L’Algérie élue membre à la Commission arabe pour les droits de l’homme

L’Algérie élue membre à la Commission arabe pour les droits de l’homme

LE CAIRE – Le candidat de l’Algérie, Yaichtemem Chaouki a été élu membre de la Commission arabe pour les droits de l’homme pour la période 2023-2027, et ce lors d’une séance de vote à bulletin secret tenue au siège du secrétariat général de la Ligue arabe.

L’élection s’est déroulée en présence des membres permanents de 18 Etats membres de la Commission de la charte et des représentants du secrétariat général de la Ligue arabe.

L’élection de Yaichtemem Chaouki se veut un autre acquis pour la diplomatie algérienne qui s’est mobilisée derrière le candidat algérien, et confirme l’engagement de l’Algérie en matière des droits de l’homme.

Créée en 2009, cette Commission est chargée d’examiner et d’évaluer les rapports préliminaires et périodiques des Etats membres dans le cadre de la concrétisation des engagements des Etats arabes concernant la mise en œuvre de la Charte arabe pour les droits de l’homme et ses dispositions.

Le défi pour cette Commission consiste à contribuer à l’adhésion de tous les pays membres de la Ligue arabe.

APS

Début des travaux de la 22e session de la Grande commission mixte algéro-tunisienne

Début des travaux de la 22e session de la Grande commission mixte algéro-tunisienne

ALGER- L’Organisme algérien d’accréditation (ALGERAC) s’est vu accorder officiellement le renouvellement de sa reconnaissance internationale, a-t-il indiqué, mercredi, dans un communiqué.

« L’Organisme algérien d’accréditation (ALGERAC), seule entité sur le marché national habilitée à délivrer des certificats d’accréditation au profit des organismes d’évaluation de la conformité (Laboratoire essai, analyse, étalonnage, organisme d’inspection et organisme de certification) s’est vu accorder officiellement par ses pairs (European Accreditation Cooperation), le renouvellement de sa reconnaissance internationale », explique la même source.

A travers ce renouvellement de la reconnaissance internationale, « la compétence technique et organisationnelle d’ALGERAC est reconnue, pour réaliser ses activités d’accréditation dans le respect des procédures d’évaluation et des exigences internationales en vigueur », a-t-on souligné.

Le communiqué a précisé que le Conseil des Accords Multilatéraux de l’EA (MAC EA), lors de sa 49ème réunion tenue le 3 octobre 2023 à Bruxelles, a décidé sur la base d’une évaluation réalisée du 20 au 24 février 2023 au sein d’ALGERAC par son équipe, du maintien du statut d’ALGERAC comme signataire de l’EA MLA dans les domaines de l’étalonnage (ISO/ CEI 17025), des essais (ISO/CEI 17025) et de l’inspection (ISO/CEI 17020) et ce jusqu’en février 2027, date au cours de laquelle se tiendra une nouvelle réévaluation.

Cette reconnaissance constitue « une étape majeure » tant pour ALGERAC que pour l’essor économique du pays, note le document, ajoutant qu’elle représente « un symbole clé de qualité et de confiance qu’attribuent les instances internationales dans l’accomplissement des missions d’ALGERAC au profit des acteurs clés de notre économie ».

« Cette nouvelle d’une grande réussite témoigne des efforts indéfectibles, engagés et continus d’ALGERAC pour maintenir au plus haut niveau des normes, sa maîtrise des bonnes pratiques d’évaluation et aboutir à construire un système d’accréditation structuré et solide à travers lequel s’appuieraient les pouvoirs publics pour protéger la population des risques encourus dans la vie quotidienne et fournir une meilleure régulation et surveillance du marché », a fait savoir ALGERAC.

ALGERAC a, par ailleurs, réitéré « sa ferme détermination à poursuivre les efforts qu’il déploie et son engagement à vouloir élargir ses domaines de compétences pour introduire de nouvelles demandes de reconnaissance d’autres référentiels d’accréditation à même de répondre aux exigences réglementaires imposées et atténuer les niveaux de risques possibles du marché national ».APS

Marché pétrolier: l’Opep+ prête à prendre des mesures supplémentaires face aux évolutions

Marché pétrolier: l’Opep+ prête à prendre des mesures supplémentaires face aux évolutions

ALGER- L’Organisation des pays exportateurs de pétrole et leurs alliés (Opep+) sont prêts à prendre des « mesures supplémentaires à tout moment » face aux évolutions du marché pétrolier, a indiqué mercredi le Comité ministériel conjoint de suivi Opep et non-Opep (JMMC).

Dans un communiqué publié à l’issue de sa 50ème réunion tenue par visioconférence, le JMMC assure « continuer d’évaluer de près les conditions du marché, en notant la volonté des pays signataires de la Déclaration de Coopération (DoC) de faire face aux évolutions du marché et de se tenir prêts à prendre des mesures supplémentaires à tout moment, en s’appuyant sur la forte cohésion des pays de l’Opep et non-Opep ».

Le JMMC a également exprimé, dans son document, « sa pleine reconnaissance et son soutien aux efforts de l’Arabie saoudite visant à soutenir la stabilité du marché pétrolier et a réitéré son appréciation pour la réduction volontaire supplémentaire d’un million de barils par jour du Royaume et pour sa prolongation jusqu’à la fin de l’année 2023.

Dans le même sillage, il a remercié la Russie pour avoir aussi annoncé prolonger sa réduction volontaire supplémentaire des exportations de 300.000 barils/j jusqu’à fin décembre prochain.

Examinant les données de production de pétrole brut pour les mois de juillet et août 2023, le Comité a noté aussi la conformité globale pour les pays signataires de la Déclaration de coopération (DoC) aux quotas fixés dans le cadre de l’accord de réduction.

A ce propos, il a exhorté tous les membres de l’alliance à maintenir leurs engagements en se conformant « pleinement » et à adhérer au mécanisme de compensation.

Selon le communiqué, la prochaine réunion du JMMC (51e) aura lieu le 26 novembre prochain.

A noter que la tenue de la réunion du JMMC a coïncidé avec l’annonce mercredi de l’Arabie saoudite et de la Russie de prolonger les réductions volontaires de leur production jusqu’à la fin de l’année en cours.

Le ministère saoudien de l’Energie a confirmé en effet, via un communiqué, la prolongation de sa coupe volontaire de production d’un million de barils par jour depuis juillet jusqu’à la fin de l’année.

La Russie lui a indiqué, de son côté, le maintien de la diminution de ses exportations de l’ordre de 300.000 barils par jour jusqu’à décembre.

Le vice-Premier ministre Alexandre Novak a assuré qu’une « analyse du marché » sera menée en novembre pour décider s’il convient d’augmenter ou de diminuer encore le niveau des exportations russes.

Pour rappel, le JMMC se réunit périodiquement afin d’évaluer la mise en œuvre des décisions prises par l’Opep+ pour maintenir l’équilibre et la stabilité du marché pétrolier international.

Le Comité ministériel est composé de l’Algérie, de l’Arabie saoudite, des Emirats arabes unis, de l’Irak, du Koweït, du Nigéria, du Venezuela, de la Russie et du Kazakhstan.

APS

Grande commission mixte de coopération algéro-tunisienne : 26 conventions signées par les deux pays

Grande commission mixte de coopération algéro-tunisienne : 26 conventions signées par les deux pays

ALGER- La 22e session de la Grande commission mixte de coopération algéro-tunisienne, dont les travaux ont été tenus mercredi à Alger, a été sanctionnée par la signature de 26 conventions entre l’Algérie et la Tunisie couvrant plusieurs secteurs.

La cérémonie de signature s’est déroulée au terme des travaux de la Commission, en présence du Premier ministre, M. Aïmene Benabderrahmane, du Chef du gouvernement tunisien, M. Ahmed Hachani et des membres des gouvernements des deux pays.

Dans ce cadre, le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf et son homologue le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Nabil Ammar, ont signé des conventions et des protocoles de coopération dans les secteurs des moudjahidine, de l’éducation nationale, de la formation professionnelle et des affaires sociales.

Dans le secteur des moudjahidine, un protocole de coopération a été signé en matière de prise en charge des moudjahidine et des ayants-droit. Quant au secteur de l’éducation, il s’agit d’une convention-cadre en matière de recherche en éducation entre l’Institut national de recherche en éducation (INRE) d’Algérie et le Centre international de formation des formateurs et d’innovation pédagogique (CIFFIP) de Tunisie.

Dans le secteur de la formation professionnelle, un protocole de coopération a été signé dans ce domaine, en sus d’un accord de jumelage entre l’Institut national spécialisé en arts et industries graphiques (INSIAG) et le Centre sectoriel de formation en arts graphiques de Tunisie.

M.Attaf et son homologue tunisien ont également procédé à la signature d’un accord de coopération dans les domaines de la culture, de la jeunesse et des sports, ainsi que d’un protocole de coopération dans les domaines de l’habitat, de l’urbanisme et du développement des villes, et dans le domaine de la transition numérique.

Concernant le secteur des affaires sociales, un programme exécutif de l’accord de coopération dans le domaine de la prise en charge sociale pour les années 2024-2026 a été signé par M. Attaf, et le ministre tunisien des Affaires sociales, Malek Ezzahi.

Un mémorandum d’entente a été signé également pour la création d’une commission bilatérale pour la promotion et le développement des régions frontalières, par le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Brahim Merad, du côté algérien, et le ministre tunisien de l’Intérieur, Kamel Feki.

Dans le domaine du commerce, deux conventions ont été signées par le ministre du Commerce et de la Promotion des exportations, Tayeb Zitouni, et la ministre tunisienne du Commerce et du Développement des exportations, Mme Keltoum Ben Rejeb, la première portant sur un programme exécutif dans le domaine de la protection du consommateur et le contrôle de la qualité des marchandises et des services pour 2024-2025, et la deuxième convention dans le domaine de la reconnaissance mutuelle des certificats de conformité.

Dans le secteur du transport, un accord de coopération a été signé dans le domaine de la logistique et du transport multimodal, par le ministre des Transports, Youcef Cherfa, et son homologue tunisien, Rabie Majidi.

Un mémorandum d’entente a été signé également dans le domaine du tourisme, en sus d’un programme exécutif de l’accord de coopération dans le domaine de l’artisanat pour 2024-2025 par le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Mokhtar Didouche, et le ministre du Tourisme tunisien, Mohamed Moez Belhassine.

Dans le secteur du travail, le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Fayçal Bentaleb, et le ministre tunisien des Affaires sociales, Malek Ezzahi, ont signé trois accords de jumelage.

Il s’agit de trois accords de jumelage signés entre l’Ecole supérieure de la sécurité sociale (ESSS) et l’Institut national du travail et des études sociales de Tunis, l’Institut national de la prévention des risques professionnels d’Alger et l’Institut de santé et de sécurité au travail à Tunis et l’Institut national du travail d’Alger et l’Institut national du travail et des études sociales de Tunis.

Dans le secteur de l’industrie, trois conventions ont été signées, la première concerne le programme exécutif du protocole de coopération dans le domaine de métrologie entre l’Office national de métrologie légale d’Alger (ONML) et le Laboratoire central tunisien d’analyses et d’essais pour les années 2024-2026, signé respectivement par les directeurs généraux des deux organismes, Rabah Messili et Anouar Zouari.

La deuxième porte sur un mémorandum d’entente en matière de coopération technique entre l’Institut algérien de normalisation (IANOR) et l’Institut national tunisien de la normalisation et de la propriété industrielle, signé par le directeur général de l’IANOR, Djamel Hales et son homologue tunisien, Nafaa Boutiti.

Et la troisième convention concerne un programme exécutif de protocole de coopération pour 2024-2026 signé entre le directeur général de l’Institut national algérien de la propriété industrielle (INAPI), Abdelhafid Belmehdi et le directeur général de l’Institut national tunisien de la normalisation et de la propriété industrielle, Nafaa Boutiti.

Dans le secteur des transports, un mémorandum d’entente de coopération entre le port d’Annaba et celui de Rades a été signé entre le Pdg du groupe Services portuaires d’Alger (SERPORT), Mohamed Karim Eddine Herkati et son homologue tunisien de l’Office tunisien de la marine marchande et des ports, Fouad Othman.

Un autre mémorandum d’entente a été signé entre l’Office national algérien de la Météorologie et son homologue tunisien portant sur la coopération technique et scientifique, par le directeur général de l’Office algérien, Ibrahim Ihedaden et son homologue, Ahmed Hamam.

Par ailleurs, un mémorandum d’entente entre l’Ecole nationale supérieure maritime (ENSM) et l’Institut méditerranéen de formation aux métiers maritimes, a été signé par le DG de l’Ecole, Azzedine Karma et son homologue tunisien, Wissem Gaida Mahjoub.

Un mémorandum de coopération entre l’Agence Nationale algérienne pour la Promotion et la Rationalisation de l’Utilisation de l’Energie (APRUE), et l’Agence National pour la Maitrise de l’Energie (ANME), a été signé par le directeur général algérien, Merouane Chaabane, et son homologue tunisien Fethi Hanchi.

Dans le domaine de l’investissement, un mémorandum d’accord entre l’Agence algérienne de promotion de l’investissement (AAPI) et l’instance tunisienne de l’investissement, a été signé par le directeur général de l’Agence, Omar Rekkache, et la présidente de l’instance tunisienne, Namia Ayadi.

Le Premier ministre, M. Aïmene Benabderrahmane et le chef du gouvernement tunisien, Ahmed Hachani ont procédé à la signature du procès-verbal de la Grande commission mixte de coopération Algéro-tunisienne.

APS

AAPI : plus de 3700 projets d’investissement à fin septembre

AAPI : plus de 3700 projets d’investissement à fin septembre

ALGER- Le nombre de projets enregistrés au niveau de l’Agence algérienne de promotion de l’investissement (AAPI) à la date du 30 septembre dernier a atteint plus de 3700 projets, a indiqué le directeur général de l’agence, Omar Rekkache.

Dans une intervention lors du Forum d’affaires algéro-tunisien, dont les travaux ont débuté mardi au Centre international de conférences (Abdelatif-Rahal) à Alger, M. Rekkache a précisé que le nombre de projets, enregistrés depuis le 1er novembre 2022 (date de début des activités de l’agence) jusqu’à la date du 30 septembre dernier, a atteint 3734 projets.

Ces investissements sont répartis sur les secteurs de l’industrie, des travaux publics et du bâtiment, des transports, de l’agriculture, de la pêche et de l’aquaculture, ainsi que des services, du tourisme et de la santé, a-t-il ajouté, soulignant que ces investissements sont enregistrés par des opérateurs locaux et étrangers.

M.Rekkache a affirmé que ces investissements interviennent « dans le cadre des grandes réformes économiques entreprises par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, visant à édifier une économie dynamique, forte, résiliente et diversifiée ».

De son côté, le directeur général de la promotion de l’investissement au ministère de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, Salah Boussbia, a abordé, dans son intervention, les opportunités d’investissement dans le secteur industriel à la lumière de la « nouvelle loi sur l’investissement » qui prévoit plusieurs incitations.

Il a indiqué que le système incitatif a permis au secteur industriel de capter plus de 51 % des projets enregistrés auprès de l’AAPI (entre le 1er novembre 2022 et le 31 juillet 2023), soulignant l’adoption de quatre systèmes de soutien pour stimuler la production locale tout en développant la sous-traitance.

Le secteur, poursuit le même intervenant, vise à contribuer à hauteur de 15 % au produit intérieur brut, notant qu’une « révision d’un système particulier permettant l’acquisition de chaînes de production et d’équipements d’occasion est en cours, selon des conditions spécifiques qui combinent les opportunités économiques et la protection de l’outil de production ».

Pour ce qui est de l’industrie pharmaceutique, il a affirmé que l’Algérie est considérée comme l’un des marchés les plus importants de la région Afrique et Moyen-Orient, après avoir réussi à produire et à couvrir environ 70 % de ses besoins en médicaments et table sur un taux de 75 %.

M.Boussbia a fait état, dans le même cadre, d’un « travail en cours » pour organiser les filières industrielles en clusters, afin de renforcer la compétitivité des entreprises publiques, parallèlement à la création de commissions de filières stratégiques entre les secteurs public et privé.

Il a également indiqué que l’Algérie dispose d’un portefeuille foncier industriel destiné à l’investissement d’une superficie totale de plus de 38.000 hectares, répartis sur 756 zones industrielles et zones d’activités.

Après avoir présenté les indicateurs économiques qui font de l’Algérie un marché important et un pays stratégique pour attirer les investisseurs, M. Boussbia a formulé le souhait de voir des opportunités de partenariat fructueuses entre les hommes d’affaires algériens et tunisiens dans le cadre du principe gagnant-gagnant.

Le directeur général du commerce extérieur au ministère du Commerce et de la Promotion des exportations, Samir Derradji, a également souligné, dans son intervention, l’importance de renforcer les échanges entre l’Algérie et la Tunisie.

L’Algérie, premier partenaire économique de la Tunisie

Pour sa part, le directeur général du Centre tunisien de promotion des exportations (CEPEX), Mourad Ben Hassine a indiqué dans une intervention intitulée « Les échanges commerciaux tuniso-algériens : réalité et perspectives », que l’Algérie était le premier partenaire économique de la Tunisie aux niveaux arabe et africain.

Il a également précisé que le volume des échanges commerciaux entre les deux pays a augmenté de 58 % au cours des huit premiers mois de 2023, par rapport à la même période de 2022.

Se référant à certains indicateurs d’échanges commerciaux entre les deux pays, M. Ben Hassine a indiqué que la Tunisie exporte principalement vers l’Algérie des produits mécaniques et électriques, des produits industriels divers, ainsi que certains produits agricoles, alimentaires et textiles.

L’Algérie exporte vers la Tunisie, ajoute le même responsable, divers produits industriels à hauteur de 96 %, ainsi que des produits agricoles et des industries mécaniques et électriques.

Le responsable du Centre tunisien a rappelé que son pays a importé de l’Algérie des hydrocarbures gazeux en 2022, représentant 72,49 % de l’ensemble des importations en provenance d’Algérie, de l’énergie électrique à hauteur de 11,51 %, du butane liquéfié à hauteur de 5,89 %, ainsi que de l’ammoniac et des préparations pétrolières.

M.Ben Hassine a fait état de 67 entreprises algériennes opérant en Tunisie, dont 30 % dans le secteur des services, 23 % dans le textile et l’habillement, 16 % dans les industries alimentaires et 16 % dans les industries mécaniques et électriques.

42 entreprises tunisiennes opèrent également en Algérie, dont 57 % dans divers secteurs industriels, selon lui.

M.Ben Hassine a rappelé en outre que les économies des deux pays sont liées par un accord de commerce préférentiel et par l’accord de libre-échange de la grande zone arabe (Gzale).

Les travaux du Forum économique algéro-tunisien se poursuivent mercredi par la tenue de rencontres B2B entre hommes d’affaires des deux pays opérant dans les secteurs des services, de l’énergie et de l’environnement, ainsi que de l’industrie et de l’agriculture.

La session de clôture sera consacrée à la présentation des résultats et des recommandations du forum et la lecture de la déclaration finale.

APS