Commissions intersectorielles: la nouvelle approche sur la programmation des projets de recherche présentée

Commissions intersectorielles: la nouvelle approche sur la programmation des projets de recherche présentée

ALGER – Les membres des commissions intersectorielles en charge de la programmation, de la coordination, de la promotion et de l’évaluation des activités de la recherche scientifique et du développement technologique, ont présenté la nouvelle approche sur la programmation des thèmes des projets de recherche avec les opérateurs économiques, en vue de répondre aux besoins du citoyen algérien.

Suite à l’organisation d’une réunion des membres des commissions intersectorielles, le Directeur général (DG) de la Recherche scientifique et du Développement technologique au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mohamed Bouhicha a indiqué que cette rencontre visait à « inciter les commissions en question à proposer des projets de recherche avec les opérateurs économiques de manière à refléter les problèmes résolus par les équipes de recherche au niveau des universités et des établissements de recherche, où la programmation s’effectue selon l’approche descendante ‘Top-Down’ et non l’inverse ».

Présentant la nouvelle approche, le responsable a indiqué que la Direction « a constaté au cours des deux dernières années 2021 et 2022 que la programmation n’avait pas atteint le niveau souhaité, avec un faible taux d’acceptation (entre 10 à 15%) par rapport aux normes internationales, du fait du manque d’homogénéité entre les projets et les exigences réelles des acteurs économiques ».

De son côté, le directeur des Etudes à la DG de la Recherche scientifique, Aïssa Mefedjekh a expliqué que « cette réunion de coordination s’inscrit dans le cadre de l’activation des commissions intersectorielles chargées de programmer, d’évaluer, de valoriser et de financer les activités de la recherche scientifique et du développement technologique, à travers l’installation de six (6) commissions sur dix (10) ».

Et d’ajouter que ces commissions œuvrent également à « vulgariser la méthode d’activation des activités de recherche, en particulier le développement et l’innovation, afin de répondre aux besoins du citoyen ».

M. Mefedjekh a estimé que ces commissions devraient s’acquitter de missions sensibles, en ce sens qu’il s’agit de de projets de l’Etat, et la nouvelle approche repose désormais sur la sélection des projets de recherche par la communauté économique et sociale en fonction des besoins réels, le but étant de résoudre les problèmes auxquels sont confrontés les différents établissements économiques, sanitaires et pédagogiques ».

APS

Répercuter les évènements de la Révolution algérienne à travers des œuvres cinématographiques

Répercuter les évènements de la Révolution algérienne à travers des œuvres cinématographiques

SOUK AHRAS – Des chercheurs ont mis l’accent, mercredi à Souk Ahras au deuxième jour des journées cinématographiques de Thagaste du film algérien, sur la nécessité de répercuter les évènements de la Révolution algérienne à travers la « réalisation des œuvres cinématographiques ».
Dans sa communication sur  »l’image cinématographique et la Révolution algérienne » donnée à la maison de la culture Tahar Ouettar, Djalal Khecheb, chercheur en théâtre et en cinéma, a souligné que l’interaction avec les évènements et les hauts faits de la révolution algérienne a été soulignée par le Front de libération nationale (FLN) pour transmettre les aspirations du peuple algérien aux instances internationales.

Le démarrage effectif du projet cinématographique algérien a été avec « La Bataille d’Alger » (1966), « L’Opium et le Bâton » (1969) et « Le Vent du Sud » (1975) basés essentiellement sur l’adaptation, a ajouté l’intervenant.

Lire aussi: Souk Ahras: cinéastes honorés à l’ouverture des journées cinématographiques Thagaste du film algérien

L’universitaire Bahaa Benouar a abordé, pour sa part, le projet cinématographique « attaché à l’identité de la société algérienne, son histoire et sa culture », estimant que le cinéma est un art ouvert sur les autres arts dont le roman et le théâtre.

Le cinéaste, Abdelhak Benmarouf, a mis l’accent, de son côté, sur l’importance du cinéma pour la préservation de l’identité nationale et la nécessité de relancer l’industrie cinématographique.

Initiée en coordination avec la Cinémathèque d’Alger et le Centre algérien de développement du cinéma sous le thème « le cinéma algérien, hier et aujourd’hui », la manifestation sera clôturée jeudi par la projection de plusieurs films dont « Zabana », « Le puits », Sur les traces de camps de concentration, « Enrico Mattei et la révolution algérienne », « Patrouille à l’Est » et « Fatma N’soumer ».

Stupéfiants/Prévention: examen d’un avant projet de loi visant à consolider la stratégie nationale

Stupéfiants/Prévention: examen d’un avant projet de loi visant à consolider la stratégie nationale

ALGER – Un avant-projet de loi visant à consolider la stratégie nationale en matière de prévention et de répression de l’usage de stupéfiants et de substances psychotropes et à durcir davantage les sanctions pénales applicables aux auteurs des infractions liées au trafic de ces substances, a été examiné mercredi lors de la réunion du Gouvernement, présidée par le Premier ministre, M. Aïmene Benabderrahmane.

« Le Gouvernement a examiné un avant-projet de loi modifiant et complétant la loi n 04-18 du 25 décembre 2004 relative à la prévention et à la répression de l’usage et du trafic illicites de stupéfiants et de substances psychotropes, présenté par le ministre de la justice, garde des sceaux », indique un communiqué des Services du Premier ministre, publiée à l’issue de la réunion.

Selon la même source, « ce projet de texte a pour objectif de consolider la stratégie nationale en la matière, de renforcer les mesures curatives ainsi que la protection et la prise en charge des victimes, notamment en instaurant une protection particulière des pharmaciens et de durcir davantage les sanctions pénales applicables aux auteurs des infractions liées au trafic de stupéfiants et de substances psychotropes ».

APS

 

Mila/tournoi de handball dames Abdelhafid Boussouf: le Club filles de Boumerdes sacré

Mila/tournoi de handball dames Abdelhafid Boussouf: le Club filles de Boumerdes sacré

MILA-Le Club filles de Boumerdes a été sacré mercredi, vainqueur du tournoi de handball Dames Séniors, dédié au défunt moudjahid Abdelhafid Boussouf, qui s’est déroulé du 2 au 4 janvier 2023, avec la participation de 7 clubs représentant 6 wilayas du pays.

Les handballeuses de Boumerdes ont remporté le titre face à l’U.S. Akbou (Béjaïa), dans une finale qui s’est déroulée à la salle omnisports « Tayeb Benaderrahmane » de Mila, sur un score de 27 à 25.

Le prix de la meilleure joueuse du tournoi a été décerné à Imène Deradj du club féminin de Boumerdes, Leila Hocine de l’U.S. Akbou a reçu le titre de meilleure gardienne du tournoi, le titre de la meilleure buteuse a été remporté par Sarah Beddah de l’Olympique d’Oued Souf.

Le tournoi organisé par la ligue de la wilaya de Mila de handball, en coordination avec la direction locale de la jeunesse et des sports (DJS), sous l’égide de la fédération algérienne de handball, a vu la participation de 7 clubs d’Oran, Sétif, Oued Souf, Boumerdes, Béjaïa et la wilaya hôte, Mila.

Les compétitions se sont déroulées à la salle omnisports « Hocine Laaouar » d’Oued Endja (à l’Ouest de Mila) et à la salle omnisports « Tayeb Benabderrahmane » du chef-lieu de wilaya de Mila.

Selon l’entraîneur de l’équipe championne du tournoi, le C.F. Boumerdes, Saïd Abdeddaïm, le tournoi s’est déroulé dans d’excellentes conditions d’organisation, les équipes participantes ont produit un beau jeu, cela a permis au C.F. Boumerdes de mieux se préparer aux prochaines compétitions, a-t-il estimé.

Les organisateurs ont noté le fairplay qui a caractérisé les prestations de tous les participants, ce qui a permis de favoriser l’esprit compétitif et de mettre en relief les talents, en donnant du beau jeu au public.

APS

ONU: les questions africaines et la cause palestinienne au menu du mois de janvier

ONU: les questions africaines et la cause palestinienne au menu du mois de janvier

NEW YORK (Nations unies) – La promotion et le renforcement de l’état de droit dans le maintien de la paix et de la sécurité internationales seront au menu du programme de travail du Conseil de sécurité de l’ONU au mois de janvier, outre nombre de dossiers liés aux questions africaines et la cause palestinienne.

Le Japon, président du Conseil ce mois-ci, a choisi d’organiser deux événements phares. Il convoquera un débat public au niveau ministériel sur « La promotion et le renforcement de l’état de droit dans le maintien de la paix et de la sécurité internationales : l’état de droit entre les nations ».

Le débat sera présidé par le ministre japonais des Affaires étrangères, Hayashi Yoshimasa.

Le deuxième événement, intitulé « Investir dans les personnes pour renforcer la résilience face aux défis complexes », se tiendra sous le point de l’ordre du jour « Consolidation de la paix et maintien de la paix ».

Plusieurs dossiers concernant le Moyen-Orient sont également au programme de travail du Japon en janvier, dont une séance d’information ouverte, suivie de consultations privées, sur le Yémen, un débat public trimestriel sur la question palestinienne et aussi une réunion sur la situation en Syrie.

Concernant l’Afrique de l’Ouest et le Sahel, il y aura un briefing et des consultations sur les activités du Bureau des Nations unies pour l’Afrique de l’Ouest (UNOWAS).

Le Conseil devrait également recevoir le briefing semestriel sur les activités de la Cour pénale internationale (CPI) liées au Darfour du procureur de la CPI, Karim Asad Ahmad Khan.

De plus, il y aura une séance d’information ouverte, suivie de consultations à huis clos, sur la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA).

S’agissant des questions européennes, les membres du Conseil devraient voter une résolution renouvelant le mandat de la Force des Nations unies chargée du maintien de la paix à Chypre (UNFICYP) avant son expiration le 31 janvier.

Au sujet des Amériques, le Conseil de sécurité tiendra des réunions sur la Colombie et Haïti. Les membres du Conseil suivront également les développements liés à l’Afghanistan, la Corée du Nord et au Haut-Karabakh.

Mardi, les membres du Conseil de sécurité des Nations unies ont adopté le programme de travail provisoire pour ce mois de janvier. Cinq membres non-permanents élus, à savoir l’Equateur, le Japon, Malte, le Mozambique et la Suisse, ont commencé leur mandat de deux ans jusqu’au 1er janvier 2024.

aps