Prix du président de la République du Journaliste professionnel: annonce du lancement de la 9e édition

Prix du président de la République du Journaliste professionnel: annonce du lancement de la 9e édition

ALGER – Le ministère de la Communication a annoncé, jeudi dans un communiqué, le lancement de la 9e édition du Prix du président de la République du Journaliste professionnel, alors que la date limite du dépôt des candidatures est fixée au 10 octobre 2023.

Selon la même source, les thèmes retenus pour cette édition qui sera organisée à l’occasion de la Journée nationale de la Presse, célébrée le 22 octobre de chaque année, sous le haut patronage du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, s’articulent autour des sujets suivants: « La nouvelle Algérie et la problématique de la sécurité alimentaire et hydrique », « La nouvelle Algérie: renforcement des capacités et de la créativité de la jeunesse » et « La sécurité énergétique et ses dimensions géopolitiques ».

Ce Prix vise à « encourager et promouvoir la production de la presse nationale sous toutes ses formes, à stimuler l’excellence, la créativité, le professionnalisme dans la presse nationale, et à instaurer la culture du mérite, en récompensant le meilleur travail journalistique en lien avec les sujets proposés, réalisé individuellement ou collectivement ».

La candidature pour la participation au prix du Prix du président de la République du Journaliste professionnel est ouverte dans 5 catégories, à savoir « Presse écrite : article de fond, reportage et enquête, Information télévisuelle : reportage, enquête et documentaire, Information radiophonique : reportage et enquête, Presse électronique : œuvre d’information diffusée sur le net, Illustration : photographie, dessin et caricature de presse ».

Pour participer à ce Prix, le candidat « doit être de nationalité algérienne, justifier d’au moins 3 ans d’exercice de la profession et ne pas être membre du jury », précise le ministère.

Le candidat « n’est également autorisé à participer que dans une seule catégorie et par une seule œuvre », tandis que dans la catégorie photo, il « peut participer avec plus d’une œuvre », ajoute le communiqué, soulignant que la participation « peut être à titre individuel ou collectif ».

Les conditions de participation à ce Prix, fixées par le ministère de la Communication, stipulent, en outre, que les lauréats du Prix du président de la République du Journaliste professionnel dans les différentes catégories « ne sont pas autorisés à participer au concours pour une durée de 3 années consécutives » et que « les œuvres présentées doivent avoir fait l’objet de diffusion ou de publication par un organe de presse national durant la période allant du 22 octobre 2022 au 10 octobre 2023 ».

Le dossier de candidature doit comprendre : 3 exemplaires des œuvres participantes, une copie de la carte nationale d’identité, une copie de la carte professionnelle, un certificat de travail attestant de trois années d’expérience et le formulaire dûment rempli. Ce dernier est téléchargeable sur le site web du ministère.

Le communiqué du ministère de la Communication précise, par ailleurs, que les dossiers de participation « doivent être adressés à Monsieur le président du jury du Prix du président de la République du Journaliste professionnel par courrier ordinaire à l’adresse suivante: Ministère de la Communication, BP N  474, Bir Mourad Raïs, Alger, ou déposés au siège du Ministère de la Communication, Bureau N 701, 7ème étage ».

APS

Sonatrach: Hakkar inspecte le champ gazier de Hassi Bahamou dans la wilaya de Timimoun

Sonatrach: Hakkar inspecte le champ gazier de Hassi Bahamou dans la wilaya de Timimoun

HASSI BAHAMOU (Timimoun) – Le Président directeur général (PDG) du groupe Sonatrach, Toufik Hakkar s’est rendu, mardi, au deuxième jour de sa visite d’inspection à Hassi Messaoud, au champ gazier de Hassi Bahamou dans la wilaya de Timimoun, entré dernièrement en service, a indiqué mercredi un communiqué du groupe.

« Dans le cadre du parachèvement du programme de la visite qu’il a entamée, mardi à Hassi Messaoud, le PDG de Sonatrach, Toufik Hakkar, s’est rendu mercredi au champ gazier de Hassi Bahamou (w. Timimoun), entré dernièrement en service, un champ qui permettra d’assurer un niveau de production de 4,5 millions de M3/jour de gaz naturel », lit-on dans le communiqué.

L’infrastructure de développement et d’exploitation de ce champ gazier comprennent un réseau de collecte de 24 puits de gaz, une station de traitement de gaz d’une capacité totale de 6 millions de M3/jour, précise la même source.

Il s’agit, également, d’une ligne de transport du gaz traité sur une longueur de 111 km, d’une base de vie pouvant accueillir 270 travailleurs et d’un réseau routier de 150 km, en sus d’une piste d’atterrissage de 1,7 km.

Dans son plan de développement de ce champ, Sonatrach a veillé à l’association de plusieurs entreprises nationales et privées ainsi que des filiales, à l’instar de l’Entreprise nationale des grands travaux pétroliers (ENGTP), l’Entreprise nationale de canalisations (ENAC) et la Société nationale de génie civil et bâtiment (GCB), afin de mettre en œuvre

la stratégie du groupe tendant à encourager le contenu national et accroître le taux d’intégration nationale qui a atteint près de 50% du total d’investissement de ce projet.

L’entrée en service dudit champ « viendra couronner les efforts inlassables de Sonatrach visant à développer les gisements gaziers du Sud-Ouest, notamment avec la mise en service, cette année, de plusieurs projets comme les deux champs de Hassi Tidjerane et Tinerkouk ayant chacune une capacité de production de 4 millions de M3/ jour de gaz naturel », ajoute la même source.

Sonatrach a lancé d’importants projets de développement pour augmenter ses capacités de production en gaz naturel et consolider sa position en tant que principal fournisseur du marché mondial de l’énergie ».

Dans une déclaration à la pesse en marge de cette visite, M. Hakkar a rappelé que le champ gazier de Hassi Bahamou (w. Timimoun) « est entré en service le 15 août dernier, avec d’autres projets opérationnels dans le sud ouest du pays, notamment ceux de Hassi Tidjerane et de Tinerkouk ».

M. Hakkar a également souligné que ces champs gaziers produisent actuellement prés de 5.5 millions de M3/jour de gaz naturel, suite au raccordement de 56 puits, indiquant que « les travaux sont en cours en vue de relier les puits restants afin d’atteindre une production de 10 millions de mètres cubes/jour, d’accroître la production nationale et les capacités d’exportation ».

Le PDG de Sonatrach a également fait savoir que son groupe procédait au développement de champs gaziers dans le sud ouest du pays, faisant état de « nouvelles perspectives de développement de projets énergétiques notamment dans les wilayas de Bechar et de Tindouf ».

Par ailleurs, M. Hakkar a insisté sur l’importance de ces projets pour la création d’emplois au profit des jeunes de cette région, et ce, dans le cadre d’un concours de recrutement déjà organisé dans la wilaya de Timimoun, en sus d’un autre concours prévu « avant la fin de l’année en cours » pour assurer davantage de postes d’emplois dans la région.

 

Intransigeance quant aux délais de réalisation des stations de dessalement d’eau de mer

Intransigeance quant aux délais de réalisation des stations de dessalement d’eau de mer

EL TARF – Le ministre de l’Hydraulique, Taha Derbal, a souligné, mercredi après-midi dans la wilaya d’El Tarf, l’intransigeance des pouvoirs publics quant au respect des délais de réalisation des cinq stations de dessalement d’eau de mer à travers la bande côtière du pays.

Cela impose, a ajouté le ministre qui effectuait une visite de travail dans la wilaya d’El Tarf, que « les délais impartis pour la livraison et la mise en service des 5 stations en question doivent être impérativement respectés, d’où l’obligation de les faire réceptionner d’ici à la fin décembre 2024, conformément au cahier des charges ».

Lors de sa tournée dans cette wilaya, M. Derbal, soulignant « la nécessité d’un suivi régulier de ces projets », a indiqué qu’une « évaluation mensuelle de l’avancement des chantiers » sera effectuée à l’effet « d’atteindre les objectifs fixés et dans les délais ».

Le ministre a également fait part, dans ce contexte, de la nécessité d’adopter de nouveaux mécanismes et de nouvelles méthodes de gestion des projets pour plus d’efficacité.

Après avoir souligné que cette visite vise à identifier toutes les contraintes qui viendraient à perturber la conduite des projets de réalisation des stations de dessalement, en respectant les délais et les normes de qualité, le ministre a ajouté que la satisfaction des besoins du citoyen en matière d’eau potable doit être accompagnée d’une réponse aux besoins de l’agriculture grâce aux barrages et aux stations de dessalement d’eau de mer.

M. Derbal a également souligné que ses services suivaient « attentivement » ces projets, en coordination avec les walis, et insisté sur l’établissement de rapports périodiques au sujet des taux d’avancement.

Des rapports, a-t-il dit, qui doivent également mentionner les éventuelles difficultés susceptibles de survenir et ce, dans l’optique de les résoudre dans les plus brefs délais.

« Le secteur de l’hydraulique doit accompagner et soutenir le secteur agricole afin d’atteindre la sécurité alimentaire et partant, réduire la facture des importations », a également souligné M. Derbal.

Dans une déclaration à la presse, sur le site du projet de réalisation de la station de dessalement d’eau de mer de Koudiat Draoueche, dans la commune de Berrihane, d’une capacité de production de 300.000 mètres cubes par jour, le ministre a indiqué que la stratégie du secteur de l’hydraulique est axée, à l’heure actuelle, sur la fourniture quotidienne d’eau potable aux citoyens, sans interruption.

Il a souligné, à cet égard, qu’il était « inapproprié » que le citoyen souffre d’un manque d’eau potable à l’heure où l’Etat met en place tous les moyens matériels et humains pour répondre aux besoins de la population.

A cette occasion, le ministre de l’hydraulique a indiqué qu’un plan d’action a été élaboré pour l’élimination des fuites d’eau et des raccordements illicites.

Le ministre a également appelé les responsables locaux du secteur à « prendre en compte les problèmes des citoyens dans le domaine de l’alimentation en eau potable et à les résoudre en temps opportun, par la consultation et le dialogue ».

M. Derbal a souligné, par ailleurs, l’importance de valoriser les projets achevés au profit du secteur de l’hydraulique et d’en augmenter les performances « avant l’inscription d’autres projets coûteux et à long terme ».

Lors de sa visite à El Tarf, le ministre de l’hydraulique a inspecté le barrage de Boukhroufa, en construction dans la commune de Boutheldja, et dont l’avancement a atteint un taux de à 80 %

La capacité de stockage de ce barrage, également destiné à protéger la commune de Boutheldja et les communes voisines du risque d’inondations, est estimée à 125 millions de mètres cubes, selon les explications fournies sur place.

ALGÉRIE PRESSE SERVICE

La rentrée universitaire 2023-2024 fixée au 23 septembre

La rentrée universitaire 2023-2024 fixée au 23 septembre

ALGER – La date de la rentrée universitaire 2023-2024 est fixée au 23 septembre 2023, a annoncé mercredi le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique dans un communiqué.

« Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique annonce que la rentrée universitaire 2023-2024 est fixée au 23 septembre 2023 pour tous les niveaux », précise le communiqué.

ALGÉRIE PRESSE SERVICE

Sahara occidental : la visite de De Mistura est le résultat de la position constante du Front Polisario

Sahara occidental : la visite de De Mistura est le résultat de la position constante du Front Polisario

Le représentant du Front Polisario auprès des Nations unies et coordinateur avec la MINURSO, Sidi Mohamed Omar, a affirmé que la première visite qu’effectue actuellement l’Envoyé personnel du Secrétaire général de l’ONU, Staffan de Mistura, au Sahara occidental est le résultat de la position constante du Front Polisario et de la lutte du peuple sahraoui contre l’occupation marocaine, notamment dans les territoires occupés.

Sidi Mohamed Omar a expliqué dans une déclaration à l’Agence de presse espagnole Efe que De Mistura n’avait pas pu se rendre en juillet 2022 au Sahara occidental, car il n’avait pas accepté les « conditions préalables » que l’Etat d’occupation marocain a tenté de lui imposer, en fixant notamment les lieux dans lesquels le diplomate italo-suédois devait se rendre et les personnes à rencontrer dans les territoires occupés.

Le diplomate sahraoui a souligné que cette fois, l’Etat occupant n’avait d’autre choix que d’abandonner sa position obstructionniste, ce qui a permis à De Mistura de poursuivre la mission qui lui a été assignée, en visitant le Sahara occidental occupé, avant de soumettre un rapport sur sa visite au Secrétaire général des Nations unies et au Conseil de sécurité en octobre prochain.

L’orateur a exprimé l’espoir que ce premier contact entre De Mistura et les Sahraouis dans les territoires occupés l’aidera à connaître de près la situation dans laquelle vit le peuple sahraoui sous occupation, en particulier les militants des droits de l’Homme et les prisonniers politiques, ainsi que l’oppression et l’intimidation dont il est victime.

Il a également souligné que cette visite a été rendue possible grâce à « la position constante du Front Polisario ainsi qu’à la lutte du peuple sahraoui, notamment dans les territoires occupés ».

L’Envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies pour le Sahara occidental, Staffan de Mistura, est arrivé lundi à Laâyoune occupée pour une visite au Sahara occidental.

Selon le ministère de l’Information sahraoui, cette visite devrait être un événement tout à fait naturel, en ce sens qu’elle s’inscrit en droite ligne avec la responsabilité des Nations unies envers le territoire et le peuple sahraouis, mais également avec les missions et le rôle du responsable onusien.

Elle « ne doit pas être une fin en soi, mais devra constituer une occasion pour lui de s’enquérir directement et sans réserves du bilan de la répression et du siège imposé notamment aux villes occupées de Laâyoune et Dakhla », a-t-on ajouté.

 Radio Algérienne