Aïd El-Adha: Kamel Sidi Said transmet les vœux du président de la République à la presse

ALGER – Le Conseiller du président de la République chargé de la Direction générale de la communication à la Présidence de la République, M. Kamel Sidi Said, a effectué, mardi, une visite au siège de l’agence Algérie presse service (APS) à Alger pour transmettre les vœux du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, à la corporation de la presse nationale à travers les journalistes et les travailleurs de l’agence, à l’occasion de l’Aïd El-Adha.

Accompagné du Directeur général de l’APS, M. Samir Gaïd, M. Sidi Said a visité les différents services rédactionnels et les structures techniques de l’agence, où il a adressé ses vœux aux journalistes et aux travailleurs à l’occasion de l’Aïd El-Adha, leur souhaitant plein succès dans l’accomplissement de leur noble mission d’information au sein de l’agence.

Le Conseiller du président de la République s’est également enquis du fonctionnement des services et des différentes étapes du processus de production de contenus médiatiques via les différents supports médias de l’agence, dont les dépêches du fil d’actualités, la plateforme de diffusion de contenus audiovisuels et les sites électroniques dans les deux langues nationales et en langues étrangères.

APS

Deuxième jour de l’Aïd El-Adha: la permanence respectée par la quasi-totalité des commerçants

ALGER – Le programme de permanence a été respecté par 99,92% des commerçants au deuxième jour de l’Aïd El-Adha, a indiqué lundi un communiqué du ministère du Commerce et de la Promotion des exportations.

« Le ministère du Commerce et de la Promotion des exportations salue l’adhésion des commerçants et des opérateurs économiques au programme de permanence au deuxième jour de l’Aïd El-Adha », lit-on dans le communiqué.

« 52.365 commerçants ont respecté le programme de permanence, soit près de 99,92% de l’ensemble des commerçants concernés », a précisé le ministère, saluant leur « civisme ».

Les commerçants et les opérateurs économiques sont priés de « reprendre leurs activités normalement à compter de mercredi 19 juin 2024 », a rappelé le communiqué.

APS

Ghaza: le bilan de l’agression sioniste s’élève à 37.372 martyrs

GHAZA – Le bilan de l’agression génocidaire sioniste contre la bande de Ghaza s’est alourdi à 37.372 martyrs et 85.452 blessés, depuis le 7 octobre dernier, ont indiqué mardi les autorités palestiniennes de la santé.

Selon la même source, l’armée d’occupation sioniste a commis 3 massacres au cours des dernières 24 heures dans la bande de Ghaza, faisant 25 martyrs et 80 blessés.

Les autorités palestiniennes de la santé ont indiqué qu’un certain nombre de victimes palestiniennes se trouvaient encore sous les décombres et sur les routes, et que les forces de l’occupation empêchaient les ambulances et les équipes de la Protection civile de leur porter secours.

Depuis le 7 octobre 2023, l’armée sioniste mène une agression sauvage contre l’enclave palestinienne qui a entraîné des destructions massives d’infrastructures, en plus d’une catastrophe humanitaire sans précédent.

APS

UNESCO: l’élection de l’Algérie au comité pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, une reconnaissance de son rôle dans le domaine

ALGER – Des experts et chercheurs dans le domaine du patrimoine culturel ont affirmé que l’élection, à l’unanimité, de l’Algérie au sein du Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel  à l’UNESCO, se veut « une reconnaissance » de son expérience et de son rôle dans ce domaine, et vient consolider sa place à l’échelle internationale pour activer les mécanismes de protection de ce legs humanitaire représentant l’identité des peuples et leurs caractéristiques nationales.

Cette élection pour un mandat de 4 ans, à compter de l’exercice actuel, revêt pour l’Algérie « une grande importance, en ce sens qu’elle verra sa place renforcée dans les fora onusiens ce qui lui permettra de contribuer à l’activation des mécanismes internationaux pour la protection du patrimoine culturel humanitaire, et partant de concourir davantage à la protection du patrimoine culturel algérien dans sa composante matérielle et immatérielle », a estimé le directeur du Centre national des recherches préhistoriques, anthropologistes et historiques CNRPAH , Slimane Hachi.

Et d’ajouter que cette démarche intervient également « en couronnement des efforts laborieux des experts et spécialistes algériens via les ministères des Affaires étrangères et de la Culture et des Arts, le Centre régional pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Afrique (CRESPIAF) de catégorie 2, relevant de l’UNESCO et du CNRPAH entre autres instances, ces derniers ayant réussi à convaincre les pays membres de l’importance de l’adhésion de l’Algérie à ce Comité ».

Grâce à ce nouveau pas, l’Algérie « s’érigera en tribune onusienne pour faire entendre sa voix imposante, étant connue pour ses positions et sa contribution efficace en matière de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel », a-t-il soutenu.

Il a rappelé, dans ce contexte, que l’Algérie était le premier pays signataire de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine immatériel en 2003 et a participé « efficacement » à la formulation de ses textes.

L’Algérie était pionnière dans la promulgation de la loi 98-04 relative à la protection du patrimoine culturel, selon le même responsable.

L’intervenant a estimé que cette place « est le résultat des acquis obtenus après de longues années de travail dans ce domaine, en enregistrant de nouveaux éléments du patrimoine ou en proposant des dossiers solides pour le classement dont la majorité ont été acceptés par l’UNESCO ». Il a cité, à ce propos, le décret exécutif d’octobre 2003 relatif au financement de la Banque nationale de données du patrimoine culturel immatériel, « l’Algérie devenant ainsi un exemple à suivre pour plusieurs pays particulièrement en Afrique pour la création de banques de données ».

L’Algérie avait proposé en 2013 d’abriter le Centre régional pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Afrique (CRESPIAF) de catégorie 2, une proposition qui a été acceptée par l’UNESCO « vu les rapports positifs sur l’Algérie dont la Constitution consacre la protection du patrimoine matériel et immatériel comme un fondement de l’identité nationale, et pour sa connaissance  de la valeur du patrimoine immatériel dans la vie des peuples », selon la même source.


Lire aussi: UNESCO: l’Algérie élue membre du Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel


De son côté, l’enseignante et chercheure en patrimoine, Mme Faïza Riach, a estimé que l’élection de l’Algérie au sein de ce comité international était prévisible notamment après sa participation à l’élaboration et la ratification de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine immatériel en 2003, en plus d’œuvrer sans relâche à l’élaboration de dossiers à l’échelle nationale ou des dossiers collectifs, à l’image des dossiers « Imzad » de dimension africaine, « Couscous » et la « gravure sur métaux » de dimension arabe et autres, outre l’enregistrement d’éléments nationaux.

Les efforts continus de l’Algérie, couronnés en 2014 par la création du « CRESPIAF » est « un acquis important », à travers lequel des cadres et des experts ont été formés, a-t-elle dit, ajoutant que l’Algérie compte promouvoir, dans le cadre de ses missions au sein de la commission, la Convention pour la sauvegarde du patrimoine immatériel, et procédera à l’examen des demandes relatives à l’enregistrement des pratiques et savoir-faire des Etats parties.

« L’Algérie plaidera pour la préservation de toutes les composantes du patrimoine immatériel, d’autant que nous avons besoin aujourd’hui de tous les moyens de défense en faveur de ce patrimoine, notamment en matière de diplomatie culturelle », a-t-elle estimé, ajoutant « il s’agit d’un acquis pour l’Algérie, que nous espérons voir couronné par le classement de davantage de patrimoine culturel algérien et l’exploitation de la Convention de 2003 pour la sauvegarde et la protection de ce patrimoine qui représente la richesse d’une société et l’identité de groupes, outre sa contribution au développement durable ».

Pour Mme Riache, la présence de l’Algérie au sein de ce Comité permet de bénéficier des aides internationales assurées par la Convention, et ce, sous forme de formations et d’échange d’expertises, en plus de veiller à la pérennité et à la protection du savoir-faire relevant du patrimoine.

La présidente de l’association « Hmamat Dzair », spécialisée dans la promotion et la préservation du « haïk », Nacera Douaghi, s’est félicitée de l’adhésion de l’Algérie au Comité du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO, estimant que cette adhésion « témoigne de la considération internationale à l’égard du rôle de l’Algérie dans l’activation du dossier de sauvegarde du patrimoine immatériel, aussi bien au niveau national qu’international ».

Etant une association qui s’attèle à la préservation des tenues traditionnelles algériennes, tous types confondus, Mme Douaghi a indiqué que « la société civile a besoin de renforcer son réseau et de consolider ses rangs à travers l’élaboration de programmes au profit des acteurs associatifs, à travers la formation et les campagnes de sensibilisation visant à diffuser la culture du patrimoine ».

L’Algérie a été élue, à l’unanimité, membre du Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel pour le mandat 2024-2028, représentant le groupe arabe, lors de la 10e Assemblée générale des Etats signataires de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, tenue le 11 juin au siège de l’UNESCO à Paris, en présence des représentants de 183 pays.

Athlétisme/Championnats d’Afrique: la sélection algérienne à pied d’œuvre à Douala

ALGER – La sélection algérienne (messieurs/dames) d’athlétisme a embarqué dimanche après-midi pour le Cameroun, en prévision des Championnat d’Afrique 2024, qui se dérouleront les 21-22 juin courant à Douala.

Outre les dirigeants et les entraîneurs, la délégation algérienne comportait un total de 21 athlètes seniors (16 messieurs et 5 dames), appelés à représenter les couleurs nationales dans différentes spécialités, de course, de saut et de lancer, avec l’objectif de décrocher un maximum de médailles.

Une liste marquée par quelques absences de marque, notamment, celles des demi-fondistes Djamel Sedjati, Slimane Moula et Mohamed Ali Gouaned, engagés actuellement dans différents meetings en Europe, dans le cadre de leur préparation en prévision des JO de Paris 2024.

En revanche, le triple sauteur Yasser Mohamed Tahar Triki sera bien là, tout comme Amine Bouanani au 110m/haies, Abdelmalik Lahoulou au 400m/haies, Oussama Cherrad au 1500 mètres et le tandem féminin Zahra Tatar – Zouina Bouzebra au lancer du marteau.

Liste des représentants Algériens aux Championnats d’Afrique deDouala :

Messieurs :

– Oussama Cherrad (1500m)

– Larbi Bourrada (Décathlon)

– Oussama Khennoussi (Disque)

– Saïd Ameri (5000m)

– Louaï Lamraoui (Longueur)

– Amine Bouanani (110m/haies)

– Hichem Bouchicha (3000m)

– Billel Tabti (3000m)

– Amar Mehdi Rouana (Perche)

– Yasser Mohamed Tahar Triki (Triple saut)

– Abdelmalik Lahoulou (400m/haies)

– Abdennour Bendjemaâ (400m)

– Aymen Bensaha (Marche)

– Ismaïl Benhammouda (Marche)

– Chérif Boudoumi (Décathlon)

– Mohamed Benyettou (10.000m)

 

Dames :

– Darine Hadil Rezik (Hauteur)

– Zahra Tatar (Marteau)

– Melissa Touloum (Marche)

– Zouina Bouzebra (Marteau)

– Souad Azzi (Marche).

 

APS

L’intelligence artificielle et le numérique au service de la santé

ALGER – L’Algérie s’emploie, ces dernières années, à adapter son système de santé aux avancées technologiques accélérées que connaît la médecine, notamment en encourageant les chercheurs qui travaillent sur l’intégration de l’intelligence artificielle (IA) et de la technologie numérique dans le domaine de la santé en vue d’améliorer les diagnostics et les soins.

Des chercheurs ont indiqué à l’APS travailler essentiellement sur les moyens permettant de tirer parti des progrès technologiques au service de la santé en vue d’améliorer les diagnostics et d’optimiser la prise en charge des patients.

Parmi eux, le Directeur de la Division « Systèmes d’information et systèmes multimédia » au Centre de recherche sur l’information scientifique et technique (CERIST), Abdelkrim Meziane, qui a précisé que les chercheurs algériens œuvraient en permanence à « intégrer la technologie numérique dans les services de santé » conformément à ce qui se fait à l’échelle mondiale.

Pour illustrer son propos, il a évoqué un projet de système technologique, développé au niveau du Centre, pour la rééducation des membres supérieurs après un AVC. En associant leurs mouvements à ceux des avatars créés par ce système, les patients peuvent retrouver leurs fonctions motrices grâce aux Serious Games, qui ont pour objectif d’améliorer la motivation des patients, a expliqué le chercheur.

Les Serious Games comprennent plusieurs niveaux, qui dépendent du degré d’interaction du patient et du temps qu’il met à accomplir les tâches qui lui sont assignées, a-t-il précisé, soulignant que le recours à la réalité virtuelle permettait aux patients d’effectuer leurs exercices à distance sans avoir à se déplacer dans des structures spécialisées.

Ce système technologique s’inscrit dans le cadre du projet de doctorat d’une étudiante de l’Université des sciences et de la technologie Houari-Boumediene (USTHB).

Toujours au niveau du CERIST, l’équipe de la Division « Théories et ingénierie des systèmes informatiques » a travaillé sur le projet DIAG, sous la direction du chercheur Saïd Yahiaoui, en collaboration avec des étudiants de la faculté de médecine de l’Université d’Alger 1.

Ce projet permet de diagnostiquer les maladies pulmonaires à l’aide de l’intelligence artificielle et de la réalité virtuelle et augmentée, qui offrent la possibilité de visualiser les images médicales en 3D.

L’intérêt du programme DIAG est qu' »il permet de détecter avec précision les parties touchées du poumon (indétectables à l’œil nu) et de déterminer le taux d’atteinte en moins de 30 secondes ».

Autre projet, celui développé par l’équipe « Interaction homme-système et réalité virtuelle et augmentée » (IRVA) de la Division « Productique et Robotique » au Centre de développement des technologies avancées (CDTA). Il consiste en la mise au point d’une application permettant de détecter avec précision les tumeurs au cerveau en s’appuyant sur les techniques de la réalité virtuelle et augmentée, a fait savoir la chercheuse Kahina Amara, ajoutant que la modélisation 3D obtenue grâce à cette application facilitait la tâche des médecins.

De son côté, l’enseignante-chercheuse Fatiha Alim Ferhat de l’équipe de recherche « Algorithmes d’analyse d’image » a précisé qu’il s’agissait pour les chercheurs du Centre de « développer un outil d’aide à la décision médicale permettant d’accélérer l’analyse des IRM avec une précision remarquable », rappelant la création, par son équipe, d’une application qui aide à la détection précoce du cancer de sein.

Le responsable de la Division « Télécom » au CDTA, Farid Harizi, a, quant à lui, passé en revue, un ensemble de systèmes et d’applications visant à contribuer à l’amélioration de l’état du malade, dont une application qui aide à lire les électrocardiogrammes (ECG) et un système d’assistance aux personnes âgées, qui scrute leurs mouvements et envoie automatiquement un SMS d’alerte à leurs proches en cas de détection d’une chute.

Pour sa part, le président de l’Agence nationale de sécurité sanitaire, Pr. Kamel Sanhadji, a souligné l’importance cruciale de la collecte et du partage des données de santé pour un déploiement efficace de l’IA dans le domaine de la santé en Algérie qui permette l’amélioration des diagnostics, la détection précoce des maladies et la mise en place de plans de prévention et de traitement personnalisés.

Et de préciser, à ce propos, que l’Agence nationale de sécurité sanitaire, qui compte des ingénieurs de différentes spécialités, s’attelait à « la création d’un centre de données et d’une plateforme technologique moderne de collecte, d’analyse et d’échange des données algériennes sur la santé des citoyens et des données liées aux facteurs impactant la sécurité sanitaire », expliquant que « l’analyse des données recueillies permettra de révéler les interactions entre les différentes variables, de surveiller le développement de certaines maladies et d’anticiper les crises sanitaires ».

aps

Décès du journaliste Mohamed Soltani : condoléances du ministre de la Communication

ALGER – Le ministre de la Communication, Mohamed Laagab a présenté ses condoléances suite au décès mercredi du journaliste à la chaîne « El Bilad », Mohamed Soltani, à l’âge de 56 ans.

« C’est avec une grande tristesse et une grande affliction, que j’ai appris la nouvelle de la disparition du journaliste Mohamed Soltani, décédé des suites d’un arrêt cardiaque. Le défunt était connu, parmi ses collègues, pour ses hautes qualités morales et professionnelles. Il avait à son actif un riche parcours, de plus de 20 années, dans le secteur de la Communication, aussi bien dans la presse écrite que dans l’audiovisuel où il a animé de nombreuses émissions télé traitant de thèmes d’actualité », lit-on dans le message de condoléances.

En cette douloureuse épreuve, le ministre de la Communication présente ses « sincères condoléances, ainsi que sa profonde compassion à la famille du défunt et à l’ensemble du personnel de la chaine El Bilad, implorant Allah Tout-Puissant d’accorder au défunt Sa Sainte miséricorde et de l’accueillir en Son vaste paradis ».

APS

Conférence de l’OIT à Genève: le CREA participe à la réflexion mondiale pour un nouveau contrat social

ALGER – Le Conseil du renouveau économique algérien (CREA) a participé à la réflexion mondiale pour un nouveau contrat social lancée lors de la 112eme Conférence internationale du Travail, tenue mercredi à Genève, a-t-il indiqué dans un communiqué. 

« Dans le cadre de la 112eme Conférence Internationale du Travail, le Directeur général de l’OIT, M. Gilbert F. Houngbo a lancé la réflexion autour de la refonte du contrat social. En sa qualité de syndicat patronal, le CREA s’engage pleinement dans cette réflexion », a-t-il précisé.

En effet, souligne le CREA, « il existe aujourd’hui un ensemble d’instruments internationaux et régionaux qui sont supposés permettre l’universalité des droits, à savoir droits de l’Homme, droit du travail, droit au développement, droit au minimum vital, droit à l’eau et droit à la vie ».

Le syndicat patronal ajoute que « les bouleversements mondiaux et particulièrement le génocide actuellement en cours en terre de Palestine ont définitivement levé le voile sur une triste réalité. Cette triste et violente réalité nous dit que le seul droit qui prime est celui du plus fort ».

A cet effet, le CREA soutient que « ce contrat social tel qu’il a été pensé par les fondateurs de toutes les organisations internationales ainsi que de l’OIT mérite d’être repensé à la lumière de ce que les peuples dont les travailleurs et les employeurs vivent aujourd’hui en fonction du territoire où ils résident ».

Il souligne à ce propos, que « les employeurs, travailleurs et gouvernement œuvrent ensemble à travailler pour plus de transparence, plus de justice sociale et surtout plus de développement économique créateur de richesses hors hydrocarbures ».

Pour le CREA, « il n’est de progrès économique que par la bonne volonté et l’engagement de toutes les femmes et de tous les hommes. Dans notre pays, les employeurs apprennent avec les travailleurs à former un équipage pour renforcer la souveraineté économique du pays. Et nous sommes sur le bon chemin ».

« Ceux qui regardent encore le monde à travers une opposition entre employeurs et salariés arbitrée par un Etat tutélaire sont enfermés dans le passé », selon le syndicat patronal.

Aussi, ajoute le communiqué le « contrat social que nous voulons doit répondre à la diversité des situations et des besoins des entreprises, répondre aussi à la variété des aspirations des salariés: pouvoir choisir, pouvoir changer, pouvoir progresser, avoir son mot à dire, être entendu, maîtriser les différents temps de la vie, en un mot obtenir de nouvelles libertés, de nouvelles responsabilités ».

« Pour plus d’équité et plus de justice sociale, les normes ne doivent pas servir de bouclier à une fausse universalité, à une humanité imaginaire, derrière laquelle certains pourraient cacher leurs propres intérêts », conclut le communiqué.

APS

Agression sioniste contre Ghaza: 37.202 martyrs et 84.932 blessés

GHAZA – Le bilan de l’agression génocidaire sioniste contre la bande de Ghaza, en cours depuis le 7 octobre dernier, s’est élevé mercredi à 37.202 martyrs et 84.932 blessés, ont indiqué les autorités palestiniennes de la Santé. 

Un précédent bilan donné par la même source faisait état de 37.164 martyrs et 84.832 blessés.

L’armée d’occupation a commis trois massacres au cours de ces dernières 24 heures faisant 38 martyrs et 100 blessés, ont précisé les autorités palestiniennes de la Santé, ajoutant que plusieurs victimes sont toujours ensevelies sous les décombres du fait des raids et bombardements sionistes incessants contre l’enclave palestinienne.

Outre le bilan humain, cette agression génocidaire contre la bande de Ghaza, qui dure depuis le 7 octobre 2023, se déroule dans un contexte de famine et de destruction massive.

APS

L’Algérie élue présidente du conseil d’administration de l’UPAP pour la période 2024-2025

ALGER – L’Algérie a été élue, à l’unanimité, présidente du conseil d’administration de l’Union panafricaine des postes (UPAP) pour la période 2024-2025, lors des travaux de la 42e session ordinaire du conseil d’administration de l’organisation qui se tient à Arusha (Tanzanie), du 3 au 14 juin, indique, mercredi, un communiqué du ministère de la Poste et des Télécommunications.

Le nouveau bureau du conseil d’administration de l’UPAP, présidé par l’Algérie, comprend le Burkina Faso (premier vice-président), la Tanzanie (deuxième vice-président), en sus du Botswana et du Burundi en qualité de rapporteurs du bureau, précise la même source.

L’Algérie participe à cette session avec une délégation conduite par le secrétaire général du ministère, Bara Abdelouahab, en présence de l’ambassadeur d’Algérie en Tanzanie, Ahmed Djellal.

Des réunions des commissions stratégique, technique et administrative de l’UPAP et plusieurs forums et rencontres dans le domaine du développement et de la régulation des services postaux, sont au programme de cette session.

Le secrétaire général du ministère participe également à la table ronde organisée en marge des réunions du conseil d’administration sur la stratégie régionale de l’Union postale universelle (UPU) pour la région Afrique 2024, selon le même communiqué.

L’UPAP est une institution spécialisée de l’Union africaine (UA) chargée de coordonner les activités de développement des services postaux en Afrique.

APS