L’Algérie a contribué à prêter main forte aux pays frères et amis affectés par les effets de la crise sanitaire

BAKOU – Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune a affirmé dans une allocution, jeudi à Bakou (Azerbaïdjan), lors de la réunion au Sommet du groupe de contact du Mouvement des Non-alignés (MNA), que l’Algérie avait contribué à prêter main forte aux pays frères et amis affectés par les effets de la crise sanitaire induite par la pandémie de Covid-19.

Dans son allocution, lue en son nom par le Premier ministre, M. Aïmene Benabderrahmane, le président de la République a indiqué que l’Algérie « n’a eu de cesse de prêter main forte aux pays frères et amis affectés par les effets de la crise sanitaire induite par la pandémie de Covid-19, et de plaider en faveur de la consécration du principe d’égalité d’accès aux vaccins, notamment au profit des pays en voie de développement ».

Dès le début de la crise sanitaire liée au Covid-19, l’Algérie « a plaidé en faveur de la consécration du principe d’égalité d’accès des pays aux vaccins, notamment les pays en voie de développement, quel que soit leur niveau de développement économique et technologique, afin de leur permettre de jouir de leur droit aux soins de santé adéquats et indispensables et d’atteindre les objectifs du développement durable », a-t-il soutenu.

Outre la contribution financière apportée au Fonds des Nations unies pour la riposte à la Covid-19, l’Algérie « a appelé les institutions financières internationales à desserrer l’étau sur les pays en voie de développement, en adoptant une série d’initiatives qui prévoient, entre autres, leur désendettement et l’accompagnement de leurs politiques nationales post Covid-19 ».

Les travaux de la réunion au Sommet du groupe de contact du MNA sur la reprise et la relance mondiale post Covid-19 se sont ouverts jeudi à Bakou (Azerbaïdjan), avec la participation du Premier ministre, M. Aïmene Benabderrahmane, en qualité de représentant du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune.

APS

APN: examen des amendements proposés au projet de loi sur l’exercice du droit syndical

 

ALGER – Le président de l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Brahim Boughali a présidé, mercredi, une réunion du bureau de l’APN, lors de laquelle il a examiné les amendements proposés au projet de loi relatif à l’exercice du droit syndical et les a soumis à la commission spécialisée, a indiqué un communiqué de la chambre basse du parlement.

A l’entame de la réunion, les membres du bureau se sont félicités du « grand succès de la Réunion de l’appel du Sahel », organisée par l’APN, les 26 et 27 février au Centre international de conférences (CIC) « Abdelatif-Rahal », saluant ses résultats qui « montrent de nouveau la valeur ajoutée de la diplomatie parlementaire qui avance sur les pas de la diplomatie algérienne active et influente, sous la conduite éclairée du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune ».

Après avoir examiné les amendements proposés au projet de loi relatif à l’exercice du droit syndical qui ont été soumis à la commission spécialisée, le bureau a modifié le calendrier des activités de l’APN pour la prochaine période, en programmant une séance plénière le samedi 04 mars 2023, consacrée à la poursuite du débat général dudit projet de loi et à la réponse du représentant du Gouvernement aux préoccupations des députés.

Une autre séance plénière a été également programmée le mardi 07 mars 2023, consacrée au vote du projet de loi organique amendant et complétant la loi organique n 16-12 du 25 août 2016 fixant l’organisation et le fonctionnement de l’Assemblée populaire nationale (APN) et du Conseil de la nation ainsi que les relations fonctionnelles entre les chambres du parlement et du gouvernement, du projet de loi portant règlement budgétaire pour l’exercice 2020 et le projet de loi relatif à l’exercice du droit syndical.

APS

Numérisation: un programme à part entière et non pas un slogan de circonstance

ALGER – La numérisation et à l’instar de nombreux dossiers à dimension stratégique figurant dans le programme du Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune est loin d’être un slogan conjoncturel comme se plaisent à le prétendre les partisans de la banalisation.
Erigée en politique d’Etat par le président de la République, la numérisation est un programme complet et intégré, placé au cœur de ses 54 engagements pour servir le citoyen et assurer son bien-être, tout en promouvant l’économie nationale vers davantage de progrès et de résilience.

L’intérêt accordé par le Président de la République à chaque fois qu’il évoque la numérisation dans ses sorties médiatiques où il s’adresse aux Algériennes et aux Algériens, émane de sa profonde conviction quant à l’importance de ce dossier vital dans l’accompagnement des efforts de l’Etat pour la relance de tous les secteurs, notamment stratégiques, sur la bonne voie qu’emprunte l’Algérie nouvelle, une voie sûre dont les repères résistent à toute épreuve.

Le Président de la République avance, à chaque occasion, plus d’une preuve que la numérisation dépasse son concept classique (transformer les informations en données numériques) pour s’ériger en outil stratégique exploité par l’Etat dans les politiques de développement, sur une scène politique et économique marquée essentiellement par une dynamique et une précision en matière de mise en œuvre.

La numérisation est l’ennemi juré de la bureaucratie, c’est le salut face aux mentalités de tergiversations et des chiffres approximatifs que certains responsables et gestionnaires ont pris l’habitude de consacrer soit par manque de compétence, devenu, dans plusieurs cas, une véritable entrave au développement, ou par résistance à un grand projet, à savoir la transparence.

Tout lecteur avisé des discours du Président de la République ou de ses orientations lors des réunions du Conseil des ministres, constatera que la numérisation, placée au cœur de la bataille de l’affranchissement de l’Administration et du citoyen de la Bureaucratie, est en réalité un des leviers de l’Algérie nouvelle, dont les fondements ont été jetés par le Président de la République dans ses 54 engagements qu’il œuvre à consacrer sans relâche pour les promouvoir de l’état de programme à celui de culture de société.

La numérisation telle que la conçoit le Président de la République est un programme à part entière, et un pivot du processus de moralisation de la vie politique et publique, et du renforcement de la bonne gouvernance. La légifération et le contrôle ne sauraient porter leurs fruits s’ils ne sont pas sous-tendus par la transition numérique, de même que la guerre contre la corruption, le clientélisme et le népotisme est vaine en l’absence de l’arme de la numérisation.
La mise en place de mécanismes de probité, de sérieux, de précision, d’objectivité et de transparence dans la gestion des affaires et des deniers publics ne saurait aboutir en l’absence de la numérisation dans sa conception globale, en ce sens que les décisions efficaces, sont d’autant plus honnêtes, lorsqu’elles sont appuyées par la numérisation qui permet d’atteindre tous les objectifs escomptés.

APS

Le ministère de la Culture et des Arts lance le concours du meilleur poème en éloge au Prophète Mohamed

ALGER- Le ministère de la Culture et des Arts a annoncé, mercredi à Alger, le lancement d’un concours national du meilleur poème en éloge au Prophète Mohamed (QLSSSL), en coopération avec l’Etablissement public de télévision (EPTV), indique un communiqué du ministère.

Le concours national est ouvert à tous les poètes algériens du « Fasih » et du « Malhoune », à condition que le poème soit inédit et composé exclusivement à l’occasion du concours.

Après les présélections, les poètes concourront pour le grand Prix dans chaque genre (Fasih et Malhoune) et les prix seront distribués aux lauréats à la fin du mois de Ramadhan.

Le jury de ce Prix composé de poètes et d’académiciens, peut proposer des prix supplémentaires ou d’encouragement.

Les œuvres des candidats sont déposées au ministère de la Culture et des Arts (Alger) ou envoyées via email à: kassida-mohamadia@m-culture.gov.dz avant le 15 mars.

APS

Protection civile: plus de 1,119 million d’interventions enregistrées en 2022

TIPASA – Plus de 1.119 million d’interventions ont été enregistrées par la Direction générale de la protection civile (DGPC) au cours de l’année dernière (2022), a révélé, mercredi à Tipasa, le directeur des statistiques et de l’information auprès de la Direction générale de ce corps constitué, le colonel Farouk Achour.

« Nous avons enregistré plus de 1,119 million d’interventions en 2022, soit une moyenne d’une intervention toutes les 38 secondes », a indiqué le colonel Achour dans une déclaration à la presse, en marge de la célébration de la Journée mondiale de la protection civile à Tipasa, estimant que ce bilan traduit le « travail colossal » effectué quotidiennement par les agents de la protection civile à travers le pays.

Au volet des accidents domestiques, notamment les intoxications au monoxyde de carbone, le même responsable a réitéré « l’importance » de la sensibilisation, assurant qu’un taux de 60% de ces accidents pourrait être évité, si les différents programmes de sensibilisation étaient pris en considération, dont notamment le programme « Un secouriste dans chaque famille ».

Sur un autre plan, le colonel Achour Farouk a évoqué les actions entreprises, annuellement, par la DGPC « pour développer et moderniser ses performances et améliorer ses moyens de travail, en s’appuyant davantage sur les nouvelles technologies ».

Cette année, le thème retenu par l’Organisation internationale de la protection civile pour célébrer cette Journée mondiale (1er mars) est « Rôle des technologies de l’information dans l’évaluation des risques », selon le même responsable.

Il a signalé la mise en service, l’année dernière, par la DGPC, de plusieurs applications technologiques d’évaluation des risques, dans le cadre de la lutte contre les risques majeurs et les accidents domestiques, dont le « plan de wilaya d’identification des risques pour déterminer leur ampleur au niveau de chaque wilaya, en perspective d’une réponse adaptée. »

Les actions à anticiper englobent plusieurs volets, dont la sensibilisation et le volet opérationnel dans son axe lié à la formation spécialisée des agents, outre l’axe relatif au renforcement des unités d’intervention en moyens de travail développés, leur formation à leur usage et leur conformité aux normes internationales en vigueur.

La Direction générale de la protection civile œuvre, grâce à ces programmes, à consacrer l’un de ses « objectif prioritaire », représenté par « la réduction du délai des interventions à une moyenne de 10 mn, entre le signalement de l’accident et la dispense des premiers secours », qui est la  » norme mondiale  » en la matière, selon le colonel Achour.

Parallèlement à ces efforts, le responsable a souligné l' »importance de la formation » à travers la création d’équipes de secours spécialisées, qualifiées pour intervenir dans des zones difficiles et accidentées, et dont les compétences constitueront une « valeur ajoutée » lors de différentes catastrophes et accidents.

Outre l’action humanitaire, la protection civile est dotée d’un rôle avéré dans l’action préventive. En 2022, ce corps a assuré 18.000 opérations d’accompagnement de projets d’investissement, ayant englobé notamment des établissements accueillant du public, des établissements classés et des immeubles d’habitation.

A noter que les autorités locales ont présidé, au siège de la direction de la protection civile de la wilaya, les festivités officielles de la Journée mondiale de la protection civile. Il a été, notamment, procédé à la remise de grades à 34 employés ayant bénéficié de promotions, dont 4 femmes, tandis que 13 parmi eux ont été promus au grade d’officiers supérieurs.

Ces festivités ont, également, englobé l’organisation d’exercices et d’exhibitions, représentés, entre autres, par l’extinction d’un incendie et le sauvetage de blessés.

L’opportunité a, aussi, donné lieu à la tenue d’une exposition sur les activités des unités de la protection civile, au nombre de 21 actuellement à Tipasa, dont 3 unités marines, contre seulement quatre (4) unités en 2000, selon les chiffres fournis sur place.

APS