de sa protection ».

80 personnels et agents relevant des différents corps de sécurité chargés de la protection du patrimoine culturel bénéficieront lors de cette 5eme session d’une formation de terrain jusqu’au 16 mai au niveau du Musée public national du Bardo, du Musée national des antiquités, du Musée national des arts et des traditions populaires d’Alger (MNATP), du Musée national des beaux-arts et du Centre national de recherche en archéologie (CNRA), ainsi que de l’Ecole national supérieure de conservation et restauration des biens culturels, du Musée national maritime et du Musée public national de Cherchell.

APS

La référence historique est la base des jeunes d’Algérie pour relever les enjeux futurs

La référence historique est la base des jeunes d’Algérie pour relever les enjeux futurs

TISSEMSILT – Le président de l’Observatoire national de la société civile (ONSC), Noureddine Benbraham a indiqué, dimanche à Tissemsilt, que la référence historique nationale est la base pour les jeunes d’aujourd’hui pour relever les enjeux futurs dans différents domaines.

Dans une déclaration à la presse, en marge du colloque national sur l’emblème national organisé à l’occasion du 78eme anniversaire des massacres du 8 mai 1945, en présence du Conseiller du Président de la République, chargé des archives nationales et de la mémoire nationale, M. Abdelmadjid Chikhi, M. Benbraham a souligné « que notre référence historique est la base pour les jeunes pour relever les défis de l’avenir dans différents domaines ».

« L’importance de commémoration de cet anniversaire réside dans l’ancrage de la mémoire et tout le réservoir historique dans le quotidien et les sentiments de la jeunesse algérienne, car il s’agit de sa référence historique qui est un point de départ pour notre jeunesse pour affronter les défis quotidiens, économiques, culturels et sociaux », a-t-il dit.

Au cours de cette rencontre, organisée sous le slogan « Le drapeau national, symbole de la lutte des héros et source de fierté pour des générations », le président de l’ONSC a évoqué l’importance de lier les composantes de l’histoire, de la révolution, de l’indépendance, des institutions et la préservation de l’Etat, ainsi que la société et la jeunesse.

Il a souligné que « dans l’extension historique, l’appartenance et la succession des générations, le drapeau doit demeurer comme un symbole qui flotte sur tout le pays (… ) C’est un symbole de souveraineté que les Algériens placent au-dessus de leur tête, en préservant la confiance pour laquelle les martyrs se sont sacrifiés ».

L’Observatoire national de la société civile porte, à travers l’organisation de cette rencontre, un message de fidélité aux chouhada et à la génération qui a libéré l’Algérie, de renforcement des valeurs nationales, aujourd’hui, dans le cœur des jeunes, et de la consolidation de l’appartenance à l’Algérie, considérés comme un devoir accompli par l’Observatoire et la société civile, selon M. Benbraham.

Il a rappelé à l’occasion, « que 11,5 millions de jeunes d’Algérie, qui se trouvent dans le système de l’éducation, de la formation, du primaire à l’universitaire, constituent cette génération qui préserve cette symbolique et l’unité nationale, faisant face aux enjeux futurs pour que nous restions toujours fidèles à la génération des chouhada ».

Dans le même contexte, il a affirmé que « le drapeau national a sa propre symbolique, car il a rassemblé les Algériens avec toutes leurs composantes et rassemblé leurs sacrifices, que ce soit dans le mouvement national, le mouvement réformateur ou la déclaration du premier novembre, la guerre de libération et les martyrs », ajoutant qu’aujourd’hui les Algériens, dans toutes leurs positions dans le pays et à travers le monde, se rassemblent également autour du drapeau avec toute la diversité culturelle et démocratique, car il reste le symbole de l’unité nationale, de l’histoire et des sacrifices.

Expliquant la raison du choix de Tissemsilt pour abriter ce colloque, il a ajouté qu’ »il porte une symbolique du lancement de la dynamique du développement, du soutien de la société civile de l’approche participative et démocratique, exprimant les avis concernant ce qui passe dans les affaires du pays et renforçant les opportunités des jeunes dans leur relation avec leur pays pour être des éléments intégrés dans l’aspect social et économique ».

Dans ce même ordre d’idées, M. Benbraham a ajouté qu’ »il est très important de réunir la nouvelle approche participative, appelant la société civile à promouvoir la préservation de la jeune ressource humaine à travers les associations de la société civile, d’autant que les jeunes algériens sont exposés aux dangers et menaces des drogues, des substances psychotropes et d’autres problèmes qui nécessitent des efforts concertés pour protéger cette ressource humaine ».

Il a également plaidé pour « la diversification de la société civile des programmes, projets et activités adoptés pour devenir un partenaire essentiel dans la bonne gouvernance », appelant à « lancer des approches portant sur l’environnement, l’économie, les droits de l’homme, la jeunesse, la femme, les droits de l’enfant et il est nécessaire que la société civile ait une présence et sorte des stéréotypes classiques ».

M. Benbraham a adressé, à cette occasion, un appel pour une « société civile vivante, consciente, cohérente et optimiste avec les évolutions actuelles, afin d’être au niveau de la confiance du citoyen, tout cela faisant partie des défis sur lesquels l’Observatoire national de la société civile parie ».

Ce colloque a été abrité par la maison de culture « Mouloud Kacem Naït Belkacem » de Tissemsilt, qui a vu la présence de 350 participants, notamment des universitaires, historiens et représentants de la société civile intéressés par le volet historique venus de plusieurs régions du pays.

APS

CAN – U17 2023: le Burkina Faso bat le Cameroun 2-1 et passe aux quarts

CAN – U17 2023: le Burkina Faso bat le Cameroun 2-1 et passe aux quarts

ANNABA – Le Burkina Faso s’est qualifié aux quarts de finale de la Coupe d’Afrique de football des U17, en battant le Cameroun sur le score de 2-1, mi-temps 0-0, pour le compte de la 3e et dernière journée du 1er tour, groupe C, dimanche soir au stade du 19 mai d’Annaba.

Les buts du Burkina Faso ont été marqués par l’attaquant Souleymane Alio (71e et 79e), alors que l’unique réalisation du Cameroun a été l’oeuvre de l’attaquant Matah Yondjio (61e).

Grâce à ce précieux succès, les Burkinabès terminent le 1er tour dans le groupe C, en seconde position (3 pts) et accompagnent le Mali (1er avec 6 pts), aux quarts de finale, alors que le Cameroun (détenteur du trophée de la précédente CAN U17) est éliminé.

 

Le point du groupe C, après le match Burkina Faso-Cameroun (2-1)

Le point du Groupe C de la Coupe d’Afrique des nations de football des moins de 17 ans, organisée du 29 avril au 19 mai en Algérie, après le match Burkina Faso – Cameroun (2-1), joué dimanche en soirée, au stade du 19 mai 1956 à Annaba pour le compte de la 3e et dernière journée du 1er tour du groupe.

 

3e journée (7 mai 2023):

Burkina Faso – Cameroun  (2-1)

Mali (exempt)

 

Classement      PTS   J   DIFF

Mali                     6    2    +3

Burkina Faso         3       2     00

3- Cameroun      0       2     -3

Soudan du Sud (exclu du tournoi par la CAF)

 

Déjà joués:

Mali – Burkina Faso    1-0

Cameroun – Mali         0-2

Burkina Faso – Cameroun    2-1

 

Les deux premiers du group passent au second tour (Quarts de finale).

APS