Le ministre des Moudjahidine et des Ayants-droit, Abdelmalek Tacherift a affirmé, lundi à Alger, que les crimes coloniaux commis contre l’Algérie et l’Afrique, y compris environnementaux, sont « imprescriptibles » et « inoubliables », indiquant que la reconnaissance de ces crimes constitue « une condition sine qua non pour rendre justice et garantir l’équité ».