Introduire des spécialités adaptées aux enjeux de la sécurité alimentaire, hydrique et énergétique

SAIDA – Le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels Yacine Merabi a insisté lundi à Saida sur l’introduction de nouvelles spécialités de formation adaptées aux enjeux de la sécurité alimentaire, hydrique et énergétique.

Dans une déclaration à la presse, le ministre a indiqué que dans sa stratégie, le secteur de la formation et de l’enseignement professionnels repose sur l’introduction de nouvelles spécialités de formation conformes aux enjeux de la sécurité alimentaire, de l’eau et énergétique en application des instructions du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune.

M. Merabi a souligné que son département ministériel accorde une importance au domaine de dessalement de l’eau de mer, signalant qu’il a été procédé, dans ce cadre, à l’ouverture de plusieurs nouvelles spécialités en métiers de l’eau dans des établissements de formation.

Il a affirmé, dans ce contexte, la détermination du ministère à généraliser cette spécialité couronnée par un diplôme de technicien supérieur à la session de septembre 2023 aux zones côtières.

Par ailleurs, le ministre a appelé tous les directeurs d’établissements de formation du pays à signer des conventions de partenariat avec des partenaires économiques à partir de l’actuelle rentrée de formation.

Dans ce cadre, il a insisté sur l’effort continu en coordination avec les entreprises économiques dans le domaine de l’apprentissage, pour parapher des accords visant à intégrer de nombreux apprentis et diplômés du secteur de la formation et de l’enseignement professionnels.

Yacine Merabi a présidé, à l’Institut national spécialisé dans la formation professionnelle « Amara Kada » de Saïda, l’ouverture des travaux d’une journée d’étude sur « les grandes cultures » (céréales), organisée par le même établissement.

Le ministre a indiqué, dans une allocution pour la circonstance, que le thème de cette rencontre s’inscrit dans le cadre de la stratégie nationale de développement du secteur agricole pour garantir l’autosuffisance.

Au centre de formation professionnelle et d’apprentissage (CFPA) « chahida Grina Badra » au chef-lieu de wilaya, il a présidé la cérémonie de signature de quatre conventions de partenariat entre le secteur et les communes de Tircine, Saida, Ouled Brahim, Youb, et celle relative à la formation préparatoire au profit du personnel des collectivités locales du grade d’agent administratif.

Dans la commune d’Ain Lahdjar, M. Merabi inauguré le nouveau bloc pédagogique du CFPA « Chadli Bendahmane » dans le cadre de l’extension de cette structure.

APS

Des instructions pour mettre en place une nouvelle stratégie pour l’ONDA

ALGER – La ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji a donné, dimanche à Alger, des instructions à l’effet de mettre en place « une nouvelle stratégie » pour l’Office national des droits d’auteur et droits voisins (ONDA) et définir les priorités et les dossiers à traiter avec célérité, indique un communiqué du ministère.

Ces instructions ont pour objectif de « garantir la qualité des services » ce qui permettra d’améliorer le statut des artistes et des auteurs en Algérie, lit-on dans le communiqué.

La ministre a mis l’accent sur la nécessité de « recourir à la numérisation de toutes les opérations de l’ONDA avec son environnement interne et externe en vue de rapprocher l’administration du citoyen ».

Mme Mouloudji a tenu une séance de travail à l’ONDA en présence de son directeur général et des cadres de l’Office où elle a écouté un exposé sur cette instance à l’occasion du cinquantenaire de sa création. La rencontre qui a porté sur plusieurs points a été sanctionnée par une série de mesures et de recommandations dont « la nécessité de faciliter les opérations avec les membres et d’éviter la bureaucratie à travers l’activation de la déclaration électronique ».

La création d’une confédération africaine des droits d’auteur regroupant les différents organes du continent, la création de portails de l’ONDA avec la communauté nationale à l’étranger et l’étude de faisabilité de la création d’un centre médico-social au profit des membres adhérents ont été proposées lors de cette rencontre.

Les conclusions ont porté également sur la création d’une nouvelle direction dans le sud du pays et d’une académie algérienne des droits d’auteur, l’introduction du bureau régional de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) en Algérie en tant que partenaire exceptionnel et le lancement d’une étude prospective régionale pour déterminer de nouvelles sources de recouvrement.

Les participants à la rencontre ont également appelé à la mise en place d’un plan d’action intégré reposant sur les données des autorités locales et du Centre national du registre du commerce (CNRC), pour augmenter les recettes de l’Office, outre le lancement de campagnes de sensibilisation au profit des exploitants publics sur l’importance de leur contribution au respect des droits d’auteur et droits voisins.

Parmi ces conclusions également figurent la recherche de nouvelles sources de financement à travers la mise en place de mécanismes et de procédures qui obligent les exploitants à honorer leurs engagements, et la mise en place d’un programme numérique pour le suivi de l’usage des œuvres et ouvrages, outre la mise en place d’une liste d’experts algériens dans le domaine des droits d’auteur en les proposant en tant que formateurs au niveau de la Confédération internationale des sociétés d’auteurs et compositeurs (Cisac), de l’OMPI et des organisations des droits d’auteur dans les pays amis de l’Algérie.

APS

Colloque sur le civisme: valorisation des options de l’Algérie pour moraliser la vie publique

ORAN – Les participants au colloque international intitulé « Civisme, conscience, action, coexistence » ont valorisé lundi à Oran les options de l’Algérie relatives à la moralisation de la vie publique.

Dans un communiqué final sanctionnant les travaux du colloque, ils ont salué les efforts de l’Algérie de consacrer la gouvernance, l’Etat de droit et le respect des règles qui régissent la société, préservent les potentialités de la nation et son statut, et répondent aux aspirations de la population.

Les participants à cette rencontre ont remercié le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, pour son généreux parrainage du colloque, souhaitant à l’Algérie et aux pays de la nation musulmane le progrès, la civilisation, la sécurité et la paix.

Ils ont, à cette occasion, lancé un appel aux institutions chargées de la vie publique à élever le comportement social à des niveaux civilisés qui servent l’intérêt public.

Les instances religieuses ont été, pour leur part, appelées à activer pour acquérir les compétences pour s’adapter à l’évolution de la vie publique, tandis que les organes médiatiques en général et électroniques et virtuelles en particulier ont été invités à faire preuve d’une grande responsabilité envers l’opinion publique et la société.

Le communiqué final incite aussi les instances culturelles et sportives à accorder toute l’attention aux activités ayant un rôle majeur dans la formation de l’être humain et de son comportement.

Un appel a été lancé également aux instances scientifiques et aux laboratoires de recherche pour « concentrer les efforts de recherche sur les profondes mutations que connaissent actuellement les sociétés et œuvrer à trouver des solutions appropriées aux problèmes qui en découlent ».

Le communiqué appelle aussi les acteurs de la société civile et les forces vives à « fournir davantage d’efforts pour contribuer à la valorisation des tendances positives de la société et leur promotion à travers des programmes et des projets spécifiques qui répondent aux aspirations de la société ».

En outre, les participants appellent les établissements éducatifs à interagir avec les méthodes pédagogiques modernes et à fournir plus d’efforts pour éduquer les nouvelles générations sur les comportements civilisés souhaités, insistant également sur « l’achèvement de projets et d’institutions œuvrant dans le sens de l’orientation de l’opinion publique et de la création de programmes et d’espaces qui tendent vers l’amélioration du comportement des citoyens à des niveaux civilisés recommandés par notre religion ».

Le colloque international intitulé « Civisme, conscience, action, coexistence » a été organisée trois jours durant par le Haut conseil islamique (HCI), avec la participation de représentants d’organismes et d’institutions religieuses de plusieurs pays du monde, en plus d’enseignants et chercheurs d’universités algériennes et arabes.

APS

Football-Evocation: il y a 78 ans naissait le Raed de Kouba

ALGER – Là-haut sur la colline où domine la Koubba (dôme) d’une mosquée construite en 1545 par le Dey d’Alger Hadj Pacha pendant la régence turque il n’y a pas un  »afficionado » du beau football à Alger qui ne connait pas l’émouvante histoire du club local, le RC Kouba, qui fête mardi sa naissance, le 28 février 1945.

C’est de cette Koubba qui domine la grandiose baie d’Alger qu’est né le nom de ce quartier qui va devenir durant la colonisation le fief et le quartier général d’un nouveau club musulman, le Raed de Kouba, dont les statuts ont été déposés un certain 28 février 1945 auprès de la préfecture d’Alger. Un club sportif dont les statuts ne sont plus ceux de la loi française de 1901 sur les associations. Le RCK vient dès lors renforcer les rangs des clubs musulmans des trois ligues de football mises en place par les autorités sportives coloniales : la ligue algéroise de football association (LAFA), la ligue oranaise de football association (LOFA) et la ligue constantinoise de football association (LCFA).

Après donc le MC Alger, l’USM Oran, le CS Constantine, l’Espérance de Guelma, l’USMBlida, l’USMMC (El Harrach), l’USM Alger, et tant d’autres clubs nés dans la douleur entre 1921 et 1945, mais en dépit des entraves de l’administration coloniale qui imposait aux formations musulmanes d’incorporer trois joueurs et un administratif européens, le RCK, avec ses couleurs  »vert et blanc » venait illuminer de nouveau le ciel de l’Algérie avec un nouveau club musulman pour porter haut la voix de l’Algérie combattante, qui, dix ans après, va exploser avec le début de la Guerre de libération.

A l’approche de la fin de la Seconde guerre mondiale, et dans la foulée du mouvement populaire en faveur de la cause algérienne contre le colonialisme français, et sur les conseils du parti du Peuple (PPA), le club RC Kouba est créé, le 28 février 1945 dans le quartier Oued Kniss, l’idée de création du club ayant germé en 1942. A l’origine de cette création, figurent d’éminentes personnalités du quartier de cette époque dont le premier président, Mustapha Ben Ouniche, président d’honneur à vie (2e président de la FAF, 1962-1969) et le Chahid Mohamed Benhaddad dont le nom a été attribué au stade communal de Kouba.

 

RCK, la  »Madrassa »

 

Au lendemain de l’indépendance, le RCK a accédé en première division, après le Critérium des années 1962-1964, dès la quatrième saison en 1965-1966, avec un effectif comprenant notamment la légende du club, le redoutable ailier-gauche Boualem Amirouche, qui a inscrit 40 buts lors de la saison de l’accession. Une équipe de charme alors renforcée par le célèbre défenseur central de l’équipe du FLN, Mustapha Zitouni. Cette même équipe a animé la finale de la coupe d’Algérie en 1966 contre le CR Belcourt de Hacène Lalmas (défaite 3-1).

Le RCK s’est également distingué, en 1964, en créant la première école de football dirigée alors par Mustapha Al Kamal. Cette école a formé une multitude joueurs racés pour le football algérien, avec plus de 120 éléments pour les sélections algériennes des différentes catégories. Certains se sont illustrés au niveau africain, voire mondial, à l’instar du virevoltant attaquant Salah Assad, connu pour son célèbre « Ghoraf ».

A partir de 1974, et grâce à une nouvelle génération de joueurs talentueux, issus de différents quartiers de cette exubérante banlieue algéroise, et formés par le Raed, le club est passé à une étape supérieure, avec une équipe légendaire qui a marqué les annales du football national, grâce à son beau jeu, mais aussi grâce à des valeurs nobles du sport comme le respect de l’adversaire, et le fair-play. La réforme sportive de 1977 a fait le reste.

Ce nouveau groupe de joueurs était mené par le maître à jouer du RCK, Boualem Amirouche, épaulé par un extraordinaire quatuor d’internationaux : Abdelaziz Sefsafi, Mokhtar Kaoua, Hocine Boumaâraf et le gardien Ilyès Teldja, tous médaillés d’or aux Jeux Méditerranéens de 1975 à Alger. Ils avaient raté d’un cheveu le titre de champion d’Algérie pendant la saison 1974-1975, ayant terminé à la seconde place, à un point du mythique Mouloudia d’Alger des années 1970.

Un groupe solide, qui s’est renforcé au fil du temps par d’autres joueurs talentueux, comme Mohamed Kaci-Saïd, Mohamed Chaïb, Rachid Sebbar, Youcef Kaboul et bien d’autre encore, jusqu’à remporter le championnat de la saison 1980-1981.

Un groupe qui, dans la foulée, a confirmé que cet exploit n’était pas le fruit du hasard mais celui du travail et de l’amour des couleurs du club, en remportant la première édition de la Supercoupe d’Algérie, les deux seuls titres majeurs du palmarès du Raed.

Mohamed Chaïb, le capitaine de la sélection nationale « juniors » au Mondial de 1979 dira : » Quand je repense à l’âge d’or du Raed, je suis pris d’une profonde déception en voyant sa situation actuelle. Notre équipe mérite un bien meilleur sort que celui qui est le sien actuellement, car elle a rendu de grands services au sport national par le passé, et au football en particulier ».

Le RCK, de l’avis de tous les observateurs sportifs, était la  »madrassa » (école) du football à Alger.

Mais, comme cette comédie tragique d’Ernest Hemingway (Pour qui sonne le glas), les valeurs nobles qui ont permis au Raed d’atteindre les sommets ont fini par se perdre avec le temps, et les choses n’ont fait qu’empirer à partir de la saison 2008-2009, lorsque le club a été privé d’accession en Première division, suite à un rocambolesque scénario qui a mené le club au bord du lac Léman avec des réserves déposées sur le bureau du Tribunal Arbitral du Sport (TAS).

« Le RCK est réputé pour être un club formateur et c’est là une caractéristique qu’il faut raviver, en s’occupant un peu plus des enfants du cru », se plait-on à affirmer dans l’entourage du club, qui semble avoir mis de côté ses ambitions d’accession de débuts de saison en Ligue1 Mobilis.

Chez les gens d’El Koubba comme pour les dirigeants du RCK, c’est plus le chant du Cygne pour des espoirs d’accession douchés par une situation interne anachronique, que le printemps annonciateur de la fin de la période de disette de la fameuse  »Madrassa koubéenne » du football.

APS

Réunion « L’Appel du Sahel »: Appel à l’élaboration d’un plan d’action inclusif de lutte contre l’extrémisme violent

ALGER – Les travaux de la 2e réunion de la série de réunions « L’Appel du Sahel » ont pris fin, lundi à Alger, avec la promulgation d’un Communiqué final appelant à élaborer un plan d’action exhaustif de lutte contre l’extrémisme violent, avec la participation des structures centrales et locales, des institutions religieuses, des médias et de la société civile.

Dans le communiqué final de la 2e réunion d’Alger sur « L’appel en faveur du Sahel », placée sous le thème « Implication des sociétés dans la prévention de l’extrémisme violent et prise en charge des facteurs nourrissant le terrorisme », les participants ont salué la contribution valeureuse du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune « à travers son rôle de leader dans l’Union africaine (UA) en matière de lutte contre le terrorisme et dans le cadre de la stratégie de l’ONU de lutte antiterroriste de 2006 ».

Dans le communiqué final, l’accent a été mis sur l’importance d’élaborer un plan d’action exhaustif de lutte contre l’extrémisme violent avec la participation des structures centrales et locales, des institutions religieuses, des médias et de la société civile, notamment en ce qui concerne les femmes et les jeunes pour renforcer les efforts de prévention contre ce fléau.

« Les parlements encouragent la demande de l’aide technique auprès de l’UIP et de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC), pour pallier les vides dans leurs législations nationales, notamment en ce qui a trait à l’adaptation des dispositions au cadre juridique international en termes de lutte antiterroriste, mais aussi aux dernières résolutions du Conseil de sécurité onusien, lit-on dans le Communiqué final lu par le membre du Groupe consultatif de haut niveau sur la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent à l’Union interparlementaire (UIP), Moundir Bouden.

Dans ce contexte, les participants ont salué « les contributions de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC), à travers des programmes traitant des points faibles bien définis, qui nous rendent vulnérables face au terrorisme et affectent la réponse efficace des systèmes de justice pénale dans ces pays ».

Les participants ont réitéré leur engagement à tirer avantage de leurs postes de responsabilité et de leur représentation pour atteindre de nombreux objectifs, notamment le renforcement du dialogue au sein de la société et entre les sociétés afin de créer un climat de confiance, de communication, de coordination et du vivre ensemble en paix.

Ils ont également appelé à la nécessité de « renforcer les capacités des leaders de la société et des acteurs de la société civile pour prévenir l’extrémisme violent et lutter contre le terrorisme, tout en dynamisant le rôle et la coordination des ulémas et des prédicateurs dans la lutte contre le discours extrémiste et la diffusion des valeurs de paix et de modération ».

Les participants ont appelé, dans leur communiqué final, à encourager la participation des femmes et des jeunes dans les initiatives visant à bannir l’extrémisme violent et lutter contre les facteurs qui alimentent le terrorisme, renforcer leurs rôles en tant qu’acteurs au sein de leurs communautés locales et valoriser le rôle des organisations régionales activant dans ce domaine à l’instar de la Ligue des oulémas, prêcheurs et imams des pays du Sahel (LOPIS).

Ils ont également appelé à « garantir les opportunités éducatives, économiques et professionnelles pour les jeunes en vue d’assurer leur stabilité et renforcer leurs capacités de résilience face à l’extrémisme en lançant une plateforme de communication entre les étudiants des pays du Sahel et l’Union interparlementaire (UIP), pour renforcer la coordination et l’échange de vues sur les questions liées au renforcement de leurs rôles et capacités en les associant dans la préservation de la stabilité de leurs pays ».

Les participants ont insisté sur l’importance de « soutenir les initiatives de la société civile en vue de renforcer les rapports de confiance entre les différentes franges de la société, encourager le règlement pacifique des conflits et mettre en place des programmes convenables pour la protection et la prise en charge des victimes du terrorisme à travers la mise en œuvre des législations appropriées et l’affectation de budgets adéquats ».

Ils ont appelé les Parlements à « demander l’assistance technique de l’UIP et de l’ONUDC et de l’UA pour combler les lacunes dans leurs législations nationales en vue d’adapter les dispositions avec le régime juridique international de la lutte contre le terrorisme et les dernières décisions pertinentes du Conseil de sécurité des Nations unies ».

Ils ont également appelé à « renforcer les institutions de l’Etat, en particulier l’application de la loi, la défense et l’encouragement des initiatives visant à améliorer les systèmes judiciaires pour consacrer la suprématie de la loi et la confiance en les institutions de l’Etat, outre le renforcement de la coopération globale entre les gouvernements et les parlements des pays du Sahel avec tous les franges de la société dans le but de consolider les capacités nationales et développer un plan de réponse global pour lutter contre l’extrémisme violent et la menace terroriste dans la région.

Aussi, les participants ont plaidé pour la recherche et l’analyse des données en plus de l’échange d’informations concernant les origines de l’extrémisme, outre les moyens de la lutte, tout en encourageant le soutien international pour appuyer la réponse mondiale à la lutte contre l’extrémisme violent et la menace terroriste dans la région du Sahel.

Les participants ont appelé, également, l’UIP à vulgariser le document final auprès des membres de la communauté parlementaire mondiale lors de la 146ème session de l’UIP, prévue à Manama, (Bahreïn) , du 11 au 15 mars 2023.

Il a également été convenu de « prendre des mesures nécessaires pour généraliser et promouvoir ces conclusions au sein de nos entités nationales concernées et de la société civile ».

APS