ALGER- Le ministre de la Communication, Mohamed Bouslimani a affirmé, lundi à Alger, que la formation constituait un axe principal dans la stratégie du secteur, car permettant d’assurer au journaliste les qualifications requises pour faire face aux fausses informations (fake news) et fournir une information juste et sûre au citoyen.

« La formation est un axe principal dans notre stratégie, car permettant d’assurer au journaliste les qualifications requises pour faire face aux fausses informations et fournir une information juste et sûre au citoyen », a déclaré M. Bouslimani qui a donné le coup d’envoi d’une Journée de formation au profit de la famille de la presse sur les grands axes de la politique adoptée par le secteur de la solidarité nationale dans la prise en charge des catégories vulnérables, accompagné de la ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Kaoutar Krikou.

Le ministère de la Communication a lancé récemment un programme de formation sur la communication institutionnelle, destiné dans un premier temps aux régions Est et Sud du pays, et qui sera élargi prochainement aux autres régions, a rappelé le ministre, ajoutant que ce programme vise essentiellement à « dynamiser et développer le rôle des cellules de communication et des journalistes, aux plans central et local, pour accompagner la politique de l’Etat dans la prise en charge des préoccupations des citoyens et l’amélioration de leur cadre de vie.

Concernant cette journée de formation, M. Bouslimani a précisé que « cette initiative, qui consacre l’approche de la coordination et de la complémentarité sectorielle, s’inscrit en droite ligne avec la stratégie du secteur de la communication basée sur l’appui de l’action participative, pour atteindre les objectifs de l’Algérie nouvelle, avec la contribution des compétences nationales dans différentes spécialités ».

 

 

La famille de la presse constitue l’un des principaux acteurs devant promouvoir et mettre en exergue ces objectifs aux plans interne et externe, ce qui nécessite, a-t-il dit, d’assurer continuellement aux journalistes une formation actualisée adaptée aux mutations enregistrées au sein de la société et à travers le monde, notamment à la lumière de la révolution technologique de l’information et de la communication.

Il a fait savoir que la participation de son département à cette initiative « s’inscrit dans le cadre de la mise en place de la presse spécialisée », appelant les différents secteurs à « y adhérer, notamment à travers l’organisation de sessions de formation au profit des journalistes ».

APS