L’organisation Amnesty International a déclaré, samedi, que la Journée de la Terre est « un rappel de la lutte des Palestiniens contre l’apartheid (sioniste) et du prix de l’impunité continue de l’occupation « pour les violations commises ».

Dans une série de messages sur la plateforme « X », l’ONG a ajouté: « Cette année, les Palestiniens de la bande de Ghaza commémorent la Journée de la Terre et la Grande Marche du retour, tout en étant confrontés à un risque réel de génocide et de famine imminente ».

Elle a souligné que la Journée de la Terre « rappelle la lutte des Palestiniens contre l’apartheid (sioniste) » et le prix de l’impunité continue de l’entité sioniste pour les violations commises.

Tout en appelant à un cessez-le-feu immédiat à Ghaza, l’organisation a souligné que « les Palestiniens ont le droit de vivre sur leur terre sans être soumis à la discrimination, à la persécution ou au déracinement de leur terre ».

Le 30 mars de chaque année, les Palestiniens commémorent la Journée de la Terre, dont les événements remontent à 1976, lorsque les sionistes ont confisqué de vastes zones des terres appartenant à la population palestinienne.

Cette année, la journée survient dans un contexte d’escalade de l’agression génocidaire dans la bande de Ghaza depuis le 7 octobre dernier, qui a fait des dizaines de milliers de martyrs, pour la plupart des enfants et des femmes, une catastrophe humanitaire et des destructions massives d’infrastructures et de biens.

APS