Le ministre de la Communication reçoit une délégation du Bureau national de l’Organisation nationale des journalistes algériens

Le ministre de la Communication reçoit une délégation du Bureau national de l’Organisation nationale des journalistes algériens

ALGER – Le ministre de la Communication, M. Mohamed Meziane, a reçu, lundi, une délégation du Bureau national de l’Organisation nationale des journalistes algériens, conduite par M. Slimane Abdouche, président de l’organisation, indique un communiqué du ministère.

Lors de cette rencontre, M. Meziane a salué le rôle de cette organisation, assurant que « les portes du ministère lui sont ouvertes pour travailler ensemble au service du secteur de l’information », précise le communiqué.

A cette occasion, l’organisation a « présenté un exposé détaillé sur son processus de création, ses activités et son programme annuel, qui prévoit plusieurs activités et initiatives professionnelles et de formation visant à promouvoir l’exercice médiatique en Algérie », selon la même source.

L’organisation a également présenté au ministre un état des lieux du secteur de l’information, en mettant l’accent sur les préoccupations socioprofessionnelles des journalistes et les disfonctionnements relevés, ajoute le communiqué.

L’organisation a apprécié « l’interaction positive du ministre avec les différentes préoccupations soulevées et sa profonde connaissance des défis posés ».

Dans ce contexte, le ministre a souligné « l’importance d’associer l’Organisation nationale des journalistes algériens au processus de réforme du secteur ».

Annonçant « l’organisation de quatre rencontres régionales réunissant la corporation », M. Meziane a « invité l’organisation, ses bureaux régionaux et ses membres à y prendre part en présentant leurs visions et propositions de manière détaillée », selon la même source.

Toute en saluant cette initiative, « l’Organisation nationale des journalistes algériens a assuré qu’elle demeurera la voix des journalistes professionnels intègres et qu’elle continuera à militer pour des médias nationaux libres, responsables et professionnels qui défendent la patrie et préservent la dignité des journalistes dans le cadre des lois de la République », conclut le communiqué.

APS

Le président de la République nomme MM. Kamel Rezig, ministre du Commerce extérieur et Mohamed Boukhari, président du CNESE

Le président de la République nomme MM. Kamel Rezig, ministre du Commerce extérieur et Mohamed Boukhari, président du CNESE

Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a mis fin, hier lundi, aux fonctions du ministre du Commerce extérieur et de la Promotion des exportations et à celles de la présidente du Conseil national économique, social et environnemental (CNESE), indique un communiqué de la Présidence de la République. 

«Le président de la République, Monsieur Abdelmadjid Tebboune, a mis fin, ce jour, aux fonctions de Monsieur Boukhari Mohamed, ministre du Commerce extérieur et de la Promotion des exportations, et a nommé à sa place Monsieur Kamel Rezig», lit-on dans le communiqué.

Monsieur le président de la République a également mis fin «aux fonctions de Madame Rabéa Kharfi, présidente du Conseil national économique, social et environnemental et a nommé à sa place Monsieur Mohamed Boukhari».

Boughali reçoit le président du groupe d’amitié parlementaire Mauritanie-Algérie

Boughali reçoit le président du groupe d’amitié parlementaire Mauritanie-Algérie

ALGER – Le président de l’Assemblée populaire nationale (APN), Brahim Boughali, a reçu, lundi à Alger, le président du groupe d’amitié parlementaire Mauritanie-Algérie, Mustapha Souheïb.

Lors de cette rencontre, la profondeur des relations historiques unissant les deux pays a été soulignée.

Le président de l’APN a affirmé, à ce propos, que « les deux parties sont animées d’une forte volonté politique de renforcer la coopération bilatérale ».

Par ailleurs, M. Boughali a évoqué le soutien continu de l’Algérie aux causes justes, à leur tête la cause palestinienne, en réaffirmant son soutien indéfectible en faveur de cette cause.

De son côté, M. Souheïb s’est félicité de « la solidité et de la particularité des relations entre les deux pays », exprimant la volonté de son pays de « renforcer la coopération avec l’Algérie dans plusieurs domaines, dont l’agriculture et les télécommunications ».

Il a annoncé, dans ce contexte, la visite « prochaine » des membres du groupe d’amitié parlementaire Algérie-Mauritanie dans son pays.

 

APS

L’Algérie exprime sa vive protestation suite à la décision de la justice française de placer en détention provisoire son agent consulaire en exercice

L’Algérie exprime sa vive protestation suite à la décision de la justice française de placer en détention provisoire son agent consulaire en exercice

ALGER- Le Secrétaire Général du ministère des Affaires étrangères, M. Lounès Magramane, a reçu samedi, au siège du ministère, l’ambassadeur de France en Algérie, M. Stéphane Romatet pour lui exprimer la vive protestation de l’Algérie suite à la décision des autorités judiciaires françaises de mettre en examen et de placer en détention provisoire un de ses agents consulaires en exercice sur le sol français, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l’étranger et des Affaires africaines. 

Cette audience, précise le communiqué, « a eu pour objectif d’exprimer la vive protestation de l’Algérie suite à la décision des autorités judiciaires françaises de mettre en examen et de placer en détention provisoire un de ses agents consulaires en exercice sur le sol français, dans le cadre de l’ouverture d’une information judiciaire sur un supposé enlèvement du voyou Amir Boukhors, dit AmirDZ, en 2024 ».

« L’Algérie rejette fermement, tant sur la forme que sur le fond, les motifs invoqués par le Parquet antiterroriste français, à l’appui de sa décision de mettre en détention provisoire son agent consulaire », souligne le ministère des Affaires étrangères.

« Sur le plan de la forme, l’Algérie rappelle que l’agent consulaire a été arrêté en pleine voie publique puis placé en garde à vue sans notification par le canal diplomatique et en flagrante contravention aux immunités et privilèges rattachés à ses fonctions près le Consulat d’Algérie à Créteil ainsi qu’à la pratique prévalent en la matière entre l’Algérie et la France », selon le communiqué.

Il ajoute que « sur le plan du fond, l’Algérie retient surtout la fragilité et l’inconsistance de l’argumentaire vermoulu et farfelu invoqué par les services de sécurité du Ministère de l’Intérieur français durant les auditions, laquelle appuie cette cabale judiciaire inadmissible sur le seul fait que le téléphone mobile de l’agent consulaire inculpé aurait borné autour de l’adresse du domicile de l’énergumène Amir Boukhors ».

« L’Algérie appelle à la libération immédiate de l’agent consulaire placé en détention provisoire et exige que les droits rattachés à ses fonctions, aussi bien dans le cadre des conventions internationales que des accords bilatéraux, soient scrupuleusement respectés en vue de lui permettre de se défendre convenablement et dans les conditions les plus élémentaires », insiste le communiqué.

Selon la même source, « ce tournant judiciaire, inédit dans les annales des relations algéro-françaises, n’est pas le fruit du hasard et que son occurrence intervient dans un contexte bien déterminé et à des fins de torpillage du processus de relance des relations bilatérales convenu entre les deux Chefs d’Etat lors de leur récent entretien téléphonique ».

« Ce tournant, malheureux et malvenu, prouve que certaines parties françaises ne sont pas animées de la même volonté de revitalisation des relations bilatérales et que l’engagement des uns et des autres n’est pas à la confluence de la bonne foi et de la sincérité nécessaires à la réunion des conditions d’une reprise sereine du cours normal des relations bilatérales », poursuit le texte.

« Nous ne pouvons nous empêcher d’être surpris sur le choix cynique fait par les fossoyeurs de la normalisation des relations bilatérales concernant le nervi utilisé comme levain de cette nouvelle action préméditée. L’empressement balourd à utiliser ce voyou comme nouvel étendard de la faconde anti-algérienne qui anime ses instigateurs contraste avec la passivité longtemps affichée dans le traitement des demandes d’extradition émises par les autorités algériennes à l’encontre de cette activiste subversif et lié à des organisations terroristes ».

« Ce nouveau développement inadmissible et inqualifiable causera un grand dommage aux relations algéro-françaises et ne contribuera pas à l’apaisement. L’Algérie n’a pas l’intention de laisser cette situation sans conséquences tout comme elle veillera à assumer pleinement et résolument la protection de son agent consulaire », conclut le communiqué du ministère des Affaires étrangères.

APS

Une délégation du Conseil consultatif politique chinois reçue au Conseil de la nation

Une délégation du Conseil consultatif politique chinois reçue au Conseil de la nation

ALGER – Une délégation de la Commission des affaires religieuses et ethniques du Conseil consultatif politique du peuple chinois a été reçue, samedi à Alger, par le vice-président du Conseil de la nation, M. Mohamed Réda Oussahla, indique un communiqué de Conseil.

« Sur mandat de M. Salah Goudjil, président du Conseil de la nation, M. Mohamed Réda Oussahla, vice-président du Conseil de la nation, accompagné de M. Mohamed Amroune, président de la Commission des affaires étrangères, de la coopération internationale et de la communauté nationale à l’étranger, a reçu, ce samedi, une délégation de la Commission des affaires religieuses et ethniques du Conseil consultatif politique du peuple chinois, conduite par M. Zhang Yijiong », précise la même source.

La rencontre a constitué une occasion d’échanger sur la pratique religieuse dans les deux pays amis qui se fait dans un esprit de respect, de liberté et de coexistence.

Elle a également permis de « réaffirmer l’attachement aux relations historiques et stratégiques unissant l’Algérie et la Chine, qui se consolident aujourd’hui grâce à la volonté politique partagée des deux Chefs d’Etat, M. Abdelmadjid Tebboune, Président de la République et son homologue chinois, M. Xi Jinping ».

M. Oussahla a salué les relations  »exemplaires » entre l’Algérie et la Chine, encadrées par « un partenariat stratégique fructueux, marqué par une large convergence sur les questions internationales, notamment les causes justes, en premier lieu les questions palestinienne et sahraouie ».

Il a également évoqué les constantes de l’identité nationale (l’islam, l’arabité et l’amazighité) consacrées par la Constitution 2020 comme des « sources de diversité constituant l’unité de la nation algérienne », ajoute le communiqué.

De son côté, M. Zhang Yijiong s’est félicité de la qualité des relations historiques « profondes et distinguées » entre la Chine et l’Algérie, « bâties sur la confiance, le partenariat et le soutien mutuel depuis 67 ans ».

APS

M. Attaf s’entretient à Antalya avec son homologue palestinien

M. Attaf s’entretient à Antalya avec son homologue palestinien

Le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l’étranger et des Affaires africaines, M. Ahmed Attaf, a eu, samedi en marge de sa participation au Forum diplomatique d’Antalya en Turquie, des entretiens avec le Premier ministre, ministre des Affaires étrangères et des Expatriés de l’Etat de Palestine, pays frère, M. Muhammad Mustafa, indique un communiqué du ministère.

A cette occasion, les deux parties ont passé en revue « les graves développements que connaît la question palestinienne en raison de la persistance de l’horrible guerre menée par l’occupation israélienne contre le peuple palestinien frère dans la bande de Ghaza et de sa politique d’escalade à El-Qods et en Cisjordanie », précise la même source.

La rencontre a aussi été l’occasion pour l’Algérie de « réaffirmer son soutien constant aux frères palestiniens à tous les niveaux et la poursuite de la coordination avec la partie palestinienne concernant les démarches à entreprendre au niveau du Conseil de sécurité des Nations Unies face aux risques existentiels qui pèsent sur la cause palestinienne et menacent le projet national qui y est inhérent », conclut le communiqué.

APS