ALGER – Le Premier ministre, M. Aïmene Benabderrahmane a réitéré, mardi, l’engagement du gouvernement à œuvrer pour la réalisation des aspirations des citoyens à l’édification d’une « Algérie forte, source de fierté pour tous ses enfants ».

Présentant la Déclaration de politique générale du Gouvernement devant les membres du Conseil de la nation, lors d’une plénière présidée par Salah Goudjil, président de la chambre haute du parlement, le Premier ministre a souligné « la détermination du gouvernement qui œuvre en permanence à la réalisation des aspirations des citoyens désirant édifier une Algérie forte, source de fierté pour tous ses enfants ».

M. Benabderrahmane a indiqué que « les objectifs étudiés du gouvernement qui figurent dans la Déclaration de politique générale, sont inspirés des engagements du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, et s’inscrivent dans le cadre du plan d’action du gouvernement visant à réaliser un programme de développement qui puisse améliorer le niveau de vie du citoyen ».

Le Premier ministre a évoqué de nombreuses données relatives à la concrétisation des actions engagées par les différents secteurs, ainsi que le bilan des réalisations du gouvernement depuis l’adoption de son plan d’action en septembre 2021.

Il a souligné que le travail gouvernemental durant la période écoulée s’était axé sur « le dialogue et la concertation avec tous les acteurs économiques et les partenaires sociaux afin de construire l’Algérie nouvelle à travers une vision claire des grandes réformes dont le succès est basé sur la mobilisation de toutes les forces vives dans le pays ».

« En dépit de la situation difficile que notre pays a connue du fait des répercussions du contexte économique et géopolitique international, la détermination de l’Etat à préserver son caractère social n’a pas été ébranlée, un caractère qualifié par le Président de la République de doctrine ancrée ».

Autre aspect abordé par le Premier ministre, celui du renforcement de l’exercice des droits et des libertés, affirmant que le gouvernement « œuvrait à modifier la loi relative à l’exercice de l’action syndicale, et a entamé une opération de réforme globale visant le renforcement des libertés syndicales et des mécanismes de résolution des conflits dans les relations de travail ».

Il a aussi évoqué la moralisation de la vie publique, estimant que cette question « revête une importance particulière dans le plan d’action du gouvernement, étant l’un des principaux facteurs pour restaurer la confiance entre les composantes de la société, notamment entre le citoyen et les institutions de l’Etat ».

APS