Président de la République : nous restons attachés à la politique sociale de l’Etat

Président de la République : nous restons attachés à la politique sociale de l’Etat

ALGER- Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a affirmé que la politique sociale de l’Etat consistait à ne pas abandonner les citoyens et à prendre en charge leurs besoins essentiels, soulignant que le renforcement de la production nationale, la lutte contre l’inflation et la revalorisation des salaires contribuaient à la préservation du pouvoir d’achat des Algériens.

Lors de son entrevue périodique avec des représentants des médias nationaux diffusée samedi soir, le président de la République a précisé que « la préservation du pouvoir d’achat repose sur trois piliers : la lutte contre l’inflation, le renforcement de la production nationale et la poursuite de la révision des salaires et des allocations jusqu’à 100% d’augmentation d’ici 2027 au plus tard ». « Telles sont nos priorités pour parachever les projets de développement créateurs d’emplois », a-t-il dit.

« Ces projets concernent les produits chimiques, la métallurgie ainsi que divers secteurs, avec pour objectif d’atteindre 20.000 projets, dont 9.000 ont déjà été concrétisés à ce jour, ce qui augmentera les capacités financières permettant d’équilibrer le marché », a-t-il poursuivi.

Après avoir rappelé les étapes parcourues par l’Algérie dans le domaine de la production des biens de consommation essentiels et stratégiques comme la semoule, le sucre dont la production dépasse de 150% les besoins du pays, et l’huile dont la production dépasse de près de 200% la demande intérieure, le président de la République a affirmé que l’année prochaine verra la mise en œuvre d’une politique visant à rendre le prix de la viande à la portée des citoyens.

En attendant la mise en œuvre de cette mesure, « l’importation de viandes reste ouverte et ne s’arrêtera pas », a-t-il assuré, soutenant que « l’Algérie est un Etat social et le restera », dans le cadre d’une politique globale visant à « préserver la dignité des citoyens ».

 

                                                                        –Gazoduc transsaharien : le projet algérien est réel, les autres sont fictifs–

 

Le président de la République a également réaffirmé la détermination de l’Etat à lutter contre la contrebande et la spéculation à travers les mesures légales coercitives, mais aussi par le biais d’une série d’autres mesures, dont le développement des zones franches avec les pays voisins comme la Mauritanie et, plus tard, le Niger, et le projet de zone de libre-échange avec la Tunisie et la Libye à l’avenir.

Il a souligné, dans ce cadre, la détermination de l’Etat à lutter inlassablement contre « les lobbies de l’argent facile et les lobbies compradores » qui provoquent la pénurie de certains produits « à l’instigation d’individus cherchant à déstabiliser le pays ».

Dans ce sillage, le président de la République a mis en avant l’importance du processus de numérisation en cours pour garantir la transparence de la gestion et le suivi des activités commerciales, estimant que la bureaucratie était « un signe de sous-développement ».

A une question sur le projet du gazoduc transsaharien (Nigeria-Algérie), le président de la République a affirmé que « le travail se poursuit et il ne reste plus que 700 à 800 Km à parachever » sur les 4000 km du projet, rappelant, à cet égard, « l’accord établi concernant ce projet » entre les pays concernés, à savoir l’Algérie, le Niger et le Nigeria.

Face à ce « projet économique », il y a « un projet politique fictif devant traverser 14 pays, dont les territoires sahraouis occupés, et nécessitant des dizaines de milliards », a-t-il dit, précisant que les analystes intègres dans le domaine de l’énergie « savent séparer le bon grain de l’ivraie ».

Quant à la décision de l’Algérie de tourner la page de l’adhésion aux BRICS, le président de la République a dit : « nous ne songeons pas à rejoindre les BRICS+, notre attention se porte sur notre adhésion à la Banque des BRICS, qui n’est pas de moindre importance que la Banque mondiale ».

Il a fait état de l’approbation par cette institution financière (Nouvelle banque de développement) de l’adhésion de l’Algérie en tant qu’actionnaire dans son capital à hauteur de 1,5 milliard de dollars par étapes, soulignant que cette adhésion « renforce le rôle de l’Algérie en tant que pays émergent ».

APS

L’appel à réviser l’accord de 1968, slogan politique d’une minorité extrémiste en France

L’appel à réviser l’accord de 1968, slogan politique d’une minorité extrémiste en France

ALGER- Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a qualifié les appels de certaines parties françaises à la révision de l’accord de 1968 concernant la circulation et le séjour des Algériens en France de « slogan politique » d’une minorité extrémiste qui voue une haine à l’Algérie.

Lors de son entrevue périodique avec des représentants des médias nationaux, diffusée samedi soir sur les chaînes de la Télévision et de la Radio nationales, le président de la République a estimé que l’appel de certaines parties en France à renégocier l’accord de 1968 était « un épouvantail et un slogan politique d’une minorité extrémiste qui voue une haine à l’Algérie ».

Il a assuré que cet accord « n’affecte en rien la qualité de la migration ni la sécurité de la France », soulignant que toute allégation contraire « est une contrevérité qui participe du chantage visant à instiller la haine de l’Algérie en France ».

« L’Algérie est toujours encline à la coexistence pacifique avec toute le monde, mais pas au détriment de sa dignité et de son histoire », a-t-il soutenu.

En réponse à une question sur le travail de la Commission mixte chargée des dossiers mémoriels, regroupant des historiens algériens et français, le président de la République a indiqué qu’elle « a joué son rôle au départ, mais son travail a été impacté par les déclarations politiques d’une minorité française hostile à l’Algérie ».

« Nous réclamons la vérité historique et exigeons une reconnaissance des massacres commis par la colonisation française qui était une colonisation de peuplement et nous n’accepterons pas les mensonges colportés sur l’Algérie », a-t-il insisté.

Il a indiqué, à ce propos, avoir déjà évoqué avec son homologue français Emmanuel Macron « l’ouverture d’une nouvelle page », précisant toutefois que « la citation du défunt président Houari Boumediene +Tourner la page sans la déchirer+ reste de mise ».

Le président de la République a en outre fait remarquer que la reconnaissance par la France dudit « plan d’autonomie » comme la seule base de règlement du conflit au Sahara occidental dans le cadre de « la prétendue souveraineté marocaine » va à l’encontre du respect du droit international et du Conseil de sécurité des Nations Unies, dont la France est membre permanent.

« Annoncer publiquement l’acceptation du +plan d’autonomie+ alors que le dossier du Sahara occidental se trouve au niveau de la commission de décolonisation de l »ONU, sachant que la France est membre du Conseil de sécurité, participe de la politique de deux poids deux mesures », a considéré le président de la République.

Dans le même contexte, le président de la République a précisé qu’il n’y avait pas de lien entre le retrait de l’ambassadeur d’Algérie à Paris et la visite qui était programmée en France, réaffirmant que l’Algérie « n’ira pas à Canossa ».

APS

Instaurer un dialogue national sérieux pour immuniser l’Algérie

Instaurer un dialogue national sérieux pour immuniser l’Algérie

ALGER- Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a assuré qu’un dialogue national sérieux sera instauré pour immuniser l’Algérie des ingérences étrangères et contrecarrer les tentatives visant à semer la fitna parmi les enfants du peuple algérien.

Lors de son entrevue périodique avec des représentants des médias nationaux, diffusée samedi soir sur les chaînes de la Télévision et de la Radio nationales, le président de la République a précisé que le dialogue national qu’il a annoncé aura lieu fin 2025 début 2026, soit « après la révision des lois relatives aux organes de l’Etat moderne, à l’instar des codes communal et de wilaya ».

Ce dialogue doit être préparé car étant « lié à l’avenir des générations montantes », a-t-il dit, expliquant qu' »il a vocation à immuniser l’Algérie des ingérences étrangères et à contrecarrer les tentatives visant à semer la fitna ».

Ce dialogue sera « précédé par nombre de priorités en lien avec l’économie nationale en vue de mettre l’Algérie à l’abri des soubresauts économiques et politiques que connaît le monde, avant de passer à l’étape de l’édification de la démocratie véritable ».

Le président de la République a rappelé, à ce propos, la rencontre qu’il a eue avec tous les partis ayant une représentation populaire aux niveaux local et national, un dialogue qui sera étendu, a-t-il dit, vers fin 2025.

Il a, par ailleurs, déploré « certains malentendus à l’origine de frictions », d’où la nécessité, a-t-il dit, de « lever les incompréhensions ».

Concernant ce que certains appellent « détenus d’opinion », le président de la République a été clair en affirmant que « quiconque est condamné par le code pénal n’a aucune immunité face à l’application de la loi, quelle que soit sa qualité ».

Il a aussi insisté sur l’impératif de « respecter les institutions » et de « lutter contre l’extrémisme, quelle qu’en soit l’origine ».

Concernant les textes juridiques qui seront révisés avant le lancement du dialogue national, le président de la République a spécifiquement cité les codes communal et de wilaya, ainsi que la loi sur les partis politiques, qu’il s’est engagé à élaborer « en concertation avec les partis ».

« Des élections locales et législatives anticipées pourraient avoir lieu si les circonstances l’exigent, mais il est impératif, au préalable, que les codes communal et de wilaya soient prêts », a ajouté le président de la République.

« Certains appellent à une révision de la Constitution et de la loi électorale. Nous restons ouverts à toutes ces propositions, sans exclure quiconque », a-t-il ajouté.

Revenant sur les résultats de l’élection présidentielle du 7 septembre dernier et le communiqué conjoint publié par les trois candidats à cette échéance concernant les incohérences dans les chiffres préliminaires annoncés par l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), le président de la République a annoncé « des investigations à ce sujet, dont les résultats seront rendus publics dès leur achèvement car cette question intéresse l’opinion publique ».

« S’il s’avère que cette instance n’a pas été à la hauteur des attentes, elle fera l’objet d’une réévaluation, d’autant que l’Algérie s’apprête à organiser des élections communales et de wilaya. Si, en revanche, le problème s’avère être lié à des personnes qui n’ont pas été à la hauteur de cette instance constitutionnelle, qui constitue l’un des fondements de la démocratie et de l’intégrité des élections, ces personnes seront remplacées », a affirmé le président de la République.

APS

Président de la République : le dialogue national aura lieu fin 2025 début 2026

Président de la République : le dialogue national aura lieu fin 2025 début 2026

ALGER- Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a affirmé, lors de son entrevue périodique avec des représentants des médias nationaux, que le dialogue national qu’il a annoncé précédemment aura lieu fin 2025 début 2026.

Dans des extraits de cette entrevue, qui sera diffusée samedi soir à partir de 21 heures sur les chaînes de la Télévision et de la Radio nationales, le président de la République a indiqué que le dialogue national qu’il a annoncé précédemment « aura lieu fin 2025 début 2026 », insistant sur la nécessité de « préparer ce dialogue ».

Il a en outre précisé que l’annonce de la composition du nouveau Gouvernement « interviendra avant la fin de l’année en cours ». « Nous recherchons les meilleures et plus hautes compétences du pays », a-t-il dit.

S’agissant de la révision de la loi sur les partis politiques, le président de la République a assuré que « les partis politiques seront associés » à cette révision.

Concernant la hausse des prix du café, le président de la République a précisé que « l’Etat a pris à sa charge la différence de prix à travers le Trésor afin de préserver le pourvoir d’achat des citoyens modestes », réaffirmant son engagement à continuer à soutenir cette catégorie et à ne pas l’abandonner.

Le président de la République a, par ailleurs, estimé que l’éradication de la contrebande « passe par la création de zones franches entre l’Algérie et les pays voisins frères ».

APS

Le Grand-Duc de Luxembourg félicite le président de la République pour sa réélection pour un second mandat

Le Grand-Duc de Luxembourg félicite le président de la République pour sa réélection pour un second mandat

ALGER – Le Grand-Duc Henri de Luxembourg a félicité le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, à l’occasion de sa réélection pour un second mandat, a indiqué samedi un communiqué de la Présidence de la République.

« Son Altesse Royale le Grand-Duc Henri de Luxembourg a félicité le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, pour sa réélection pour un nouveau mandat », lit-on dans le communiqué.

A cette occasion, « le Grand-Duc de Luxembourg a réitéré l’expression de l’amitié du Grand-Duché de Luxembourg au peuple algérien », a ajouté le communiqué.

APS

Italie: clôture des travaux de la réunion des ministres de l’Intérieur du G7

Italie: clôture des travaux de la réunion des ministres de l’Intérieur du G7

MIRABELLA ECLANO (Italie)- Les travaux de la réunion des ministres de l’Intérieur du G7, à laquelle l’Algérie était représentée par le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, M. Brahim Merad, ont été clôturés, vendredi à Mirabella Eclano (Italie).

Intervenant lors d’une séance consacrée à la question de « la migration clandestine et de la traite des êtres humains », M. Merad a mis en avant « les efforts de l’Algérie, sous la conduite du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, et ses initiatives visant à accompagner les efforts de développement dans les pays africains, notamment dans les régions frontalières, à travers des projets structurants et des actions de coopération et de solidarité dans la région ».

Il a également souligné l’intérêt qu’accorde l’Algérie à la gestion du phénomène de la migration clandestine selon « une vision globale à la hauteur des aspirations communes face à ces défis ».

En marge de cette réunion, M. Merad a eu des entretiens bilatéraux avec ses homologues libyen et italien, avec lesquels il a évoqué de nombreuses questions d’intérêt commun.

L’Italie assure cette année la présidence tournante du G7, qui compte également les Etats-Unis d’Amérique, le Royaume-Uni, la France, le Japon, l’Allemagne et le Canada.

APS

Réunion des ministres de l’Intérieur du G7 : M. Merad s’entretient avec son homologue italien

Réunion des ministres de l’Intérieur du G7 : M. Merad s’entretient avec son homologue italien

MIRABELLA ECLANO (Italie)- Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, M. Brahim Merad, s’est entretenu, vendredi, avec son homologue italien, M. Matteo Piantedosi, en marge de la réunion des ministres de l’Intérieur du G7, tenue dans la ville de Mirabella Eclano (Italie).

Lors de cette rencontre, les deux ministres ont passé en revue le niveau de coopération entre les deux pays dans les différents domaines, ainsi que les questions d’intérêt commun, notamment en ce qui concerne les résultats obtenus à l’issue de la réunion quadripartite sur la migration clandestine ayant regroupé, en mai dernier à Rome, les ministres de l’Intérieur de l’Algérie, de l’Italie, de la Tunisie et de la Libye.

La rencontre a aussi été l’occasion de valoriser la coopération actuelle entre l’Algérie et l’Italie, notamment entre les académies de police des deux pays, outre l’échange d’expertises, la formation dans le domaine de la Protection civile et la prévention des risques majeurs.

Au terme de cette rencontre, les deux parties sont convenues de poursuivre et d’intensifier la coopération pour englober les différents domaines, suivant la vision adoptée par les présidents des deux pays.

APS

Boughali préside une réunion préparatoire pour participer aux travaux de la 4e commission de l’ONU

Boughali préside une réunion préparatoire pour participer aux travaux de la 4e commission de l’ONU

ALGER-Le président l’Assemblée populaire nationale (APN), Brahim Boughali a présidé, jeudi, une réunion de coordination consacrée à l’examen des derniers préparatifs relatifs à la participation d’une délégation de l’Assemblée aux travaux de la 4e réunion annuelle de la commission permanente de l’ONU chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation, prévus du 7 au 14 octobre courant au siège de l’ONU à New York, a indiqué vendredi un communiqué de la Chambre basse.

A l’entame de la réunion, M. Boughali a salué la résolution adoptée par la commission lors de sa précédente réunion annuelle qui « réaffirme le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination conformément aux principes et résolutions des Nations Unies », mettant en avant « la constance des positions de l’ONU, de ses organes et de ses instances concernant la question du Sahara Occidental en tant que question de décolonisation ».

Boughali s’est dit « satisfait de la forte présence de cette Commission lors des délibérations générales de l’Assemblée générale de l’ONU, où plusieurs chefs d’Etat et de Gouvernement expriment le soutien absolu de leurs pays au droit du peuple sahraoui à l’autodétermination, et à décoloniser la dernière colonie en Afrique ».

A cette occasion, le président de l’APN a rappelé « le tournant décisif que traverse la question sahraouie et la lutte légitime du peuple sahraoui pour recouvrer sa liberté et son indépendance, sans chantage ni restrictions aucune », se disant « convaincu que toutes les tentatives de l’occupant marocain visant à influencer la communauté internationale et à priver ce peuple de son droit historique à l’autodétermination, par l’achat de consciences, les mensonges et les désinformation, seront vouées à l’échec ».

APS

Au 2e jour de sa visite en Italie: le Général d’Armée Saïd Chanegriha visite le monument historique « Autel de La Patrie »

Au 2e jour de sa visite en Italie: le Général d’Armée Saïd Chanegriha visite le monument historique « Autel de La Patrie »

ALGER- Le Général d’Armée, Saïd Chanegriha, Chef d’Etat-Major de l’Armée nationale populaire (ANP), a visité mercredi à Rome, le monument historique « Autel de La Patrie à Rome » où il a déposé une gerbe de fleurs devant le Mémorial du « Soldat inconnu », au deuxième jour de sa visite officielle en Italie, indique un communiqué du ministère de la défense nationale (MDN).

« Au deuxième jour de sa visite officielle en Italie, sur invitation de son homologue italien l’Amiral Giuseppe Cavo Dragone, Chef d’Etat-Major de la Défense italien, Monsieur le Général d’Armée Saïd Chanegriha, Chef d’Etat-Major de l’Armée nationale populaire (ANP), a visité aujourd’hui, mercredi 2 octobre 2024, le monument historique Autel de La Patrie à Rome où il a déposé une gerbe de fleurs devant le Mémorial du Soldat inconnu », précise la même source.

Par la suite, le Général d’Armée s’est rendu au siège de l’Etat-major de la Défense italien, où il a été accueilli par l’Amiral Giuseppe Cavo Dragone. La cérémonie d’accueil a été entamée par l’interprétation des hymnes nationaux des deux pays, suivie du salut militaire présenté par une formation militaire à l’entrée du siège de l’Etat-Major de la Défense italien.

Ensuite, le Général d’Armée « s’est longuement entretenu avec l’Amiral Giuseppe Cavo Dragone », note le communiqué, ajoutant que les deux parties ont évoqué « l’état de la coopération entre les Armées des deux pays et ont échangé les points de vue sur les questions internationales et régionales actuelles ».

Le Général d’Armée a fait part à son hôte de « ses remerciements et de sa gratitude pour l’invitation qui lui a été adressée pour visiter l’Italie, tout en souhaitant que cette visite soit une étape de plus sur la voie de la consolidation des relations militaires bilatérales ».

Le Général d’Armée a également « exprimé sa satisfaction quant à la qualité de la coopération militaire algéro-italienne et de sa profonde confiance en la disposition des deux parties à concrétiser la volonté commune des dirigeants des deux pays pour l’édification d’un partenariat stratégique global, contribuant à promouvoir la sécurité et la stabilité dans la région », note le communiqué du MDN, relevant que les discussions ont ensuite été élargies aux délégations militaires des deux pays.

A l’issue de cette rencontre, les deux parties ont échangé des présents symboliques, avant que le Général d’Armée ne procède à la signature du Livre d’or de l’Etat-Major de Défense italien.

Dans l’après-midi, le Général d’Armée s’est entretenu avec le Général de Corps d’Armée Luciano Portolano, Secrétaire général, Directeur national de l’Armement au ministère de la Défense italien, ajoute la même source.

Lors de cette rencontre, le Général d’Armée a réitéré « sa profonde gratitude pour l’accueil chaleureux qui lui a été réservé, ainsi qu’à la délégation qui l’accompagne et sa totale confiance en la capacité des deux parties, notamment grâce à leurs potentialités considérables, à élaborer une vision commune pour faire face aux défis sécuritaires actuels ».

Ensuite, le Général d’Armée s’est rendu au siège du Commandement opérationnel interarmées, où il a tenu une rencontre axée sur « les activités de coopération bilatérale et les moyens de les renforcer davantage, au service de la paix et de la sécurité dans le Bassin occidental de la Méditerranée en particulier et dans le monde en général ».

Dans ce contexte, le Général d’Armée a salué « la qualité des relations bilatérales et a exprimé son souhait de les voir se renforcer et s’élargir à de nouveaux domaines d’intérêt commun ».

Cette deuxième journée de visite s’est achevée par une réunion élargie aux délégations des deux pays et une visite du Général d’Armée au siège du Commandement opérationnel interarmées, où « d’amples explications lui ont été présentées sur les composantes et les missions opérationnelles de ce commandement », conclut le communiqué du MDN.

APS

Représentant le président de la République, Boughali participe à la cérémonie d’investiture de la nouvelle présidente du Mexique

Représentant le président de la République, Boughali participe à la cérémonie d’investiture de la nouvelle présidente du Mexique

ALGER – Représentant le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, le président de l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Brahim Boughali, a participé à Mexico à la cérémonie d’investiture de la nouvelle présidente du Mexique, Mme Claudia Sheinbaum Pardo, a indiqué mercredi un communiqué de la chambre basse du Parlement.

Lors de la cérémonie d’investiture, qui s’est déroulée mardi à la chambre des députés, « la présidente de la chambre, Mme Ifigenia Martinez, a remis à la nouvelle présidente l’écharpe présidentielle du président sortant, M. Lopez Obrador », a précisé le communiqué.

En marge de sa participation à la cérémonie d’investiture, le président de l’APN a déposé une gerbe de fleurs devant la statue de l’Emir Abdelkader dans la capitale mexicaine.

Lors de cet hommage, M. Boughali était accompagné de l’ambassadeur d’Algérie au Mexique et du représentant du ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, selon le communiqué, qui précise que plusieurs membres de la communauté nationale établie au Mexique l’attendaient devant la statue.

APS