Couverture des travaux du Sommet arabe: les journalistes invités à soumettre leurs demandes d’accréditation avant le 15 septembre

Couverture des travaux du Sommet arabe: les journalistes invités à soumettre leurs demandes d’accréditation avant le 15 septembre

Le ministère de la Communication  invite, les journalistes concernés par la couverture des travaux du Sommet arabe, prévu en début novembre à Alger, à soumettre leurs demandes d’accréditation avant le 15 septembre.

 

« Dans le cadre de la couverture médiatique des travaux du Sommet arabe d’Alger, prévu les 01 et 02 novembre 2022, j’ai l’honneur de vous demander de désigner un photographe et un journaliste en parfaite maîtrise de l’actualité sur la scène arabe. Pour ce faire, nous vous prions d’adresser vos dossiers via le lien électronique: d.media@ministerecommunication.gov.dz et de déposer une copie du dossier au niveau du ministère de la Communication, Direction des médias, bureau 701″.

Le dossier de la demande d’accréditation, ajoute la même source, « est constitué des pièces suivantes: un formulaire dûment et soigneusement rempli, signé et cacheté par le directeur de l’établissement, une (01) photo, une photocopie conforme à la pièce d’identité nationale, une demande au nom du journaliste et du photographe concernés, signée et datée par le directeur de l’établissement ».

Ministère de la communication

Benbouzid insiste sur le parachèvement des projets en cours de réalisation

Benbouzid insiste sur le parachèvement des projets en cours de réalisation

 
ALGER-Le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid a insisté sur le parachèvement, dans les délais arrêtés, des projets en cours de réalisation, notamment dans les wilayas du Sud en vue d’améliorer le niveau des prestations sanitaires fournies aux citoyens, a indiqué mardi un communiqué du ministère.
Présidant, lundi, une réunion par visioconférence avec les directeurs de la Santé des wilayas, M. Benbouzid a mis en exergue l’impératif de parachever les projets en cours de réalisation tout en veillant au « respect des délais arrêtés, particulièrement dans le Sud », insistant particulièrement sur les « projets de réhabilitation des polycliniques qui devaient être la première destination du patient, à travers un système de travail 24h/24 pour au moins deux polycliniques tout en conférant un caractère spécifique aux services des urgences ».

Les intervenants à cette réunion périodique ont fait le point sur la situation des projets en cours de réalisation dans leurs wilayas, des projets portant sur la réhabilitation des polycliniques ou encore le réaménagement voire la création de nouveaux départements pour les urgences médico-chirurgicales, toutes spécialités confondues, a ajouté la même source.

Ces projets, précise le ministère, s’inscrivent dans le cadre de la nouvelle stratégie décidée par le département de la Santé en exécution des orientations et des instructions du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, visant le développement du système sanitaire national.

Après avoir suivi les exposés présentés sur les réalisations et les difficultés rencontrées, le ministre a insisté sur « la conjugaison des efforts, nécessaires pour opérer les changements escomptés, à savoir la réalisation d’établissements répondant aux normes internationales et assurant des services sanitaires de qualité aux patients ».

APS

Ecole supérieure des Beaux-Arts: 60 ans de formation artistique

Ecole supérieure des Beaux-Arts: 60 ans de formation artistique

ALGER-Véritable pôle d’excellence en matière de formation d’artistes visuels et plasticiens, l’Ecole supérieure des Beaux-Arts d’Alger, aura grandement participé, en soixante ans d’existence, à la promotion des arts plastiques algériens et à la préservation d’un cumul de pratiques artistiques millénaires, mis au service d’une la créativité foisonnante.

L’Ecole des Beaux-Arts, dirigé par le regretté Bachir Yelles au lendemain du recouvrement de l’indépendance, puis par Ahmed Asselah, assassiné par la violence terroriste au sein même de l’école en 1994, assure une « formation de qualité adaptée à l’évolution des arts dans le monde et en adéquation avec les impératifs du travail contemporain », selon le plasticien Abderrahmane Aïdoud.

Egalement enseignant aux Beaux-Arts, Abderrahmane Aïdoud considère la création d’un baccalauréat artistique comme une « mesure d’encouragement » des talents  dans les écoles, mais aussi une « réhabilitation » du statut des arts dans l’Education et un « accompagnement du paysage artistique algérien et de l’économie culturelle ».

Cette nouvelle mesure permet, selon lui, de « renforcer l’éducation artistique » en milieu scolaire pour en faire une « pépinière de jeunes talents » à même « d’orienter et encadrer les potentialités à jeune âge ».

Abordant l’évolution de la pratique artistique dans l’Algérie indépendante, Abderrahmane Aïdoud évoque un bilan « positif et riche » et une grande évolution portée par de jeunes artistes qui travaillent selon les standards mondiaux tout en « préservant et en exploitant des éléments patrimoniaux et identitaires ».

Il estime également que les efforts de l’Etat ont « toujours accompagné » cette évolution avec un « intérêt particulier pour la formation » et la création d’un noyaux de formateurs au niveau de l’Ecole supérieure des Beaux-Arts ayant bénéficié de bourses d’études à l’étranger pour revenir enseigner.

Cet environnement, propice à la création, aura permis aux artistes algériens de « sortir rapidement de la vision orientaliste et coloniale » des arts plastiques et faire éclore de nouvelles générations d’artistes qui ont « brillé au niveau international avec une touche typique ».

 

Ouverture de 16 écoles régionales des Beaux-Arts

De son côté, le plasticien et enseignant Karim Sergoua, affirme que les arts visuels en Algérie ont connu un « bond qualitatif fulgurant » en 60 ans d’indépendance, une période qui a vu la réalisation de « nombreux acquis » sur le plan des structures de formation, renforcées par l’ouverture progressive de 16 écoles régionales des Beaux-Arts sur le territoire national.

Ces écoles régionales ont été ouvertes progressivement dans les villes de Mostaganem, Oran, Tlemcen, Sidi Bel Abbes, Djelfa, Tizi Ouzou, Batna, Biskra, Sétif ou encore Constantine avec l’objectif de booster la formation artistique, également renforcée par de nouvelles spécialités.

Pour sa part, le plasticien et directeur de l’Ecole régionale des Beaux-Arts d’Oran, El Hachemi Amer, a souligné la « place de choix » qu’occupe le mouvement créatif algérien, un mouvement « prolifique » qui met en avant les éléments de « notre patrimoine culturel et de notre identité ».

Il appuie ses propos par l’apport des pionniers comme Mhammed Issiakhem, Mohamed Khadda ou encore  Baya Mahieddine, et les accomplissement d’une génération symbolisée, entre autres, par Rachi Koraïchi, Zineb Sedira, ou encore Hamza Bounoua.

El Hachemi Amer a lui aussi rappelé les efforts des pouvoirs publics pour assurer une formation de qualité au niveau de l’Ecole des Beaux-Arts et de ses annexes, créées pour accompagner les jeunes talents, appelant à « exploiter les jeunes diplômés dans le secteur de l’éducation ».

Le plasticien a également confié qu’il considère son propre parcours personnel comme le « fruit de cette politique de formation mise en place par les pouvoirs publics depuis le recouvrement de l’indépendance », il explique avoir bénéficier d’une formation en Algérie et de bourses à l’étranger (en Chine et en France notamment), pour revenir mettre son expérience au service de l’enseignement.

APS

Boumerdes: les espaces boisés du front de mer, point de convergence des estivants

Boumerdes: les espaces boisés du front de mer, point de convergence des estivants

BOUMERDES- Les espaces boisés parsemant le littoral de Boumerdes, de Dellys à l’Est jusqu’à Boudouaou El Bahri à l’Ouest, en passant par le chef-lieu de wilaya, sont devenus le point de convergence des visiteurs et estivants affluant de l’intérieur et de l’extérieur de la région.

Chaque été une activité particulière, plus ou moins importante, anime ces espaces, en dépit des carences enregistrés, en matière d’hygiène notamment, a constaté l’APS.

Les familles affluant en grand nombre vers ces sites, principalement les week-end, y trouvent toutes les conditions nécessaires ainsi que des espaces de jeux pour enfants, de quoi se détendre et respirer la brise marine, loin du brouhaha des plages envahies par les estivants.

De nombreuses mamans ont confié à l’APS leur « préférence » pour ces espaces, du fait qu’ils leur permettent de « deviser en toute tranquillité avec d’autres familles, à l’ombre des arbres et loin du bruit et de la chaleur », ont-elles observé.

D’autres familles ont affirmé qu’elles préfèrent ce type de tourisme car « il est peu coûteux et économique ».

La forêt du Sahel de Zemmouri El Bahri fait partie des destinations les plus prisées par les visiteurs de la wilaya. Elles constituent le lieu préféré de nombreuses familles, jeunes et randonneurs de différentes wilayas du pays.

En effet, un grand nombre de familles en quête de détente convergent quotidiennement vers cet espace boisé aux arbres luxuriants (pins maritimes), agrémenté d’une riche végétation et surplombant une plage de sable fin.

D’autres espaces similaires de la côte de Boumerdes sont, également, fréquentés par les familles, dont notamment la forêt de Corso, privilégiée pour sa proximité de la plage et son accès facile.

La forêt de Bouarbi à Dellys, à l’Est, est également considérée parmi l’un des plus importants espaces verts surplombant la mer et le vieux port de l’ancienne Casbah. Elle attire un grand nombre de familles pendant la saison estivale.

Une même dynamique est constatée au chef-lieu de Boumerdes, depuis le début de la saison estivale. Les espaces verts surplombant le front de mer, dont les jardins « fête de la Victoire » et  » l’Indépendance » attirent, en soirées, un grand nombre de familles en quête de repos, de détente et de fraîcheur.

De nombreuses familles ont exprimé leur « satisfaction » à l’égard de ces espaces de verdure disséminés le long du littoral de la région, tout en recommandant leur entretien et préservation, et surtout de les garder propres en s’abstenant d’y jeter des déchets.

Venue avec sa famille pour la première fois à la forêt de Zemmouri de Boumerdes, Mme. Moumene d’Ouargla a loué l’importance de ces espaces naturels, appelant à  » profiter de la saison estivale pour y passer d’agréables moments loin du bruit et du brouhaha de la ville ».

Exprimant leur joie d’être venues à Boumerdes, de nombreuses autres mamans ont relevé la nécessité de préserver ces sites appelant à l’implication de tout un chacun, à cet effet.

Si la sécurité et la tranquillité sont assurées, grâce à la présence visible de la gendarmerie nationale, qui lutte contre le phénomène du squat des plages et des parkings anarchique, grâce à des patrouilles pédestres et mobiles (de journée comme de nuit), le manque d’hygiène demeure le point noir de ces espaces, comme décrié par les vacanciers, sur place.

De nombreux estivants ont, en effet, déploré l’absence quasi-totale d’hygiène et le peu d’intérêt accordé à la salubrité des lieux par certains visiteurs, appelant à la nécessité de remédier à cette situation pour promouvoir ce type de tourisme.

Sur ces lieux de détente, il est constaté la prolifération des déchets, en dépit de l’aménagement de sites pour déposer les détritus.

Des familles n’hésitent pas à y abandonner différentes déchets après leur départ, en fin de journée, tandis que d’autres y cuisinent leur nourriture, inconscientes du risque d’incendies et indifférentes aux appels et campagnes de sensibilisation initiées par les autorités concernées.

Selon le directeur de l’entreprise « Madi Net » en charge de l’hygiène à Boumerdes, Ahmed Ammi Ali, l’établissement a mobilisé une centaine d’agents pour assurer la propreté de ces sites, dans le cadre de son plan général d’hygiène pour cette saison estivale.

« L’entreprise assure quotidiennement l’enlèvement de quantités considérables de déchets, pour remédier au manque d’hygiène au niveau de ces sites », a-t-il affirmé.

A cela s’ajoute la programmation de campagnes de nettoyage, chaque week-end, en coordination avec les communes concernées, les associations de la société civile et les estivants, a-t-il souligné.

APS

Ligue 1: plusieurs clubs sanctionnés par la commission de discipline

Ligue 1: plusieurs clubs sanctionnés par la commission de discipline

ALGER – La Commission de discipline de la LFP a infligé plusieurs amendes à la JS Saoura pour diverses raisons dont la principale est le non respect de l’accueil du MC Alger (2-0), lors de la 1re journée du championnat de Ligue 1, a indiqué la Ligue de football professionnel (LFP).

La commission de discipline qui avait décidé la semaine dernière de laisser le dossier du match JSS-MCA ouvert pour complément d’informations et de convoquer les SG des deux équipes, a infligé 200.000 DA d’amende à la JSS pour « non respect de l’accueil de l’équipe visiteuse », indiqué un communiqué de la LFP publié sur son site officiel.

La JSS a écopé d’une deuxième amende de 100.000 DA pour « Présence du personnel étranger dans le tunnel menant à l’accès du terrain et autour de l’aire de jeu ».

Le club de Bechar a été également sanctionné d’une  mise en garde et d’une troisième amende de 100.000 DA pour « Utilisation et jets de fumigènes » (1ère infraction).

De son côté, le MCA a écopé d’une mise en garde et condamné à payer une amende de 100.000 DA pour « Utilisation et jets de fumigènes » (1ère infraction).

D’autre part, plusieurs joueurs ont été sanctionnés d’un match de suspension et 30.000 DA d’amende pour « contestation de décisions » lors de la deuxième journée de L1.

Il s’agit de Boukhenchouche Salim (JSK), Harrag Chems eddine (JSK), Baakoh Maxwel (USMK), Sameur Abd El Halim (USMK) et Ghorab Abdelkader (MCEB) qui lui a été exclu lors du match face à la JSS.

La commission de discipline a décidé lors de sa réunion de lundi de sanctionner financièrement plusieurs autres clubs. Ainsi, la JSK devra s’acquitter d’une amende de 30.000 DA pour « Utilisation de fumigènes dans les tribunes », tout comme le MCEB.

Le CSC et le RC Arbaa ont été condamnés à 60.000 DA d’amende pour « Utilisation de fumigènes dans les tribunes » (Récidive). La même sanction a été infligée à l’ES Sétif qui a écopé également d’une mise en garde et une seconde amende de 50.000 DA pour « Pénétration d’un supporteur sur le terrain ».

Le HBCL devra pour sa part payer une amende de 50.000 DA pour: « Absence de tableau d’affichage ».

APS